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Synopsis
Tenir son foyer et se plier au devoir conjugal sans moufter : c’est ce qu’enseigne avec ardeur Paulette Van Der Beck dans son école ménagère. Ses certitudes vacillent quand elle se retrouve veuve et ruinée. Est-ce le retour de son premier amour ou le vent de liberté de mai 68 ? Et si la bonne épouse devenait une femme libre ?
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Une bonne surprise de ce début d'année. Juliette Binoche, Edouard Baer, François Berléans, Yolande Moreau sont très bons et il y a une flopée de jeunes actrices pleines de promesse. Par contre je ne vois pas l'intérêt d'une fin «comédie musicale». Mais cela demeure un très bon divertissement
benoitG80
3 240 abonnés
1 464 critiques
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4,0
Publiée le 12 mars 2020
« La Bonne épouse » est l’exemple même de la comédie intelligente, percutante et finalement instructive, tout en étant drôle à souhait, malicieuse et pour conclure très innovante dans son concept !
Un tour de force que Martin Provost nous sert sur un plateau, tenu par une épouse modèle, (mais plus pour très longtemps évidemment !) de celle que l’on forme dans ce type d’institution privée ou d’école ménagère.
Comme ...
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traversay1
2 717 abonnés
4 496 critiques
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4,0
Publiée le 14 mars 2020
La bonne épouse nous entretient d'une époque qui parait si lointaine mais ne l'est pas tant que cela, quelques mois avant la Révolution de 68. En ce temps-là, fleurissaient les écoles ménagères dont le but était de former des épouses parfaites, soumises et fières de leur condition d'esclaves domestiques. Pilier n°1 de l'éducation : "la bonne épouse est avant tout la compagne de son mari, ce qui suppose oubli de soi, compréhension ...
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Krebs
25 abonnés
59 critiques
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3,5
Publiée le 11 mars 2020
Ce film a un intérêt principal : faire connaître au spectateur l'existence des écoles ménagères, ainsi que leur ambiance. Joué par des actrices de talent, le film prend d'emblée le parti de l'humour et de la dérision, et nous fait passer un bon moment de détente. Dommage qu'il se mette un peu à patiner en son milieu, et qu'il semble finalement bien trop long. Je laisse aussi l'appréciation de la fin à la sensibilité de chacun, ...
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La Bonne épouse est né d’une rencontre. Martin Provost avait loué un été une maison dans le Cotentin qui appartenait à une dame de 80 ans. Elle lui a raconté comment elle avait décidé, après la guerre, de ne pas faire d’études, contre l’avis de ses parents, parce qu’elle préférait aller à l’école ménagère pour rester avec ses copines. Le réalisateur se rappelle : "Je ne savais pas exactement ce qu’était une “école ménagère“, mais l’entendant me p
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Thématique fétiche
Après Le Ventre de Juliette (2003), Séraphine (2008), Où va la nuit (2011), Violette (2013) et Sage Femme (2017), Martin Provost revient avec un nouveau film qui traite d'émancipation féminine, mais cette fois-ci de manière plus légère. Le metteur en scène explique d'où lui vient son intérêt pour cette thématique :"Cela vient de mon histoire sans doute, puisque je me suis violemment opposé à mon père, pour qui la domination masculine était légiti
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Pourquoi en 1967-1968 ?
Martin Provost a situé l'intrigue de La Bonne épouse en 1967-1968, parce qu’après 1970-71, toutes les écoles ménagères ont disparu. Il précise : "Et il y en avait énormément jusque-là. Des grandes, des petites, quelques écoles plus bourgeoises, mais surtout des écoles dites rurales, puisque la France était encore à 30% rurale. C’est une donnée très importante. Il y avait Paris, et la Province. Mai 68 va tout faire voler en éclat: c’est le point d
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Un beau sujet qui aurait mérité un meilleur traitement. L’histoire se concentre autour de la directrice de l’école et de l’équipe « pédagogique », alors que les élèves sont laissées de côté . Une mention tout de même pour les comédiens (Noémie Lvovsky en bonne sœur !), mais on s’ennuie rapidement, dommage
solaris-33
Puree mais quelle deception. Le premier tiers laisser presager un joli film, avec une belle reconstitution, de beaux decors, un belle photo, de bons acteurs. Et puis dans le dernier tiers......... une espece de propagande surlignee, soulignée, encadrée jusqu'à écoeurement sur le feminisme.Nan mais serieux, ça aurait vraiment pu etre amené de façon plus fine que cette chanson bidon de la fin avec la choré qui tombe comme un cheveu sur la soupe. Baah mais quel dommage ca m'a gâché tout le reste du film!!Dommage.D'ailleurs Noemie Lvovsky est géniale dans ce rôle, tout comme Yolande Moreau, comme d'habitude impeccable..Mais voila. Ils se sont sentis obligés de nous sortir la bonne grosse banderole propagande pour l'égalité homme femme.L'égalité Homme Femme oui mais franchement pourquoi le faire à la façon d'une pub lourdingue et outrancière purée.Et puis Juliette Binoche qui finit la chanson en faisant l'helicoptere avec ses bras........Non mais, ils sont sérieux là...?!J'ai l'impression que le cinéma français commence à basculer vers la propagande à tout prix, ca devient très très fatigant....Mais en tout cas pour ce film c'est du beau gâchis.
