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Synopsis
1891. Gauguin s’exile à Tahiti. Il veut trouver sa peinture, en homme libre, en sauvage, loin des codes moraux, politiques et esthétiques de l’Europe civilisée. Il s’enfonce dans la jungle, bravant la solitude, la pauvreté, la maladie. Il y rencontrera Tehura, qui deviendra sa femme, et le sujet de ses plus grandes toiles.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
L'acteur principal livre une belle prestation en tant que Gauguin. Aussi le film est bien réalisé et soigné. Et les paysages sont magnifiques. Ce film historique m'a plu et m'a permis de m'évader un peu.
Gerry O.
5 abonnés
30 critiques
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1,0
Publiée le 22 septembre 2017
Ce film pourrait être un biopic convenu de plus consacré aux maîtres de la peinture, mais des ellipses opportunes dans le scénario en font une œuvre au mieux incroyablement maladroite, au pire parfaitement abjecte. Car malgré ce que pourrait laisser croire le biopic, elle ne fut pas la seule à partager la vie de l’artiste dans l’île : il y eut aussi la jeune prostituée métisse Titi, ainsi que Pau’ura et Vaeoho (toutes deux 14 ans. ...
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Anne M.
56 abonnés
626 critiques
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3,5
Publiée le 24 septembre 2017
Le film raconte un épisode de la vie de Paul Gauguin : son premier séjour à Tahiti débutant en 1891, jusqu’à son rapatriement.
Laissant femme et enfants en Europe, sans le sou, Paul Gauguin espère trouver matière à créer et de quoi vivre en Polynésie Française. Il va y rencontrer Tehura. Si sa créativité est foisonnante, il ne parviendra pas à gagner sa vie.
Le film d’abord, met en valeur l’île de Tahiti et ses habitants. ...
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Corinne H
32 abonnés
5 critiques
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1,0
Publiée le 23 septembre 2017
Beaucoup trop de mensonges dans ce film qui édulcorent cet épisode dans la vie de Gauguin. L'âge de ses maîtresses tahitiennes qui avaient 13-14 ans seulement. Et il n'avait pas du diabète mais la syphilis. Le film essaie de le faire passer pour un marginal alors qu'au fond il s'est comporté comme un colon blanc tout à fait typique. Étonnant qu'ne 2017 on ne parvienne toujours pas à faire un film qui n'édulcore pas notre passé colonial.
C'est sa rencontre avec "Noa Noa", carnet de voyages écrit par Paul Gauguin après son premier séjour à Tahiti en 1893, qui a donné envie à Edouard Deluc de faire un film centré sur cet artiste. Le metteur en scène confie : "C’est un objet littéraire d’une grande poésie, un récit d'aventures, entre autre, d’un souffle romanesque assez fou. C’est une sorte de journal intime, d’une grande humanité, sur son expérience Tahitienne, qui mêle récit, impr
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Une libre adaptation
Edouard Deluc a cherché à adapter librement "Noa Noa", c'est à dire que tout ce que le film donne à voir est vrai, mais parfois romancé. Le réalisateur développe : "Tous les personnages du film ont existé dans l’environnement tout proche de Gauguin, mais nous avons creusés des pistes qui faisaient d’avantage écho en moi, nous devions articuler un récit, travailler les enjeux, ce qui n’était pas forcément le cas dans « Noa Noa ». La « vérité histo
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2 phrases clés
Deux phrases prononcées par Paul Gauguin, personnage hors-normes à la poursuite d’un rêve hédoniste, ont guidé le travail de Edouard Deluc : "Je ne suis pas ridicule, je ne puis pas l’être car je suis deux choses qui ne le sont jamais, un enfant et un sauvage." Et "Je retournerai dans la forêt vivre de calme, d’extase et d’art."
