J'ai adoré Wall Street ! Oliver Stone signe ici un très grand film, avec un scénario vraiment intéressant et une bonne mise en scène. Le film est surtout réussi grâce aux prestations de Michael Douglas et Charlie Sheen, ils sont vraiment au top de leur forme. Je ne me suis pas ennuyé une seule seconde devant ce petit chef d'oeuvre ! Wall Street est un excellent film !
Gordon Gekko: le personnage qui m'a le plus effraye par son attitude. Michael Douglas l'imortalise. De plus, la description du monde boursier est hallucinante...
Un des premiers grands films d'Oliver Stone, juste après le génial "Platoon"... On sent le futur grand cinéaste très impliqués par cette œuvre tres intéressante sur l'économie, avec un coté politique relativement modéré. La mise en scene est de grande qualité, et les acteurs sont excellents : on retrouve au casting, entre-autres, Martin et Charlie Sheen ainsi que Michael Douglas, tous vraiment excellents. "Wall Street" est un film tres intelligent qui porte a l'écran un scenario de qualité. Tres intéressant.
Meilleure que la suite que nous a pondu Oliver Stone mais bon ce n'est pas pour autant un bon film! Là aussi un scénario maigre, une histoire plate sans grand intérêt! Bref, on s'ennuie devant ce film!
Un bon film qui a un peu vieilli mais qui était caractéristique d'une époque. La leçon de morale sur faire de l'argent avec de l'argent ets par contre toujours d'actualité.
Oliver Stone décrit l'ascension d'un jeune trader dans le monde cynique et avide de la finance. Si la réalisation a pris un petit coup de vieux, le sujet est pleinement d'actualité, et on a l'impression que ce monde de fou qui est décrit n'a pas du tout changé, voire s'est empiré (si ce n'est certains excès typiques des années 80). Seulement, la réflexion principale du film n'est pas vraiment originale (l'honnêteté triomphe moralement des magouilles, richesse et bonheur ne sont pas équivalents, etc.). Néanmoins, le personnage devenu culte de Gordon Gekko (incroyable Michael Douglas !) vaut amplement le coup d’œil, et malgré tout ses termes techniques, le film peut être apprécié par des spectateurs ne connaissant rien au milieu.
Film d'une grande ampleur et toujours aussi criant de réalisme, d'actualité même 20- 30 ans après. Michael Douglas incarne quand à lui le rôle de sa vie, de sa carrière: Gordon Gekko! Ce personnage est sans conteste entré dans les légendes des personnages les plus mythiques du cinéma. Magnifique film orchestré par un Oliver Stone bien inspiré, comme ce fut le cas durant les années 80 et débuts des années 90!
Wall street est un très bon film d’Oliver Stone. J’ai vu le long-métrage de 2010 avant de visionner celui-ci et j’ai trouvé ce premier film meilleur que le suivant. La mise en scène du réalisateur est irréprochable, il réussit à installer une ambiance intéressante, il y a un bon rythme, les dialogues sont excellents, les acteurs comme Michael Douglas, Martin Sheen ou encore Charlie Sheen sont convaincants dans leurs rôles etc… Bref, c’est à découvrir.
Film mythique sur les méfaits de la spéculation boursière, Wall Street est dans son premier tiers une aimable comédie agréable à regarder. Puis elle se délite malheureusement peu à peu - par la faute d’un scénario aux faiblesses criantes - jusqu’à une fin terriblement conventionnelle et sans imagination, à la morale plus que douteuse pour ne pas dire équivoque. Les personnages perdent dans le même temps leur épaisseur de départ, et deviennent au final des pantins sans désir, sans motivations et sans intérêt. Question interprétation, Michael Douglas est toujours aussi fade et ne parvient que par rares moments à trouver son personnage. Martin Sheen qui lui donne la réplique n’est guère convaincant lui non plus dans son rôle de jeune loup aux dents longues vit battu et vite repenti… Quant à la mise en scène d’Oliver Stone, en dehors de nous livrer quelques beaux plans de New York, elle est très conventionnelle elle aussi et ne tire pas l’ensemble vers le haut.
C'est pas le genre de film que j'ai l'habitude d'aimer, mais celui - je pense - décrit bien son milieu. Et surtout, le personnage principal n'est ni complétement bon, ni complétement mauvais ; un homme, quoi.