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    James Garner

    État civil

    Métiers Acteur , Producteur délégué
    Nom de naissance

    ames Scott Bumgarner

    Nationalité
    Américain
    Naissance 7 avril 1928 (Norman, Oklahoma - Etats-Unis)
    Décès 19 juillet 2014 à l'age de 86 ans

    Biographie

    James Garner de son vrai nom James Scott Baumgarner, fils d'avocat, quitte son Oklahoma natal et l'école à 16 ans. Direction la marine marchande puis une multitude de petits boulots en tout genre. Envoyé en Corée pendant la guerre, il est blessé et décoré de la "purple heart", une haute distinction militaire.

    A son retour au pays, entrainé par un ami, il se voit confier un rôle, sans aucune ligne de dialogue, dans Ouragan sur le Caine une pièce jouée à Broadway. Très vite, il accumule les apparitions télévisées ainsi que dans des publicités. Il débute au cinéma dans The Girl he left behind de David Butler.

    Après quelques seconds rôles, c'est le petit écran qui lui apporte le succès avec la série Maverick où il donne la réplique à Jack Kelly. Son naturel et sa sympathie séduisent le public et James Garner devient très vite la vedette de la série, qu'il quittera après trois saisons.

    Pendant cette période, il travaille avec des réalisateurs de renom (William Wellman, Mervyn LeRoy, Gordon Douglas), mais c'est John Sturges et La Grande évasion qui le font connaître des cinéphiles. Par la suite, il décroche son meilleur rôle en jouant le " planqué " dans les Les Jeux de l'amour et de la guerre. James Garner s'illustre aussi bien dans des comédies dramatiques comme Grand Prix de John Frankenheimer (qui lui permet d'ailleurs de se découvrir une véritable passion pour les courses automobiles), le western avec La Bataille de la vallée du diable de Ralph Nelson en 1966, Sept secondes en enfer de John Sturges, où il incarne Wyatt Earp, rôle qu'il reprend en 1988 pour Blake Edwards dans Meurtres à Hollywood, et aussi la comédie: Ne tirez pas sur le shérif de Burt Kennedy.

    Retour à la télévision en 1971, avec une série baptisée Nichols là encore il s'agit d'un western. Il change de registre avec la série The Rockford Files , où il incarne un détective privé peu recommandable. Solide, massif, et sympathique, il est un étonnant Marlowe dans La Valse des truands (Paul Bogart, 1969) avec Garner, le héros de Raymond Chandler, trouve toute sa dimension. Malgré la forte popularité qu'il conserve grâce à la télé, l'acteur ne fait que de rares apparitions au cinéma dans les années 70.

    En 1980 après de nombreuses années en tant que vedette du petit écran, Garner renoue avec le cinéma. Murphy's romance lui vaudra une nomination à l'Oscar et au Golden Globe du Meilleur acteur. Il brille également dans Victor Victoria la comédie de Blake Edwards. Il tourne par la suite dans quantités de films sans toutefois retrouver sa notoriété d'antan.

    Il faudra attendre 1994 et l'adaptation de Maverick au cinéma pour le voir dans un rôle important. Celui du père de Mel Gibson, qui reprend le rôle-titre. Dans Space Cowboys en 2000, il retrouve Clint Eastwood qu'il avait rencontré 40 ans plus tôt sur le tournage d'un épisode de Maverick.

    Ses premiers pas à l'écran

    The Girl he left behind
    The Girl he left behind
    Date de sortie inconnue
    Je Reviens de l'enfer
    Je Reviens de l'enfer
    14 juin 1957
    Bombardier B-52
    Bombardier B-52
    25 décembre 2023
    Le Vengeur
    Le Vengeur
    Date de sortie inconnue

    Ses meilleurs films et séries

    Victor Victoria
    Victor Victoria
    1982
    La Rumeur
    La Rumeur
    1961
    Maverick
    Maverick
    1994

    Sa carrière en chiffres

    57
    Années de carrière
    1
    Récompense
    60
    Films
    8
    Séries
    4
    Nominations
    25 M
    Entrées ciné