Pardonnez moi je n'ai vu ce film qu'hier, sur une chaîne payante...que d'ailleurs j'ai jugé très moyen (Cassel m'impressionne souvent, selon moi il est Grand Acteur, mais dans ce rôle, sa diction est beaucoup trop actuelle et fausse donc tout le personnage qu'il est censé incarner).Mais là n'est pas le sujet. Je tiens avant tout à répondre à une de vos abonnée qui se prend pour une journaliste alors qu'elle est uniquement fichuE (avec un E, oui...) de nous pondre 600 lignes de féminonazisme... une certaine Johanna V.Voilà le problème de cette Dame, dont j'ignore l'âge mais qui toutefois nous offre gracieusement ses conseils de lectures... Sachez que lorsque l'on s'adresse aux yeux et aux oreilles du Monde entier ( oui on appelle ce truc Internet ), selon moi (mais peut-être ai-je tout à fait tort car on perd ici du temps, à se relire, n'est-ce pas ? take time), les FAUTES D'ORTHOGRAPHE devraient être tout simplement interdites. Car féministes ou non, prendre la parole et donner son avis à tort et à travers demande une rigueur minimum, et oui je le sais, beaucoup de monde aujourd'hui, se fiche pas mal de savoir si : vendu(e), reconnu(e), vérité caché(e), ou encore je me suis détesté(e) etc etc... sont des fautes d'orthographe dans votre texte.Et ce que je souligne là vaut pour beaucoup de monde... Pour moi la coupe est pleine, s'agissant des fautes de français comme du mauvais féminisme, alors...Alors continuez à bien (joué à Internet), mais je vous interdis de dégoûter les femmes qui aiment encore les hommes, car elles existent je vous le jure.Vincent C.
Michaël D.
Cassel usurpe une fois de plus le titre d'acteur et n'est en rien crédible en l'artiste. Ajoutons à cela un scénario qui ne montre pas la vie de l'artiste, son oeuvre, sa passion. Un vrai chef d'oeuvre de cinéma raté !
Joey Cusack
Malgré un Vincent Cassel en tête d’affiche qui attire l’œil, Gauguin est un biopic très lent, qui certes s’amuse à filmer une star, de la même façon que dans Lost in translation. Un film de 2017 à oublier, malgré certaines scènes assez intéressantes. Je le déconseille aux moins de 7 ans. 2/5
moi!
Les tableaux je sais pas, le film lui est beurk...
defleppard
Ennuyeux sur la longueur.................scénario très mince.....................manque d'épaisseur...............déçu...........2 étoiles......!!!!!!
Star_Pingu
moi je crois que quiconque à cette époque qui allait dans une colonie se sentait supérieur à ces primitifs. Le racisme était la normalité en ce temps. Le but de gauguin c'était justement de rencontrer des primitifs afin de faire revivre ses instincts primitifs (ou plutôt cela collerait avec le style qu'il utilise: peindre des primitifs dans un art primitif). Il est parti à tahiti car on lui avait promis d'acheter ses tableaux une fois revenu. En réalité, il avait déjà décidé du style qu'il allait utiliser pour ses tableaux. Son voyage ne lui a rien apporté. Peut-être que dans ce film, on nous dépeint un personnage pauvre qui ne cherche que la simplicité en allant à tahiti mais si on lit son livre, on se rend compte que ce n'est pas le cas.https://youtu.be/H-Z_DzDyTI...
L'irrationnel
J'aimerai bien le voir mais j'peux pas encore
MesMotsEn16/9
Avec Gauguin - Voyage de Tahiti, le réalisateur Edouard Deluc évite de tomber dans le piège de la représentation carte postale de la Polynésie Française. Filmée avec simplicité et une certaine contemplation tout de même, cette beauté naturelle se suffit à elle-même, permettant au réalisateur de rester focaliser sur son personnage littéralement habité par Vincent Cassel (comme à son habitude) lui donnant à la fois un côté attendrissant mais aussi antipathique. Si la réalisation reste correcte et en soit assez académique, les choix de Deluc peuvent faire débats, comme toute adaptation de biopic, ce dernier se concentrant sur la quête de la perfection artistique et les troubles mentaux que cela impliquera chez l'artiste. Un point de vue, certes intéressant et faisant partie intégrante de l'histoire de Gauguin, mais qui délaisse complètement la technique artistique, ainsi que les problèmes de mœurs auxquels a été confronté le peintre.Ma critique complète sur mon blog: http://mesmotsen169.blogspo...
