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Synopsis
Angie se fait virer d'une agence de recrutement pour mauvaise conduite en public. Elle fait alors équipe avec sa colocataire, Rose, pour ouvrir une agence dans leur cuisine. Avec tous ces immigrants en quête de travail, les opportunités sont considérables, particulièrement pour deux jeunes femmes en phase avec leur temps.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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3,0
Publiée le 25 septembre 2010
Une performance que cette étude des dérives du capitalisme sauvage doublé d’un magnifique portrait de femme, qui permet la révélation d’un réel talent, l’impeccable Kierston Wareing, à la fois forte et fragile, méprisable puis adorable.
shmifmuf
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3,5
Publiée le 20 octobre 2012
Un Ken Loach dur et désenchanté sur le monde du travail en Grande-Bretagne. Kierston Wareing est la grande révélation de ce beau film social.
gimliamideselfes
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2 335 abonnés
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5,0
Publiée le 23 janvier 2008
Magnifique Loach n'a pas perdu la main et livre est excellent film sans une touche d'humour et nous obtenons un film ou l'espoir n'est plus permis, on sent bien les idées politiques de l'auteur qui les fait passer par l'émotion de ses personnes. Vraiment épatant.
Hotinhere
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3,5
Publiée le 17 juillet 2013
Un film social poignant sur la globalisation et les dérives financières malsaines mais également un beau portrait de femme joué par une actrice formidable.
Présenté à la 64e Mostra de Venise, It's a free world... a décroché le Prix du Scénario. Le juy était présidé par Zhang Yimou.
Ce qui travaille Loach
Selon Ken Loach, l'origine de It's a free world... remonte aux Dockers de Liverpool, ce documentaire qu'il réalisa en 1997 "La disparition de la sécurité de l'emploi des travailleurs et l'augmentation du nombre d'agences de placement sont des éléments très significatifs sur lesquels on ne communique pas. C'est pourtant un fait explicite de la manière dont la vie des gens a changé, et aussi le résultat d'une décision politique, qui peut être
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Un scénariste Laverty en vaut au moins deux
Le script de It's a free world... est signé Paul Laverty, scénariste attitré de Ken Loach depuis Carla's song en 1996 (The Navigators faisant figure d'exception). Né à Calcutta, Laverty a d'abord fait des études de droit, exerçant ensuite notamment le métier d'avocat au Nicaragua aux côtés des associations de défense des Droits de l'homme. Avant de voir son travail pour It's a free world... salué à Venise, il a déjà été primé aux British Indepen
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Complètement déçu par ce Ken Loach !! C'est gros, caricatural et pas émouvant deux secondes ! L'actrice principale est exaspérante et j'ai eu beaucoup de mal avec son personnage qui ne rend pas le film émouvant par là dessus. Je m'attendais à un film social plutôt prenant et j'ai eu l'impression de me retrouver devant une mauvaise série américaine !! Un raté total pour moi ! On a connu Ken Loach bien meilleur !
Florent L.
Après avoir regardé Le vent se lève de Ken Loach, un ami m'a conseillé de regarder It's free world.Le thème abordé ici est les conditions et l'exploitation des ouvriers immigrés dans les pays occidentaux, un thème donc très sensible. Ken Loach retranscrit avec fidélité la difficulté qu'ont une fois sur le sol anglais les travailleurs, venus d'Europe de l'est pour une grande partie, à chercher un travail stable. Ils sont pour la plupart surexploités et très mal payés, voir carrément pas payés, comme le montre à un passage le film.Deux jeunes femmes lancent leur boîte d'intérims, mais vont très vite employé des sans-papiers, car, comme dans la vie de tous les jours, aucun pays n'est attribué à ces personnes, et les deux jeunes femmes vont très vite profiter d'eux, avec quelques fois des élans de culpabilité, mais leur propre situation personnel l'emportera toujours sur la condition humaine des autres. Un film plein d'humanisme et de remise en question, très intéressant, à faire montrer à ceux insultant les immigrés de "profiteurs", alors que les profiteurs semblent se trouver de l'autre côté de la barrière.Rappelez-vous cette citation de Voltaire : "Pour savoir qui dirige, il faut savoir qui on ne critique jamais".
beautifulfreak
Un sujet fort sur l'exploitation. Ken Loach toujours aussi engagé.
Pascal37
L'immoralité est dès le début et la fin se finit sans aucune dignité, aucune leçon, aucune empathie et aucune once de compassion. "The show must go one" comme on dit ! Ken Loach montre et décrypte ce que l'humain peut faire à ses congénères et jusqu'où aller pour une certaine "réussite" en trouvant toutes les excuses (aveugles) pour les excuser. La prédation de notre actrice est froide, sans concession, aveugle, méchante, envieuse, profiteuse ... enfin, que du sombre, bien au-delà de l'esclavagisme. Le trait est profondément marqué, sacrément marqué. On est mal à l'aise par sa "stupidité" et on attend, vainement, la sanction, c'est dérangeant que justice n'arrive pas. Outre le premier degré d'exploitation, c'est le caractère qui stupéfait avant tout ! Un gros regret : que ce soit K. Wareing dans le rôle, elle ne convint uniquement que par ses choix et ses propos, pas par sa prestation très mauvaise. Juste un 3/5 pour cela !!!