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Synopsis
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Fernando, un ornithologue, descend une rivière en kayak dans l’espoir d’apercevoir des spécimens rares de cigognes noires. Absorbé par la majesté du paysage, il se laisse surprendre par les rapides et échoue plus bas, inconscient, flottant dans son propre sang.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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111 abonnés
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2,5
Publiée le 14 décembre 2016
Il y aura sans doute deux sortes de spectateurs pour ce film : les fanas du réalisateur portugais, pas des foules mais une poignée fervente et les autres attirés par...l'affiche, les bonnes critiques, les oiseaux ou le hasard. Chacun risquera de vivre le film différemment. Le spectateur de hasard, peut être venu pour le thème "seul dans la forêt", pensant découvrir une sorte de "Délivrance" à la portugaise, risque la déception. ...
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Christoblog
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636 abonnés
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1,0
Publiée le 20 décembre 2016
Ainsi donc, Joao Pedro Rodrigues a-t-il l'insigne honneur de rejoindre mon Panthéon des réalisateurs qui se foutent de la gueule de leur spectateur.
Il siège donc aux côtés de l'inénarrable Albert Serra (dont le Chant des oiseaux est le chef-d'oeuvre absolu de ce genre ingrat), et non loin de d'Alexandr Sokurov, Béla Tarr, Lisandro Alonso et Carlos Reygadas.
Le point commun de tous ces cinéastes de grand renom, encensés par la critique ...
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Cinemaniakmontreal
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12 abonnés
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4,0
Publiée le 21 novembre 2016
L’ornithologue est assurément la plus belle proposition projetée cette année au Festival du Nouveau Cinéma. 5ème long métrage du Portugais Joao Pedro Rodrigues, le film nous entraîne dans un étrange univers à mi-chemin entre mythes et réalité, sans jamais lasser le spectateur. Au contraire.♥♥♥♥
Le Français Paul Hamy campe Fernando, un ornithologue quarantenaire qui part en kayak à la recherche d’une espèce rare de ...
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Le film d'Ariane
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58 abonnés
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2,0
Publiée le 30 novembre 2016
La présence de Paul Hamy au générique (qui plus est dans le rôle titre) a attisé ma curiosité. Cet acteur magnétique vu dans « Suzanne » de Katell Quillévéré, « Elle s’en va » d’Emmanuelle Bercot ou « Peur de rien » de Danielle Arbid m’a toujours impressionnée. Dans ce film atypique, provocant et surréaliste, il incarne Fernando, un ornithologue parti observer, à bord d’un kayak, la faune volante des gorges fluviales du ...
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João Pedro Rodrigues a obtenu le prix du Meilleur réalisateur au prestigieux Festival de Locarno pour L'Ornithologue. Il s'agit de son cinquième long-métrage.
Déjà vu
Avant de se lancer dans le cinéma, João Pedro Rodrigues voulait lui-même devenir ornithologue, et avait débuté des études de biologie en ce sens. De son propre aveu, le réalisateur filme un personnage qui lui ressemble : "Ce Fernando, ce futur António donc, force est d’admettre qu’au fur et à mesure je l’ai teinté de ma propre histoire. S’il vit en moi, je me suis un peu fait vivre en lui également, juste retour des choses. C’est un per
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Duo d'artistes
João Pedro Rodrigues travaille très régulièrement avec João Rui Guerra da Mata, notamment sur de nombreux courts-métrages ainsi que pour des installations et œuvres plastiques pour les musées et les galeries.
J'aurais bien du mal à dire en quoi ces éléments peuvent faire en sens, étant peu versé en ésotérisme abscons.
Maitre Kurosawa
Si tous les cinéastes radicaux se foutaient de la gueule des spectateurs, on jetterait alors quelques chefs-d’œuvre à la poubelle.Je reprends la dernière phrase de ta critique : - En résumé, et même en admettant que le réalisateur est honnête, force est de constater que sa démarche est peu respectueuse de la bêtise de ses spectateurs, dont je fais partie. Un cinéaste n'a pas à se préoccuper des spectateurs, il fait avant tout des films pour lui : il faut surtout être à la hauteur des films que l'on regarde et ne pas reprocher à celui qui les fait d'être irrespectueux.Quant à l'ensemble de ta critique, je la trouve bien légère (euphémisme) en ce que tu n'essayes jamais de dire en quoi les éléments hétérogènes du film pourraient faire sens. C'est donc plutôt toi qui insultes le travail d'un cinéaste qui, lui, sait indéniablement où il va.