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Synopsis
Interdit aux moins de 16 ans
La légendaire règle 34 d’internet stipule que si quelque chose existe, alors il y en a une version porno. Simone est étudiante en droit le jour, engagée dans la lutte contre les violences faites aux femmes, et camgirl la nuit, explorant ses fantasmes masochistes.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Dans ce film qui a pour thème la justice et le porno, des sujets importants sont abordés comme les violences faites aux femmes, les actes anti féministes et le patriarcat au Brésil. Mais, ils sont hélas escamotés et plutôt mal traités par la réalisatrice qui se concentre trop sur l’aspect pornographique.
Bernard CORIC
Corinne76100
12 abonnés
96 critiques
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2,0
Publiée le 15 juin 2023
Quel est l'intérêt de ce film ? Sauf à montrer l'addiction et la fascination du personnage principal à ces pratiques extrêmes ... Très bonne interprétation par ailleurs
🎬 RENGER 📼
5 403 abonnés
7 080 critiques
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1,0
Publiée le 25 juin 2023
Simone mène une double-vie. Le jour, elle étudie le droit pénal et s’engage dans la lutte contre les violences faites aux femmes, tandis que la nuit, elle est camgirl (elle expose son corps sur internet de manière sexuellement explicite), tout en explorant ses fantasmes masochistes.
Règle 34 (2022) aborde plusieurs sujets, aussi bien la liberté des femmes à faire ce qu’elles désirent de leur corps, les discriminations ethniques, ...
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traversay1
2 714 abonnés
4 494 critiques
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3,0
Publiée le 16 août 2022
Aucun film de la Brésilienne Julia Murat ne semble ressembler à son précédent, si tant est que l'on puisse en juger après seulement 3 longs-métrages de fiction, en 11 ans. Au magnifique Historias a succédé le très expérimental Pendular avant Rule 34, Léopard d'or 2022 du festival de Locarno. Étudiante en droit et défenseuse des femmes maltraitées, le jour, cam girl, la nuit : telle est la vie de Simone, qui fait de sa vie intime et ...
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Avec Simone, Júlia Murat voulait développer un personnage retiré du monde, mais qui donne l'impression d'avoir des relations faciles et étroites avec les autres. La cinéaste confie : "Simone est un personnage qui a eu une vie difficile, confronté à diverses formes d'oppression, et qui parvient néanmoins à se frayer un chemin dans une société qui exige beaucoup d'elle.""D'une certaine manière, elle a créé une barrière. Elle a créé une sorte de mur
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Naissance du projet
Júlia Murat a commencé par étudier la pornographie en réalisant une interview de Sasha Grey. L'actrice américaine a alors expliqué que la pornographie consiste à repousser ses limites, à la fois sociales, émotionnelles et physiques : "J'ai réalisé que c'était des valeurs que je pouvais non seulement relier à ma vie, à mes désirs, mais aussi que je pouvais comprendre. Je pouvais m'y identifier. C'est à partir de cet entretien que Simone est apparu
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Différentes formes de violence
Il était important pour Júlia Murat de mettre en évidence les différentes formes que peut prendre la violence, et ce pour de nombreuses raisons, comme elle l'explique : "L'une d'entre elles est qu'en 2006, la loi a changé. Nous avons commencé à avoir cette loi appelée loi Maria da Penha, pour la violence domestique. Cette loi définit, il me semble, cinq types de violences différentes. L'une d'entre elles est la violence physique, mais il en exist
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