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Synopsis
Paris, 1979-1980. Une histoire d'amour impossible entre deux jeunes gens qui ne se rencontrent jamais : l'une est cantatrice tandis que l'autre a découvert sa voix au moment où il allait mettre fin à ses jours.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Encore un pensum affligeant infligé par TV5, mais qui a payé pour voir ce film?? Scenario sénile, dialogues pompeux, acteurs inexistants. Au bout de 10 minutes je me suis occupé de mes courriels avec ce bruit de fond.
jfharo
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40 abonnés
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4,0
Publiée le 3 octobre 2009
Un bijou stylistique ,à voir et à revoir .
arnaud1972
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23 abonnés
Lire ses 102 critiques
4,0
Publiée le 1 juillet 2009
en digne héritier de robert bresson période "le diable probablement" et hanté par la poétique d'alexandre (jean-pierre léaud dans la maman et la putain de jean eustache), green déambule sa mélancolie dans le paris de la fin des années 70.
Drôle, agaçant (la diction encore un chouia appuyé!!!et les plans sur les pieds, fétichiste green????)et d'une grande force poétique, ce film prend le temps de s'installer pour finir par nous ...
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JR Les Iffs
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45 abonnés
Lire ses 1 151 critiques
4,0
Publiée le 2 février 2013
Magnifique film de Green. Le scénario se déroule dans le monde culturel parisien de la musique baroque, et raconte la vie de deux jeunes gens qui ne se connaissent pas mais dont l'un tombera amoureux par la voix de l'autre, mais trop tard. Dans ce film, l'important ce sont les êtres et la musique. Le jeu des acteurs est très posé, non théâtral, presque un jeu blanc, non expressif, ce qui donne au film un aspect poétique au travers d'un ...
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Le Pont des arts a été présenté en 2004 au 57e Festival de Locarno, dans la section "Cinéastes du présent".
La genèse du projet
Le cinéaste revient sur l'origine du Pont des arts, antérieure à la réalisation de son premier long-métrage, Toutes les nuits, Prix Louis-Delluc en 2000 : "La première version du scénario a été écrite à la fin de 1997, mais le tournage n'a eu lieu qu'en hiver-printemps de 2004. Au cours de cette longue période de gestation certains éléments ont évolué, mais l'idée centrale du film a toujours été que l'art est un aspect organique de la condit
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Les intentions du cinéaste
"Si le sujet est simple, la construction narrative est plus complexe, puisqu'elle est fondée sur l'enchevêtrement de plusieurs fils. Néanmoins, tous ces éléments ne forment qu'une seule histoire polyphonique, chaque voix indépendante ne trouvant son plein sens que par rapport aux autres, note Eugène Green, qui précise par ailleurs "que la dernière séquence n'a rien de surnaturel ni de "fantastique", mais correspond à une visio
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La répartition des critiques spectateurs est symptomatique : aucune n'est moyenne (personne n'a mis 3*) ! Et ce film est effectivement très clivant. Comme la plupart des grands films d'auteur, soit on adore soit on déteste. Personnellement, je suis passé par les deux stades. Au début, je me suis dit mais c'est quoi cette bouse ? comment peut-on payer pour voir ça ? . Je ne connaissais pas Eugène Green et les premiers moments du film ont été un calvaire. Je me croyais devant l'archétype caricatural du film d'art et d'essai à la françaiiiise (comme disaient les Inconnus), à la fois prétentieux et totalement surjoué. Je me suis dit que j'allais rester pour voir jusqu'à quel niveau de grotesque le cinéma français pouvait dégringoler. Mais, peu à peu, j'ai été happé et j'ai cessé de ricaner. Le film est profondément original, notamment par ses ellipses, mais aussi, et surtout, extrêmement drôle (ah, toutes les remarques justes et acerbes - souvent d'ailleurs pas très politiquement correctes - sur l'université et les étudiants et aussi l'incroyable méchanceté mesquine du personnage joué par Denis Podalydès, qui est vraiment un acteur incroyable !) et extrêmement émouvant. Il est l'incarnation d'un romantisme absolu, à l'opposé de toutes les valeurs contemporaines. C'est, dans le fond, une très belle histoire d'amour et de mort comme le cinéma en a rarement proposé ! Et d'une fraîcheur qui reste vive dans la mémoire, même des années après...