Mon compte
    Sidonie au Japon
    Note moyenne
    2,9
    603 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Sidonie au Japon ?

    90 critiques spectateurs

    5
    13 critiques
    4
    21 critiques
    3
    21 critiques
    2
    17 critiques
    1
    11 critiques
    0
    7 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    norman06
    norman06

    306 abonnés 1 606 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 avril 2024
    Un réel charme intimiste, onirique et mélancolique, meilleur film d'une réalisatrice discrète, coécrit par la regrettée Sophie Fillières. Isabelle Huppert y trouve un autre bon rôle de maturité.
    brunocinoche
    brunocinoche

    69 abonnés 1 076 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 avril 2024
    Voyage initiatique pour Sidonie incarnée par Isabelle Huppert, habituée à ce genre de rôles. Mais, ici, il y a beaucoup de douceurs et de fantaisie pour suivre le parcours de ce personnage. Différence entre les traditions françaises et japonaises, Huppert illustre bien l'étonnement et le décalage de son personnage et de cet environnement. Film d'auteur indéniable, très écrit, le film n'est pas plombant, bien au contraire; certaines séquences prêtent même à rire!
    Il y a beaucoup d'émotions aussi grâce aux 2 partenaires masculins, le guide japonais, d'une belle élégance et réelle sagesse et l'ex mari, drôle de fantôme charmant et fantaisiste.
    On se plait à suivre Sidonie dans ses péripéties, on profite aussi de belles images du Japon.
    "Sidonie au Japon" est un joli film d'auteur qui mérite le détour.
    Frédéric T
    Frédéric T

    16 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 avril 2024
    Isabelle Huppert, froide et inexpressive, erre dans un japon de carte postale vidé de ses habitants et s'ammourache de son éditeur local, un taiseux renfrogné avare en mots. Certains y ont vu poésie, humour, délicatesse, patin couffin. Moi je ne suis pas rentré dans ce film nonchalant, silencieux et bien long. Même les apparitions furtives du fantôme du mari n'ont pas réussi à rompre mon ennui.
    Omg151
    Omg151

    52 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 avril 2024
    Dépliant touristique sur un Japon asseptisé (en plein covid ?) ce film n'a pas beaucoup d'intérêt tant le scénario est ténu et cliché. Tentative de comédie pas drôle qui lorgne vers Lost in translation, sur les oppositions occident / Japon. Et notre Isabelle Huppert nationale plus geisha que jamais, livide et sans ride, se révèle être le vrai fantôme de ce film anecdotique. Elle le traverse en trottinant, semblant avoir la tête ailleurs, surement sur son prochain film, espérons plus inspiré.
    Aubert T.
    Aubert T.

    116 abonnés 130 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 avril 2024
    Incroyable qu'un film aussi scolaire puisse trouver des financements. Sidonie hésite à partir au Japon et contre toute attente cela va changer sa vie. Déjà le sujet... l'impression d'avoir déjà vu ça 1000 fois.
    Sidonie est à la traine dans sa vie mais ça va changer, et pour nous signifier qu'elle commence à s'accorder à ce qui l'entoure, elle porte un pull rose, du même rose que les cerisiers en fleurs q'on voit partout. Mais quelle idée sensationelle ! Et pour bien nous faire comprendre qu'elle s'est allégée de son chagrin, elle repart du Japon... sans sa valise ! Mais quelle idée fantastique !
    Et tout le film est de ce niveau bêtassou. C'est totalement consternant.
    kid_A
    kid_A

    19 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 avril 2024
    Grande déception. Il y a beaucoup de scènes très lentes où il ne se passe rien ou pas suffisamment pour justifier les longueurs. La musique est complètement fade (celle du compositeur). L'histoire se veut poétique mais finalement, elle n'est pas convaincante. Les seules choses que j'ai aimées: La scène d'amour (tournée de manière assez originale ) et le fait de découvrir les paysages du Japon, pays que je n'ai jamais visité.
    François Balthazar
    François Balthazar

    6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 avril 2024
    Un film délicieux, émouvant, sensible. Sur un sujet tout à fait original, la réalisatrice s'en tire avec brio et humour, avec un mélange subtil de gravité et de légèreté.
    jonas
    jonas