    Genres de prédilection

    Comédie : 33 %
    Drame : 30 %
    Romance : 20 %
    Western : 17 %

    Ses stats sur AlloCiné

    0
    Vidéo
    16
    Photos
    4
    News

    A tourné le plus avec

    James Coburn
    James Coburn
    4 films
    Bruce Lee: A Warrior's Journey (2000), Maverick (1994), Les Jeux de l'amour et de la guerre (1964), La Grande évasion (1963)
    Henry Jones
    Henry Jones
    4 films
    Skin Game (1971), Tueur malgré lui (1971), Ne tirez pas sur le shérif (1969), The Girl he left behind (1956)
    Les Commandos passent à l'attaque (1958), Je Reviens de l'enfer (1956), The Girl he left behind (1956)
    Tueur malgré lui (1971), Ne tirez pas sur le shérif (1969), Les Commandos passent à l'attaque (1958)
    Space Cowboys (2000), Tank (1984)
    Blake Edwards
    Blake Edwards
    2 films
    Meurtre à Hollywood (1988), Victor Victoria (1982)
    Gene Evans
    2 films
    Tueur malgré lui (1971), Ne tirez pas sur le shérif (1969)
    L'Heure magique (1998), Meurtre à Hollywood (1988)
    Joseph Sargent
    1 film et 1 série
    Streets of Laredo (1995), Lonesome Dove : le crépuscule (1970)
    Bruce Lee
    2 films
    Bruce Lee: A Warrior's Journey (2000), La Valse des truands (1969)
    Commentaires
    • PowerKing - Les Chroniques du
      Sortit en 1994, ce film d'aventure familiale se regarde toujours avec un réel plaisir. Tout d'abord la nostalgie de revoir des acteurs d'exception en pleine force de l'age, mais aussi grâce au ton donné à l'ouvrage. A la fois parodique et anti-conventionnel. Bret Maverick est un héro débrouillard mais prudent, presque peureux. Un trais de caractère que Mel Gipson s’approprie à merveille. Son tandem avec Jodie Foster est des plus détonnant, entre magouille et abus de confiance. L'enjeu étant de rassembler par tous les moyens une certaine somme d'argent pour aussitôt la dilapider lors d'un tournois de poker. Une hérésie propre à l'avarie humaine. Ce personnage débonnaire, emblématique de la série TV de 1957, n'a rien perdu de sa drôlerie grâce aux péripéties rocambolesques qui le caractérisent. Toujours est-il que ce western new age possède toutes les composantes du divertissement de qualité. Un classique. 4/5
    • gabytiti
      J'adore cette version de" n'oublie jamais" plus que toute les autres. .
    • brunodinah
      L'inoubliable interprète de "La grande évasion", "Grand prix" (de Frankenheimer) et de "Victor, Victoria" vient de tirer sa révérence. Son grand ami Clint Eastwood lui avait offert un second rôle dans "Space cowboys" au début des années 2000.Ne tirons pas... sur le meilleur bandit. Ceci n'est pas une "Rumeur" !
    • Plume231
      N'oublie jamais (2004) de Nick Cassavetes [img]http://fr.web.img1.acsta.net/r...[/img] Synopsis : Chaque jour, Noah raconte à Allie, atteinte de la maladie d'Alzheimer, l'histoire de deux jeunes gens qui ont vécu une vraie passion dans les années 1940, avant que les conventions n'aient eu raison de leur amour. Ces mots, Allie les connaît, elle a parfois l'impression de les avoir écrits. [img]http://media.melty.fr/article-...[/img] Critique : Le mélo idéal pour être sûr de conclure même si on est très loin d'être aussi sexy que Ryan Gosling (euphémisme quand tu nous tiens !!!), bien que celle qu'on va se taper après est certainement loin d'être aussi craquante et belle que Rachel McAdams (quoique il ne faut jamais dire "impossible" !!!) ; dommage qu'il soit sorti en 2004 et pas aujourd'hui, enfin bon... Mais pour en revenir au film, j'aurais bien aimé en savoir un peu plus sur la vie du jeune couple après le triomphe total de Cupidon, ce qui aurait été formidable aussi c'est que les jeunes acteurs assument le rôle de leurs personnages vieux (mais si mais si avec 15 tonnes de maquillage c'est faisable !!!) bien que Gena Rowlands et James Garner soient excellents, la séquence sur le front n'était pas utile, voilà, voilà... Toujours est-il qu'on se laisse prendre, l'amour malgré Alzheimer ça fonctionne à plein et on est même au bord de verser sa petite larme à la fin. Un mélo très mélo qui s'assume et qu'on assume. [img]http://r21.imgfast.net/users/2...[/img] [img]http://la-pellicule-brule.com/...[/img]
    • Plume231
