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La particularité de ce long métrage est de plonger dans la communauté gay afro-américaine. Bien rythmé par la musique, ce film est plein de chaleur, d'humour et attendrissant à la fois. Bon moment passé au travers de concours de danse qui semblent inventés de toute pièce.
César D.
28 abonnés
616 critiques
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5,0
Publiée le 14 août 2013
je m'attendais à un docu sur le voguing, et bien pas du tout! c'est une comédie musicale, et quelle comédie musicale! un tourbillon queerissime, des tapioles glamours et des travestis dans tous les coins. ça fait plaisir à voir! un jeune homme est mis à la porte de chez lui par sa mère homophobe quand elle découvre que son fils ne partage pas sa vision étroite de la vie, il se retrouve dans le milieu de balls, sorte de concours de ...
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I'm A Rocket Man
161 abonnés
2 509 critiques
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1,5
Publiée le 7 novembre 2015
Moi je n'ai pas accroché avec ce film ! Trop décalé, trop d'humour, trop kitsch... J'aurais aimé quelque chose de plus profond, de plus dramatique et je me suis ennuyé ! Entre répliques puériles et battles interminables, je ne me suis pas pris au jeu ! Dommage j'avais choisi ce film pour passer un bon moment pour fêter les 5 mois de couple avec mon compagnon ! Un fiasco !
Un visiteur
4,5
Publiée le 18 août 2013
Leave It On The Floor est une véritable perle queer qui n'a rien à envier à Paris is Burning.
Leave It On The Floor est le premier long métrage de Sheldon Larry. Le réalisateur qui a commencé sa carrière dans les années 1970 s'était consacré uniquement à la télévision, entre séries, téléfilms et documentaires.
Danseur chevronné
Ephraim Sykes, qui interprète le personnage principal de Leave It On The Floor, est un danseur chevronné. En effet, il a déjà fait ses preuves à différentes occasions comme sur les planches de Broadway à New York ou encore à la télévision notamment dans la série Smash.
Un intérêt
Le cinéaste Sheldon Larry reviens sur son intérêt pour la « ball culture », et du coup sur son envie de mettre en scène Leave It On The Floor : "C’est le film Paris is burning de Jennie Livingston, sorti en 1990, qui a suscité mon intérêt. Il propose un regard incroyable sur le mouvement des « balls » (ou « ballrooms ») né à New York dans les années 1980. En vingt ans, cette avant-garde culturelle a connu de profondes évolutions. Peu de documents
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