    3 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 avril 2024
    Il faut sans doute être (un peu) amoureux du Japon et avoir un minimum de culture japonaise pour apprécier ce film. Mais si c'est votre cas, courrez le voir, c'est une merveille. Rien que pour les images somptueuses, le film mérite d'être vu. Mais c'est bien autre chose qu'un documentaire sur la sublime beauté du Japon, c'est aussi une belle histoire toute en retenue et en délicatesse, au rythme lent qui fait penser aux réalisateurs japonais comme Ozu ou Kore-eda. Isabelle Huppert est magistrale et Tsuyoshi Ihara est excellent. 95 minutes de bonheur !
    marc C.
    marc C.

    24 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 avril 2024
    Superbe ....Tout en finesse et délicatesse à l'image du japon.
    Les deux acteurs principaux sont excellents.Un film poétique qui fait du bien loin loin de tous ces films actuels,agressifs et sinistres.....
    Sergio Savoie
    Sergio Savoie

    3 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 avril 2024
    film très très ennuyeux
    même la grande Isabelle Huppert n’est pas parvenue à briser la monotonie. Difficile de s’y intéresser
    Jipéhel
    Jipéhel

    22 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 avril 2024
    Roman photo sous les cerisiers

    Depuis 2011 et son Belleville Tokyo, agaçant et ennuyeux, Élise Girard n’était revenue derrière la caméra qu’en 2017 pour l’intrigant Drôles d’oiseaux. Cette fois elle consacre 95 minutes à filmer, ou plutôt photographier, l’immense Isabelle Huppert. Sidonie se rend au Japon à l’occasion de la ressortie de son best-seller. Malgré le dévouement de son éditeur japonais avec qui elle découvre les traditions du pays, elle perd peu à peu ses repères… Surtout lorsqu’elle se retrouve nez à nez avec son mari, disparu depuis plusieurs années ! Hélas, ça ne fait pas un film, loin de là et malgré toute l’admiration que j’ai pour Madame Huppert, je n’ai pu constater qu’elle s’est perdue dans cette espèce d’« Ennui Mode d’emploi » aussi navrant qu’insupportable.
    Voilà une vision d’un Japon quasi vide, sans âme, figé quasi glaçant. Que l’on ne vienne pas me parler des belles images de paysages, de lac, de cerisiers en fleurs, je le répète, les belles photos ne font pas des films. Il faut une histoire, des personnages complexes, une intrigue, des rebondissements… mais là, rien ! Il ne se passe rien, ou presque rien. Je sais bien qu’un poète grec de l’antiquité écrivait : Rien ne sort de rien. Il avait du voir Sidonie au Japon. La réalisatrice dans son désir de ne rien montrer a même réduit la seule scène de sexe – le mot est très exagérée – à une suite clichés. Quant au baiser – tout sauf fougueux – qui la précède, il a lieu sous les cerisiers en fleurs en tournant autour des deux amoureux. Navrant ! Et Dieu sait que j’aime les films japonais ! Je l’ai souvent prouvé dans mes chroniques. Quand je pense que certains ont vu là une comédie burlesque ??? D’autres parlent de périple intérieur vers une félicité perdue… Ah bon ! Seule nouveauté, la réflexion sur le deuil, qui hélas, fait flop très rapidement. Même le fantôme semble s’ennuyer ferme. Lisse, vaporeux…. Chiant.
    Désolé de le dire, mais la grande Isabelle Huppert est prise au piège du jeu distant et froid auquel le soumet la réalisatrice. Le scénario ressemble à un murmure lointain. Le jeu – le non-jeu -, des acteurs aussi. Elle n’est pas là et de fait, ses deux partenaires non plus. Tsuyoshi Ihara, grand acteur japonais ne sait pas à quel saint – shinto – se vouer. Tout charisme éteint, il erre comme une âme en peine à côté de sa frenchie. Quant à August Diehl, dire qu’il est « fantomatique » serait facile, mais je le dis quand même. Pour le reste… personne. Je vous l’ai dit, le Japon de Sidonie – et d’Elise Girard – est désespérément désert. Pas d’émotion, pas de surprise, peu de dialogues… des belles photos ! Où est le cinéma ?
    traversay1
    traversay1