marina202
Nul
jordiland
faire sa nouvelle vie avec une fille de 13 ans, c'est possible dans les colonies !!!honte !
jordiland
on parle de Weinstein, on pourrait parler de Gauguin ....eh, oui, ce n'est pas parce qu'on peint bien, qu'on est une bonne personne !
alliantis
Voyage sombre et lubrique ;-)
alliantis
L'art n'excuse pas tout , et surtout pas la pédophilie ...Ce serait à notre époque , ses petites tahitiennes seraient thaïlandaises ! Ce film a le culot de mettre une actrice de 25 ans pour jouer une gamine de 13 ans ....et s'il n'y en avait eu qu'une ! Quant à Cassel , il vaut mieux ne pas commenter .
Rew0205
c'est une colère absolument saine et légitime.C'était légitime a l'époque des colonisations, aujourd'hui c'est du passé ou personne n'a la légitimité de pouvoir en être frustré, puisque personne ne l'a vécu, il n'y a plus ni bourreau, ni victime.
C?venole30
Seules les peintures de Gauguin suscitent mon intérêt et pour moi sa vie ne mérite pas un film. Je n'ai pas non plus trop aimé le Vincent Cassel arrogant et prétentieux que j'ai découvert, à ma grande déception, à la télé lors d'une interview avec Laurent Delahousse.
franck P.
Bon film assez sombre avec un Cassel pour une fois crédible, j'ai fais un beau voyage.
Vincent D.
Très beau film qui fait comprendre l'attrait du peintre pour la Polynésie d'antan. On comprend aussi l'obsession du peintre pour son art.Une atmosphère et une histoire très belle.
bouffon dor?!
la on est pas en métropole mais dans une colonie ou les indigènes étaient considérés comme des sous citoyens , une blanche de 13 ans dans le lit d'un adulte ça aurait choqué mais une sauvage comme on disait a l'époque rien de choquant!
trineor
Quand on copie-colle un article, il est de bon goût de le mettre en lien : http://www.jeuneafrique.com...
trineor
Alors, ceux qui crient à l'infâme colon pédophile profitant de sa domination de métropolitain riche pour transmettre sa syphilis aux petites tahitiennes :- Vous pensez que l'éducation populaire concernant les MST était répandue comment, dans les années 1890, au juste ?- Pour info, Gauguin n'avait strictement rien du métropolitain qui, gorgé de son pouvoir et de son fric, débarquerait dans les colonies pour poser ses santiags sur la table et abuser des populations locales : Gauguin, c'était un raté, un méprisé, un sans le sou, un rien du tout, qui arrivé à Tahiti, est parti vivre quasi-seul au milieu des autochtones, loin des métropolitains, qui a appris la langue, qui s'est dépouillé tant qu'il le pouvait de sa culture française pour adopter la culture tahitienne.- Mais le must : vous croyez condamner moralement une attitude coloniale. Alors que, dans l'affaire, c'est qui sinon vous qui êtes en train de coloniser mentalement un pays et une époque en appliquant de force la norme morale occidentale du XXIème siècle concernant les écarts d'âge acceptables à la norme morale tahitienne du XIXème ? Et vous le faites pourquoi, sinon parce que vous êtes gorgés de la certitude et de la suffisance que vous procure cette norme morale occidentale hégémonique ?Je retourne contre vous cet index accusateur que vous pointez : ah l'affreux, il a épousé une fille de trente ans de moins que lui ! - non, mais de quel droit jugez-vous ainsi des coutumes tahitiennes de l'époque ?Vraiment, je comprends qu'on soit choqué par la violence immense qu'ont pu représenter la colonisation et les comportements coloniaux, où des peuples et leurs terres devenaient un terrain de jeu et de domination : c'est une colère absolument saine et légitime. Mais en toute honnêteté, je ne crois pas que Paul Gauguin soit une cible pertinente vers laquelle diriger cette colère.