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    Diabolo Menthe
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    3,8
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    60 critiques spectateurs

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    chrischambers86
    chrischambers86

    13 849 abonnés 12 453 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mars 2022
    Le film culte d'une gènèration fête aujourd'hui ses 45 ans! Mais si vous savez...cette comèdie de moeurs à succès de Diane Kurys dont on se souvient pour la fraîcheur de ses actrices, la sincèritè du propos et la nostalgie d'une èpoque rèvolue! Et on arrête les trous de mèmoire car "Diabolo Menthe" (1977), c'est aussi la chanson titre de Yves Simon! Avec pour toile de fond une chronique adolescente sage et corsetèe à peine troublèe par le massacre sanglant de Charonne comme le soulignera si justement Corinne Dacla! Nous sommes en 1963! En France, on va voir "Il sorpasso" au cinèma, on admire la cool attitude de Steve McQueen dans "The Great Escape" et on pleure la mort de Kennedy dans une classe! Le mètrage a juste ce qu'il faut de moquerie (la prof de maths jouèe par Dominique Lavanant), de dèlicatesse (l'anniversaire surprise offert à la mère par ses filles) et de cruautè (le maquillage interdit en cours de dessin) pour qu'on s'attache vraiment à Anne (Eleonore Klarwein, inoubliable, avec sa frange un peu trop longue) et aux personnages entre premiers èmois, premières larmes et premiers collants! Le chef d'oeuvre de Kurys...
    Julien D
    Julien D

    1 208 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 septembre 2013
    Très émouvant retour sur les années de lycée de sa réalisatrice, Diabolo Menthe est un des tout premiers teen-movies ancrés dans les années soixante, comme l’a été American graffiti aux Etats-Unis. Mais ce qui fit réellement du film un phénomène de société et le film culte de toute une génération c’est parce qu’à l’époque de sa sortie Diane Kurys était l’une des seules femmes à connaitre un tel succès en France. C’est justement de son point de vue de femme qu’elle aborde avec énormément de sincérité tout un tas de sujets encore assez tabous et purement féminins tels que les premières règles ou les amours entre adultes et adolescents et des éléments tout aussi subversifs représentatifs de cette époque où la discipline stricte des adultes commençait, cinq ans avant mai 68, à être remis en question par la politisation de la jeunesse. Ajoutez à cela d’excellentes jeunes actrices pleines de vie et une inoubliable musique signée par Yves Simon, et vous obtiendrez cette œuvre intemporelle sur la jeunesse.
    Caroline C
    Caroline C

    28 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 août 2010
    J'ai découvert ce film à l'adolescence, et malgré les 30 années qui nous séparaient, je me suis sentie très proche du personnage de Anne, de ses doutes, de ses envies, de ses joies et de ses peines. Le lycée, les profs qu'on aime ou qu'on déteste, les affinités avec les copines qui changent au fil du temps, les relations avec la famille... tout sonne tellement juste ! Diabolo menthe, c'est un dosage parfait d'humour et de nostalgie, de petites joies et de vague à l'âme. La musique d'Yves Simon (et surtout son magnifique générique de fin) finissent de nous tirer une petite larme qu'on verse sans trop savoir pourquoi... comme quand on avait 13 ans...
    Alain D.
    Alain D.

    597 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 août 2018
    Cette comédie écrite et réalisée par Diane Kurys nous replonge avec nostalgie dans les années 60 ; le temps des boums, de Nougaro, de JFK et du SLC de Daniel Filipacchi. Son scénario, plutôt inconsistant, nous dépeint l'évolution de deux jeunes filles ados : le lycée, les garçons, l'éveil en politique ... Même si le film a pas mal vieilli, il nous offre de jolies scènes malheureusement trop courtes et trop rares.
    Heureusement cette comédie nous offre tout de même de belles images, une charmante BO de Yves Simon (avec "petite Anne") et une affiche attractive. Les jeunes actrices font plaisir à voir. Eléonore Klarwein (Anne la cadette) et Odile Michel (l'ainée des sœurs) sont parfaitement naturelles. Quant aux enseignants, Dominique Lavanant en prof de maths et Dora Doll en prof de gym, ils se révèlent assez gratinés.
    William G.
    William G.

    11 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 novembre 2011
    J'ai toujours adoré ce film, ça rapelle la rentrés des classes, c'est sûr c'est une période un peu ancienne pour moi, mais malgrès ça, il laisse un goût mélancolique sur les années "lycée". Bref, à voir absolument.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 septembre 2013
    Je l'ai vu ado, j'adore le voir et le revoir, j'aime le fait que les années 60 soient bien reconstituées.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 avril 2008
    Il faut d'abord rappeler que le film tourné en 1977 fait revivre une période (1962) qui fait figure de préhistoire en matière d'éducation. Pourtant, pour l'avoir revu 30 ans après sa sortie, il tient la route car il était sincère à l'époque et ça, la sincérité, c'est qq chose qu'on ne peut pas retirer et qui traverse les années. Chaque scène sonne juste.
    Que les petites filles (oh! pardon, jeunes filles) du 21ème siècle regardent et donnent leur avis. Il me semble qu'il est intemporel.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 juin 2009
    C'était un monde sans portables, heureusement. À voir et revoir. J'ai encore des frissons nostalgiques en entendant certains slows.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Ce film a beaucoup vieilli mais se regarde toujours avec un bonheur teinté de nostalgie.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 171 abonnés 5 171 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 septembre 2017
    On ne peut s'empêcher de penser à une autre "boum", mais en vérité j'ai trouvé ce film profondément mélancolique, tendre et véritablement sensible. Évoquant avec grâce et délicatesse la prime adolescence, celle qui effraie en même temps qu'elle attire. Les propos sont forts, tristes et joyeux en même temps. Une très belle peinture d'une époque de la vie et de l'histoire.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 avril 2010
    Cette chronique sur les ados sur l'époque des yéyé est remarquable, et pour moi le meilleur film justement sur les années 60.Prix L.Delluc 1977;il est également l'une des oeuvres majeurs de D.Kurys,sortie àprés le nul des nul 'A ns les petites anglaises'et avant la boom 1 culte avec Sophie Marceau .Je pense que ce type de sujet touche tt le monde,vraiment délicat comme Eléonor Klarwein alors àgée de 13 ans et puis d'une maniére perso, il est un souvenir indélébile de ma vie .... à toi Cécile nos tendres années snif.
    real-disciple
    real-disciple

