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Synopsis
Dans le but de retrouver son père, célèbre professeur d'archéologie disparu depuis des mois, la belle Jesse Huston fait appel à Allan Quatermain, un intrépide aventurier.
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1,0
Publiée le 9 juin 2013
"Allan Quatermain et les mines du roi Salomon"(1985) surfa clairement à l'époque sur les braises aventurières allumées par Indiana Jones et maintenues par A la poursuite du diamant vert. Sauf que pour rendre hommage aux serials,ces aventures improbables en provenance de la BD,il faut un minimum de rigueur et respect pour ses héros. Allan Quatermain est donc un chasseur de trésors charmeur et facétieux,mais la quantité de vannes pourries ...
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Chris46
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3,0
Publiée le 20 février 2017
" Allan Quatermain et les mines du roi Salomon " sympathique film d'aventure des années 80 . C'est l'histoire d'une femme nommer jesse Huston ( Sharon Stone ) qui fait appel à un intrépide aventurier nommer Allan Quatermain ( Richard Chamberlain ) pour retrouver son père un célébre professeur d'archéologie qui a été enlever en Afrique pour qu'il révèle l'emplacement des mines du roi Salomon remplit de diamant qu'il a découverte ...
" ...
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lilybelle91
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1,5
Publiée le 26 novembre 2012
Tourné dans des décors naturels splendide avec des milliers de figurants, ce fade remake d'Allan Quatermain avec Steward Granger, truffés de scènes ridicules où débiles, s'avère être en réalité un ersatz d'Indiana Jones ou tout à mal vieillit ! A éviter...
caro18
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Allan Quatermain et les mines du roi Salomon et sa suite Allan Quatermain et la cité de l'or perdu sont adaptés de l'oeuvre de H. Rider Haggard, également auteur du roman She.
Les interprètes d'Allan Quatermain
Hormis Richard Chamberlain, de nombreux acteurs ont prêté leurs traits à l'aventurier Allan Quatermain : Cedric Hardwicke dans King Solomon's mines (1937), Stewart Granger dans Les Mines du roi Salomon (1950), John Colicos dans King Solomon's treasure (1977) et Sean Connery dans La Ligue des Gentlemen Extraordinaires (2003).
Sharon Stone en haut de l'affiche
La saga Allan Quatermain permit à Sharon Stone de se hisser en tête d'affiche de deux grosses productions américaines. Celle-ci s'était fait connaître en apparaissant au générique du film d'horreur La Ferme de la terreur (1982). Il faudra attendre le sulfureux Basic instinct en 1992 pour véritablement découvrir les talents de comédienne de Sharon Stone.
Bien pour visiter une Afrique noire imaginaire cannibale. Mieux que Black panthers : Lol!
PowerKing - Les Chroniques du
On est d'accord. D'autant plus que les retombées d'Indiana Jones imprégnaient les mœurs de l'époque. Plagia ou parodie?
PowerKing - Les Chroniques du
Pour ceux qui ne l'aurait pas deviné, Allan Quatermain n'est qu'un clown se prenant pour Indiana Jones. A la différence que son personnage n'a aucune profondeur et sombre d’emblée dans le stéréotype caricaturale de l'aventurier intrépide mais sans cervelle. Ce 1er opus de la saga Allan Quatermain sortit en 1985, c'est un dire un an après le triomphe de Indiana Jones et le Temple maudit, n'est qu'un opportuniste. Il profite de la vague engendrée par Spielberg et autres "A la poursuite du diamant vert", pour s'immiscer dans le mouvement far de l'époque. Sauf qu'un personnage sortit de son contexte (BD ou même roman) doit rester crédible, sans quoi c'est la parodie assurée. Quatermain ne lésine pas sur les répliques au rabais et se ridiculise au passage par sa maladresse et son manque de finesse. Sharon Stone, ici dans ces débuts, incarne la sotte écervelée qui suit bêtement le don juan en pleurnichant toute les 5 minutes. Si la post-synchro VF est atroce, qu'en est il de la mise en scènes?! La dégringolade de médiocrité n'en fini jamais, enchainant les invraisemblances et autres personnages plus inutiles les uns que les autres. Fonds verts à volonté bien entendu, histoire d'apporter tout son sens à la véritable parodie. Le tout agrémenté de bastons pantomimiques à mourir de rire, tout en serrant les dents. On n'en retiendra de grès ou de force qu'une BO épique tambourinant toute la durée du spéctacle. Quoi qu'il arrive, les 10 premières minutes annoncent la couleur du désastre, mais curieusement lorsqu'on parvient au générique de fin (si tel est le cas pour les plus courageux) on a vaguement l'impression de s'être divertis. Jack Lee Thompson n'aurait donc pas tenté de s’aligner à Spielberg en se prenant au sérieux, mais réellement en barbotant volontairement dans l'humour second degrés?! C'est tout de même critique, même pour un public enfantin des années 80. Quoi qu'il en soit, une telle quantité de maladresses artistiques, même volontaires, ne pardonne pas. 1/5
Bub.... Allo, tante Alice ...
Ce Jack Lee Thompson est une vraie calamité du cinéma. Seul le chef-d’œuvre, "Les cannons de Navarone" ,dont il n'a été certainement qu'un réalisateur prête-nom, n'est pas un navet parmis ses travaux. La réalisation Catatonique de ses "Mines du Roi Salomon" gâche complétement l'humour bon-enfant du scénario. Mais ce qui est affligeant, c'est d'avoir bénéficié de tels acteurs et de tels moyens, pour massacrer une histoire magique si bien écrite par Ridder Haggard et si bien filmée en 1950.
Franzrycou
Bon, c'est une honnête "série B" (voire C), genre film d'aventures. L'idée de base du roman de Rider Haggard est respectée, il y a tout ce qu'il faut, des bons, des méchants, des tribus africaines bizarres ou spectaculaires, des paysages et des scènes d'action mais tout de même, il faut prendre le film pour ce qu'il est : une parodie qui en fait des tonnes dans la surcharge, dans l'énormité. La tribu cannibale avec la marmite géante déjà garnie de petits légumes pour le pot-au-feu de Blancs, les marchands turcs plus levantins que nature, le colonel allemand qui sort d'une bande dessinée germanophobe de 1913 et qui meurt dévoré par un monstre en chantant "Deutschland über alles !"... non, ça ne vaut pas, même de loin, le film de 1950 avec Deborah Kerr ni même la très honnête adaptation télévisuelle de 2004 avec Patrick Swayze. Reste que Richard Chamberlain en héros plus sympathique qu'invulnérable et Sharon Stone en miss Calamité forment un couple dont les aventures se regardent.