Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
L'Empire romain est déchu depuis un siècle, et les villes romaines subissent les attaques des barbares. Les survivants d'un raid sur Vérone organisent une résistance aux hordes de Lombards ravageant l'Italie, et c'est Emiliano prend la tête de la guérilla.
Suivre son activité
130 abonnés
Lire ses 2 223 critiques
3,5
Publiée le 5 octobre 2012
un film d'époque montrant toute le puissance physique de Steve Reeves !!! culte
tomPSGcinema
Suivre son activité
536 abonnés
Lire ses 3 323 critiques
1,5
Publiée le 8 octobre 2012
On est loin d’être devant un grand péplum car la mise en scène de Carlo Campogalliani manque clairement d’ampleur et de séquences épiques digne de ce nom, tandis que les comédiens sont d’une grande médiocrité. D’ailleurs, on notera la performance bien quelconque et décevante d’un Steve Reeves pas suffisamment impliqué. Reste tout de même une histoire qui est loin d’être désagréable, la présence de très beaux décors et ...
Lire plus
soniadidierkmurgia
Suivre son activité
786 abonnés
Lire ses 3 875 critiques
3,0
Publiée le 19 mai 2022
« La terreur des barbares » est le troisième péplum que Steve Reeves tourne en Italie après le succès des « Travaux d’Hercule » de Pietro Francesci qui dès 1959 l’impose comme le roi d’un genre alors en pleine renaissance. C’est Carlo Campogalliani, réalisateur très expérimenté ayant débuté durant la période du muet, qui dirige le film. Rien ne manque à ce péplum photographié par Mario Bava. Des muscles de Steve Reeves ...
Lire plus
Acidus
Suivre son activité
475 abonnés
Lire ses 3 492 critiques
1,5
Publiée le 2 octobre 2013
Un péplum à l'histoire des plus basique et son lot de clichés habituels. Comme toujours, Steve Reeves joue le rôle d'un "Hercule" romanesque; un rôle qui lui permet d'étaler encore une fois ses aptitudes et son passé de culturiste (ancien Mr. Universe tout de même). Ce péplum aurait pû être agréable sans cette réalisation à deux sous et cette mise en scène qui laisse à désirer. On frise souvent le ridicule mais rarement le bon.