    83 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 août 2010
    un beau film sur les années lycées, belle musique de fin, actrices convaincantes (Éléonore Klarwein en tete). Cela change des teen movies debiles a l'américaine, ici on est dans l'ame des ados bien caracteristique. De plus le cadre des années 60 est bien rendu (film sorti en 1977)
    selenie
    selenie

    6 305 abonnés 6 196 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 décembre 2008
    Joli film sur l'adolescence. La force du film est sans doute des avoir coller au plus près d'une vérité même si on a l'impression d'être dans les années 70 plutôt que des années 60 notamment dans les relations enfant-parents. La nostalgie et le retour à cette époque sont parfaitement retranscrise. Cependant la chronique manque de style ; pas vraiment comédie, pas non plus un drame, le tout manque vraiment de caractère.
    VOSTTL
    VOSTTL

    98 abonnés 1 947 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 janvier 2020
    Je n’aime pas cette boisson et pourtant revoir de temps en temps ce « Diabolo Menthe » est rafraîchissant. Pour nous le servir, ça n’a pas été simple semble-t-il : Diane Kurys, toute jeune comédienne, s’est heurtée à de nombreux refus à la lecture de son scénario. Mais à force de volonté, elle a su à terme imposer sa chronique adolescente. Son adolescence, ses années lycée et familiale. Ce n’est pas qu’une oeuvre cinématographique, « Diabolo Menthe » est un engagement. Un premier film de surcroît qui sera un succès, donnant tort à tous les producteurs sceptiques qui ont sous-estimé son écriture. D’aucuns pourront toujours dire que cette chronique est assez creuse, que cette tranche de vie manque d’épaisseur, en ce qui me concerne, c’est tout le contraire. Attention, je ne dis pas que c’est une oeuvre majeure à inscrire au panthéon du cinéma. N’exagérons rien. Mais l’air de rien, Diane Kurys distille des petits billets sur les évènements de Charonne, sur la condition féminine et son droit de vote, où l’on détecte que le vote féminin s’appuierait sur le vote du père ou du mari, sous-entendu que les femmes n’auraient pas de personnalité ; sur l’ignorance de la sexualité et des garçons et ce sujet pourrait être d’actualité, et encore avec Internet, les filles d’aujourd’hui sont déjà au courant dès la 6ème (pour avoir travaillé en collège, je sais de quoi je parle) ; des petits détails comme porter des collants ou des bas, synonyme d’émancipation. Début des années soixante où les collèges et lycées n’étaient pas mixtes. A noter, que Diane Kurys n’accorde pas beaucoup d’importance à l’homme : il a la figure du père divorcé dont les apparitions sont fugaces ; le visage de l’amant, effacé ; du factotum, débordé à l’autorité tournée en ridicule ; le père de Murielle est un fantasme pour Frédérique ; son petit copain, vite évacué parce qu’ennuyeux selon elle ; un commerçant pervers ; sans compter des badauds-satyres qui scrutent des élèves en cours d'éducation physique ! Les autres ne sont que silhouettes et éléments décoratifs ! Ça en dit long sur l’univers adolescent de Diane Kurys. Eléonore Klarwein en petite Anne et Odile Michel soeur aînée d’Anne défendent admirablement leur personnage. Le ton général du film est juste. Diane Kurys rejoint le cercle fermé ou restreint des femmes cinéastes de ces années 70 : Yannick Bellon, Coline Serreau, Nina Companeez, et bien avant elles Nelly Kaplan et évidemment Agnès Varda. Ce « Diabolo Menthe » a parfois un arrière-petit goût de madeleine de Proust. Je tiens à rassurer qu’il n’est pas nécessaire d’avoir connu l’encrier, les pupitres, les tabliers aux couleurs d’un établissement scolaire des années 60 pour apprécier ce film. Je n’ai pas connu le XVIIème siècle par exemple et j’apprécie les films de cape et d’épée !
    Hotinhere
    Hotinhere

    564 abonnés 4 982 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mars 2022
    Chronique adolescente autobiographique teintée de nostalgie de Diane Kurys qui évoque les années lycées au début des années 60 à travers le regard de deux sœurs. Une comédie douce-amère entre premiers émois amoureux et entrée dans l'âge adulte, portée par la jeune Éléonore Klarwein et ponctuée par la belle chanson d'Yves Simon.
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