defleppard
Une tranche de vie... avant l entrée du début du Mlf.... bien mais sans plus.... manque de plans variés.... 2 étoiles et demie.
elriad
Malgré un sujet original et une distribution de qualité, le film ne tient pas ses promesses, s'enlisant dans une comédie lourde et non inspirée où les acteurs cabotinent plus les uns que les autres. Le scénario ne trouve pas son style et l'aspect strict de l'éducation de la bonne épouse se casse sans aucune explication ni enchainement intelligent dans une dernière scène grotesque en forme de manifeste chanté et chorégraphié. Paresseux, dialogué au gros feutre, dispensable.
Wasapat
c' est neuneu à souhait sur une trame qui aurait pu etre intelligemment traitée le rythme est en dent de scie sans pour autant en devenir intéressant dans sa partie haute bref une comédie très banale dont les acteurs sont volontaires pour un fond sous traité
mrmerle
Je n'attendais rien de ce film mais j'ai quand même été positivement surpris.La cinématographie, sans être phénoménale, était bien faite même si je trouve que le paysage d'Alsace aurait pu être mieux montré. Mais le film n'est pas fait pour montrer des paysages et le scénario est placé dans le meilleur contexte possible selon moi : Ce film ne fait pas féminisme forcé car les évènements du films sont inspirés de faits réels et c'est montré avec justesse j'ai trouvé. Le scénario n'est pas parfait non plus car quelques évènements s'enchainent de manière maladroite commela scène ou on apprend qu'elles vont passer un concours. J'ai pas la sensation que ce moment a été introduit de manière cohérente avec le reste.Les actrices étaient toutes très bonnes avec Juliette Binoche qui livre la meilleure performance du film.Je dirais que j'ai noté 3 défauts qui ne sont pas vraiment des défauts dans ce film : Les actrices, même si très bonnes, ne rentraient pas vraiment dans le ton que le film se passait en Alsace, faute d'accent et de patois. Elles introduisentque l'alsacien n'est pas permis dans l'école mais autre part, cela aurait renforcé le réalisme d'entendre de l'alsacien ou l'accent.Encore une fois, un défaut qui n'en est pas vraiment un. Un autre défaut serait la scène de fin qui a un message magnifique mais exécuté de manière très très inadaptée au ton du film j'ai trouvé. Encore une fois, un défaut qui est une préférence. Le dernier défaut est un défaut qui m'a distrait et qui m'a déconcentré mais ce n'est pas la faute du film, c'est la mienne : Je suis alsacien et des scènes ont été tournées à l'église de mon village d'enfance et à chaque plan dans ce village, je souriais.Ce n'est pas le film de l'année mais c'est tout de même un très bon effort qui a été réalisé.4/5.
Skipper Mike
test
Benjamducartel
Décevant ! Un vrai problème de rythme...
Sebastien D
Ben on rigole c vrai faut faire comme si on est en 68 enfin à la fin c est trop long et lourd les discours la révoltes des femmes ...
Gaby M.
J'ai bien ri au 1er degré car je suis de la génération 68 eeehhh oui. Yolande et Noémie avec leur jeu décalé. Edouard Baer fatigue quand même bien avec sa manière de sur jouer là comme en radio 😏l
jade59
Film très décevant, ça manque de rythme et on s’ennuie beaucoup. C’est dommage car le sujet pouvait être intéressant. Par contre, Très efficace si on a des insomnies.
tom c
Ca sent le réchauffé. le film est déjà sorti avant le confinement.Et franchement ça fait encore moins envie, tellement déconnecté de ce qu'on vit.
Rene K
Ben dis donc y a tout le sentier
Plaza13
encore un film tendance avant qu'une autre mode imposée arrive...
Louis C
bof binoche j’ai jamais trouvé cette actrice géniale sauf dans les leos carax ou la elle donnait même son rôle dans le patient anglais n’est pas terrible alors !
Dmitrram
Moi pas comprendre.
Philippe Tarlé
Quelques bonnes idées noyées dans les inévitables clichés, déçu compte tenu de la distribution
Salsa P.
je parlais de leur émancipation de ce type d'écoles
titicaca120
la condition féminine en France avant les événements de mai 68, édifiant. les 4 jeunes protagonistes donnent un air de fraicheur sur le cinéma français.