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Synopsis
Où Schéhérazade doute de pouvoir encore raconter des histoires qui plaisent au Roi, tant ses récits pèsent trois mille tonnes. Elle s’échappe du palais et parcourt le Royaume en quête de plaisir et d'enchantement. Son père, le Grand Vizir, lui donne rendez-vous dans la Grande Roue. Et Schéhérazade reprend : « Ô Roi bienheureux, quarante après la Révolution des OEillets, dans les anciens bidonvilles de Lisbonne, il y avait une communauté d’hommes ensorcelés qui se dédiaient, avec passion et rigueur, à apprendre à chanter à leurs oiseaux... ». Et le jour venant à paraître, Schéhérazade se tait.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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90 abonnés
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3,0
Publiée le 26 août 2015
Dans la première partie de L'enchanté, Shéhérazade parcourt Bagdad (...) à la rencontre - aléatoire - de personnages légendaires (...). Ce segment, trop court, séduit et se place dans la lignée des deux premiers volets. La suite est plus décevante. Pour conclure cette saga, on attendait une explosion et Gomes prend le contre-pied en s'intéressant, trèèèèès longuement aux pinsonneurs, ces éleveurs qui font chanter les petits ...
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traversay1
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2 040 abonnés
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2,5
Publiée le 1 septembre 2015
Le dernier tome des Mille et une nuits de Miguel Gomes (L'enchanté) commence vraiment bien. Schéhérazade est plus présente et découvre le Portugal d'aujourd'hui. Un choc des cultures évoqué avec malice et humour par un Miguel Gomes en grande forme. Est-ce le meilleur volet de la trilogie ? Point du tout ! Un long, beaucoup trop long, passage sur les "pinsonneurs", ces passionnés du chant des oiseaux qui organisent des concours, va occuper ...
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islander29
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533 abonnés
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3,5
Publiée le 28 août 2015
Assurément le moins bon de la trilogie, celle-ci se terminant, c’est le cas de le dire en queue de pinson (pardon) ……Le film coupé en deux (Shéhérazade) 30 min et les pinsonneurs (1h30) a beaucoup moins d’impact dans la métaphore (elle n’est plus politique, ni économique), il use de peu d’images ou de symboles et se tourne franchement vers le documentaire sur le « métier » de pinsonneur qui aurait pu être traité de façon ...
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Kurosawa
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435 abonnés
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3,0
Publiée le 28 juillet 2018
Plus minimaliste sur le plan narratif que le deuxième volet – seulement deux histoires racontées dans "L'Enchanté" – la dernière pièce de cette fresque originale sur la crise économique au Portugal éblouit d'abord avant de décevoir franchement. Les trois premiers quarts d'heure sont débarrassés du social et ne réfléchissent qu'à la nécessité de raconter des histoires. Tourné vers le mythe et le soleil méditerranéen, Gomes ...
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"C'est le retour de Miguel Gomez à la Quinzaine après "Ce cher mois d'août" en 2008", selon Edouard Waintrop, délégué général de la Quinzaine des réalisateurs.
En sélection à Cannes 2015
Les Mille et Une Nuits de Miguel Gomes est sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs du Festival de Cannes 2015.
Projet caché mais abouti
Pour nourrir son film, le réalisateur Miguel Gomes a constitué une équipe de journalistes chargées de recueillir des informations. Le long métrage se préparant dans le plus grand secret, leurs recherches et collaborations se sont faites dans le cadre de ce qu'ils ont appelé "le Comité Central". Il raconte : "Le Comité Central vote les propositions d’investigation des journalistes ; informés des priorités du Comité Central, les journalistes n
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Depuis ce matin, jour de sortie du premier volume, j'entends les commentaires les plus flatteurs ("chef d'oeuvre") à la radio. Ah oui ? J'ai vu à Cannes (accréditation Cannes Cinéphile) le 3ème volume, lors de sa seule projection vers nous, les amateurs. Cette salle assez petite n'était pleine qu'à moitié au début (d'habitude la salle est à peu près pleine même lors de la 2ème ou 3ème projection), tellement le bouche à oreille des premiers volumes n'avait pas été bon, et la moitié de ceux qui s'étaient fourvoyés là n'ont pas tenu et sont partis avant la fin... ce que j'aurais volontiers fait si je ne m'étais pas engagée à ramener quelqu'un à la fin. Il faut dire que sur 2 heures de film, la première demi-heure était assez intéressante, assez loufoque, fourre-tout, très colorée, mais ensuite il faut subir une heure et demie de concours de pinsons ! Mortel ! Ca aurait pu faire un documentaire de 26 minutes, pas plus. Ca, un chef d'oeuvre ? Je ne comprends vraiment pas...
spider1990
3,5/5 meilleur que le 2. Surimpressions, la 1ére partie nous hypnotise. Entendre les oiseaux chanter à tue tête lasse au bout d'un moment.