      Les Jeux de l'amour et de la guerre (1964) d'Arthur Hiller [img]http://images.fan-de-cinema.co...[/img] Synopsis : A Londres, le commandant Madison fait partie de l'état major de l'amiral Jessup, sur qui il doit veiller. Pour son moral, il introduit des compagnes peu farouches. Mais Madison tombe amoureux de l'une d'elles, Emily, qui, lasse de l'héroïsme de sa famille, accepte de l'épouser. Et en effet, cela va lui changer, car Madison est un énorme froussard. [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img] Critique : Il vaut mieux être un lâche vivant (dans le terme militariste du terme !!!) qu'un héros mort ; voilà le discours de fond peu conventionnel pour un film de cette époque et de ce genre qui s'avère sous des airs comiques et romantiques une féroce charge antimilitariste. Rien que pour cela, "Les Jeux de l'amour et de la guerre" vaut incontestablement le détour et le respect. Mais là où le film est aussi franchement excellent, c'est pour ses acteurs et ses personnages ; comme le reconfirmera plus tard "Victor Victoria", l'alchimie entre James Garner, ici en tire-au-flanc professionnel mais malchanceux et fier de l'être, et la charmante Julie Andrews est parfaite, James Coburn, en baiseur en série inquiétant par son absence de scrupules pour ce qui est de buter son meilleur pote, est en grande forme mais le meilleur du meilleur revient sans conteste à Melvyn Douglas, génial en amiral qui a sérieusement perdu la boule (ses moments d'immobilisme sont énormes !!!). L'histoire part d'un argument totalement saugrenu, le premier mort à Omaha Beach doit être forcément un marin, mais rendu totalement crédible ici en s'appuyant judicieusement sur la logique de la connerie militaire. La réalisation, par un beau noir et blanc et un grand soin dans la composition des plans, rend le tout visuellement agréable (une très belle séquence de rupture sous la pluie notamment !!!). Quelques petites faiblesses de rythme au milieu mais on s'en fout... Et la fin enfonce définitivement, délicieusement et heureusement le clou pour ce qui est de montrer la crétinerie et l'hypocrisie de l'Armée. Je ne pouvais qu'adorer... [img]http://nsm03.casimages.com/img...[/img] [img]http://twentyfourframes.files....[/img]
    • Plume231
      Sept secondes en enfer (1967) de John Sturges [img]http://www.cehoo.com/chaines/c...[/img] Synopsis : L'histoire débute par la fusillade d'OK Corral. Wyatt Earp, ses frères Morgan et Virgil, accompagnés par Doc Holliday, affrontent le clan des Clanton, voleurs de bétail qui tiennent la ville de Tombstone à leur merci. Seul rescapé, Ike Clanton jure de se venger, tandis que Doc Holliday et ses compagnons sont jugés et innocentés des meurtres des Clanton. Après avoir réduit Virgil Earp à l'état d'infirme, Ike élimine également Morgan, avant de se lancer sur les traces de Wyatt. Ivre de vengeance, celui-ci est nommé shérif de Tombstone et s'allie à Doc Holliday pour affronter Ike. Mais Doc tombe soudainement malade... [img]http://fnacpantherimage.toutle...[/img] Critique : Sans être parfait "Règlement de comptes à OK Corral", du même réalisateur et dont "Sept secondes en enfer" est une sorte de sequel, grâce à une histoire intéressante, une mise en scène solide, une BO superbe et un casting d'enfer, était une belle réussite dans le genre. On ne pourrait pas du tout en dire de ce film qui reprend la suite des aventures de Wyatt Earp et de Doc Holliday avec un casting différent. Le rythme est aussi intense que celui de l'avancée d'un escargot coincé au volant d'une voiturette dans un embouteillage parisien, le scénario est confus à souhait, part dans tous les sens, les seconds rôles sont totalement négligés, et les acteurs sont loin d'être à la hauteur. L'excellent Robert Ryan ne peut pratiquement rien faire car son personnage apparaît beaucoup trop peu, James Garner donne l'impression de prendre un malin plaisir à être aussi expressif qu'un bloc de béton et Jason Robarts en fait des tonnes dans le rôle du type qui est vraiment trop trop malade mais qui veut se battre quand même. Malgré quelques (très !!!) petites séquences d'action réussies, "Sept secondes en enfer" est sans conteste le plus mauvais film que j'ai vu de son réalisateur. Note : 5/20 (*) [img]http://img11.hostingpics.net/p...[/img]
    • AMCHI
