Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
Mathilde Stangerson et Robert Darzac, fraîchement mariés, se rendent en villégiature chez leurs amis Edith et Arthur Rance au Château d'Hercule. Mais Larsan réapparaît sur leur chemin et terrorise encore la belle Mathilde. Rouletabille, toujours aidé de son fidèle Sainclair, va mener l'enquête pour découvrir comment Larsan est parvenu à s'introduire dans le château fort...
Regarder ce film
En VOD / Blu-Ray, DVD
Canal VOD
Disponible en HD
Location dès 2,99 €
Regarder
PremiereMax
Disponible en HD
Location dès 2,99 €
Regarder
Orange
Location dès 2,99 €
Regarder
Voir toutes les offres VODVoir toutes les offres DVD BLU-RAY
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Si le film se regarde sans déplaisir, avec quelques passages vraiment drôles et des dialogues relativement à la hauteur, on lui préférera assez nettement "Le Mystère de la chambre jaune", la faute à un manque de rigueur parfois total et un sens du burlesque poussé nettement trop loin. Plutôt décevant.
Maqroll
179 abonnés
1 123 critiques
Suivre son activité
1,0
Publiée le 26 janvier 2011
Suite du Mystère de la chambre jaune, ce second volet de Podalydès, tourné dans la foulée du premier avec bien sûr les mêmes acteurs, est encore moins convaincant. Plus rien de l’esprit de Gaston Leroux ne se retrouve ici et le ton est presque entièrement dévolu à la dérision et à la pantomime. Denis Podalydès ne parvient toujours pas à nous faire croire en son Rouletabille (Roland Toutain s’en sortait beaucoup mieux en 1933), ...
Lire plus
Un visiteur
2,5
Publiée le 10 septembre 2011
Un film plutôt décevant. Là ou "Le Mystère..." est malin, drôle et savoureux, ce numéro 2 se révèle ennuyant, dilettante et un poil bâclé. Denis Podalydès semble même prendre beaucoup moins de plaisir à incarner Rouletabille et de fait le personnage principal est cette fois-ci son fidèle Sainclair... Le personnage de Vincent Elbaz est grotesque. Trop de burlesque tue le burlesque. Dommage..
SYNEPHIL
52 abonnés
1 134 critiques
Suivre son activité
1,0
Publiée le 31 août 2016
Apres le succes publique du Mystere de la Chambre Jaune ,adaptation assez agreable de l'univers de Gaston Leroux ,Podalydes se lance naturellement dans cette "suite" qui conserve la prestigieuse distribution du precedent a laquelle vient s'ajouter une serie de nouveaux comediens comme Vuillermoz ou Candelier.Le probleme saute aux yeux des les 1eres minutes : pas de rythme et certains acteurs se croyant au theatre qui recitent leur textes + qu'ils ...
Lire plus
Suivant l'ordre des romans de Gaston Leroux, Le Parfum de la dame en noir est la suite du Mystère de la chambre jaune. Déjà réalisé par Bruno Podalydès, le premier film, sorti en 2003, avait réuni plus d'un million de spectateurs : "Compte tenu du succès qu'a rencontré le premier film, explique Denis Podalydès, cette suite s'imposait. L'autre désir qui nous animait était les retrouvailles avec toute l'équipe, en particulier les acteurs. On revien
Lire plus
Un roman plusieurs fois adapté
A l'instar du premier volet des aventures de Rouletabille, Le Parfum de la dame en noir a déjà connu de nombreuses adaptations au cinéma. La première date de 1914, réalisée par Emile Chautard peu après la sortie du roman d'origine. En 1931, Marcel L'Herbier tourne lui aussi la suite du Mystère de la chambre jaune, qu'il venait de réaliser l'année précedente. Enfin, en 1948, Louis Daquin signe une nouvelle adaptation du roman, avec Serge Reggiani
Lire plus
Un casting élargi
Les principaux acteurs du Mystère de la chambre jaune retrouvent leur rôle offrant ainsi à Sabine Azéma et Pierre Arditi une nouvelle occasion de jouer ensemble. Face à eux, Vincent Elbaz, Julos Beaucarne, Michel Vuillermoz, Dominique Parent et Isabelle Candelier viennent compléter le casting. Parallèlement, le réalisateur Bruno Podalydès s'offre un rôle dans son propre film et incarne Arthur Rance, qu'il décrit comme "un personne entre Gainsbour
Lire plus