    3 148 abonnés 4 634 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 avril 2024
    Le voyage au Japon, pour les âmes occidentales perturbées, est souvent source de dépaysement, d'étonnement et pourquoi pas de renouveau. De ce point de vue, le Japon possède un bel avantage sur la Chine, la Corée et surtout l'Inde, aux contrastes trop violents. Sidonie au Japon ne trompe pas sur la marchandise escomptée, tout y est luxe, calme et presque volupté. Et élégance, aussi, grâce à une mise en scène aérienne et les somptueux paysages du Kansai (les biches du parc de Nara sont fidèles au poste). Le Japon est le pays des fantômes mais celui qui intervient dans le film est heureusement bien moins vindicatif que les ectoplasmes que l'on aperçoit le plus souvent dans les longs-métrages nippons. Sidonie au Japon est relaxant comme un bon massage et ses pointes d'humour, dues au décalage des mœurs de là-bas par rapport à ici, ne sont pas négligeables. Reste que le film patine quelque peu dans sa dernière ligne droite, n'ayant plus alors à nous proposer qu'une conclusion romantique qui évite quand même de peu une certaine mièvrerie. Isabelle Huppert et Tsuyoshi Ihara s'imposent dans une économie d'expression qui sied bien au ton général du film, en tous cas dans ses meilleurs moments : gracieux et vaporeux.
    Daniel C.
    Daniel C.

    133 abonnés 715 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 avril 2024
    Mais qu'est-ce qui tient Élise Girard du côté du Japon ? Après Belleville-Tokyo, elle nous emmène au travers d'un voyage au Japon. Itinéraire d'un deuil jamais réalisé jusqu'alors... Son cinéma est littéraire : avec "Drôles d'oiseaux", nous fréquentions une librairie. Cette fois, nous partons avec une écrivaine, dont l'encre ne coule plus, mais qui va partir à la rencontre d'un lecteur japonais francophile, qui lui a adressé une lettre. Lettre qu'elle a trouvé suffisamment touchante pour s'envoler vers l'Empire du Soleil levant. Comment survivre à la mort de l'être aimé ? Comment la répétition traumatique peut-elle parcourir une vie désormais en suspens ? Point de morbidité dans ce film. Du silence, des regards lointains, des temps "morts" (?), du rire également jusqu'aux larmes du crocodile (Non, je ne divulgâche pas, car le polo noir n'est qu'un clin d'oeil). La froideur d'Isabelle Huppert est ponctuée de ses sourires enjôleurs, qui surviennent parfois. Et puis quelle audace d'intégrer la photographie pour nous donner accès à la rencontre sensuelle de deux êtres, qui n'ont fait que se frôler durant le parcours du film. Reste le mystère du sac à main des dames... Peut-on partir sans ?
    Eva D.
    Eva D.

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 avril 2024
    Je classe se film parmi les pires que j'ai eu la malchance de voir. Malgré quelques tentatives humoristiques au tout debut du film, on a passé 1h30 à se demander quand est ce que le film se termine, c'était d'un ennui extrême. A la moitié du film, le sujet a carrément viré au lunaire spoiler: -> la bonne femme commence à voir un fantôme de son mari partout et discuter avec
    . Si vous pensiez voir un film qui traite des clichés japonais et des différences culturels, passez votre chemin car ce n'est pas du tout le sujet. Et au delà de l'histoire (ou l'absence de celle-ci), l'execution du film est tres "vieillotte", on croirait voir un film filmé et monté des années 70. J'ai détesté!
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    151 abonnés 1 030 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 avril 2024
    Sidonie, une écrivaine, vient promener sa neurasthénie dans un Japon de cartes postales. Un pays qui vit avec ses fantômes et qui provoque l’apparition du mari défunt de l’auteure. Un spectre qui parait d’ailleurs plus vivant qu’Isabelle Huppert la diaphane. J’adore ce pays et si la simple vision d’un Ryokan ou de l’incroyable Daibutsu (le plus grand bouddha en bois du monde) de Nara a suffit à me procurer du plaisir cette œuvre ultra-convenue et sa direction d’acteur catastrophique ont complètement gâché le voyage.
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top