      [img]http://media.zoom-cinema.fr/ph...[/img] La Rumeur c'est un film osé pour l'époque et certains pourront trouver trop sage de nos jours mais pour ma part c'est un très beau drame avec d'excellents acteurs dont bien sur le charmant duo Hepburn/McLaine. Ce film traite avec pudeur mais élégance des amours saphiques, un scénario puissant et intelligent pas de racolages stupides dans La Rumeur avec une fin cruelle mais plus ou moins attendue. Sincèrement je ne pensais pas que La Rumeur me plairait autant, je l'ai regardé avec curiosité pour voir comment l'Hollywood des années 60 allait traiter d'un tel sujet et j'ai eu le plaisir de visionner peut-être pas un grand film mais néanmoins du cinéma intelligent et passionnant. On a vraiment de la peine pour ses 2 jeunes femmes et bien que je sois contre la maltraitance envers les enfants j'aurais (comme beaucoup d'entre vous j'en suis sur) donné une taloche à lui arracher la tête à la sale morveuse à l'origine de cette rumeur. 4 étoiles[img]http://s.excessif.com/mmdia/i/...[/img]
    • Plume231
      Garçonnière pour quatre (1962) de Michael Gordon [img]http://www.encyclocine.com/fil...[/img] Synopsis : Quatre amis, George Drayton, Doug Jackson et Howard McIllenny, tous trois mariés, et Fred Williams, qui vient de divorcer, passent régulièrement leurs soirées dans le même bar. Las de cette routine, l'un d'eux lance, un soir, une idée à première vue saugrenue : acheter en commun une garçonnière. La boutade se concrétise par un heureux hasard. Fred découvre un magnifique studio à un prix tout à fait abordable et rencontre simultanément Cathy, une charmante jeune femme qui désire également louer l'appartement. Fred lui propose de garder le logement et de recevoir, en échange, chaque membre du quatuor. Elle accepte volontiers. Mais Fred ignore que la jeune femme, qui est étudiante en sociologie, s'apprête à rédiger un rapport sur «le comportement sexuel infantile du banlieusard moyen»... [img]http://www.notrecinema.net/avi...[/img] Critique : Qui c'est qui veut d'une comédie sans intérêt ??? Euh pardon, tout de suite les grands mots... Qui c'est qui veut d'un film sans intérêt ??? Parce que là, j'ai exactement ce qu'il vous faut. Alors il faut surtout pas se fier au titre en français car il n'y a absolument rien de subversif dans ce film. A vrai dire, c'est tout le contraire. Les maris restent desespérement fidèles à leurs femmes, on a le droit à un éloge lobotomisant de la famille moyenne américaine des années 60 bien avant que les enfants qui s'aperçoivent de la crétinerie de ce mode de vie, se mettent à fumer des pétards à la fin de la décennie, à croire à un monde meilleur avant de rentrer dans l'enfer du droit chemin en ayant perdu toutes leurs illusions. Mais bon il y a plein de films de la période qui jouent sur le même schéma et qui pourtant arrivent parfois à être drôles. Ben pas là, les gags sont éculés, le scénario est aussi épais que le bulletin de salaire d'une caissière de hard-discount, le rythme a décidé de totalement faire grève et les comédiens ne savent pas ce qu'ils foutent là. Il y a certes la grande beauté de Kim Novak mais on peut l'admirer dans d'autres films bien meilleur c'est-à-dire dans n'importe quelle autre oeuvre de sa filmo. Naze, même complètement naze, semble le bon terme pour qualifier ça. Note : 1/20 (0*) [img]http://www.autograph-gallery.c...[/img]
    • Plume231
      Maverick (1994) de Richard Donner [img]http://www.internet-texas-poke...[/img] Synopsis : Alors qu'il s'apprête à participer à la compétition du siècle, Maverick, joueur de poker professionnel, se retrouve sans le sou, menacé de mort par un mauvais perdant. Il est aussi en butte aux provocatioins d'une jeune et belle joueuse qui le séduit ouvertement tout en se dérobant continuellement à ses avances... [img]http://seriousnerd.files.wordp...[/img] Critique : Une comédie westernienne bourrée de clins d'oeil très amusante malgré un côté parfois un peu trop naïf façon Disney et une fin, qui malgré son nombre assez important de révélations surprises, est un peu longue à se terminer. Mais la réalisation de Richard Donner dans les quatre premiers cinquièmes est très dynamique et puis le trio Mel Gibson-Jodie Foster (qui n'a jamais été aussi sexy!)-James Garner, qui font une très très grand partie du sel de ce film, fonctionne admirablement. Un divertissement sans prétention et qui mérite d'être regardé tel quel. Note : 13/20 (***) [img]http://images.allocine.fr/r_76...[/img]
    • Plume231
      La Rumeur (1961) de William Wyler [img]http://www.fundaciondoctordepa...[/img] Synopsis : Dans une petite ville de province, deux amies Karen Wright et Martha Dobie dirigent une institution pour jeunes filles, aidées par Lily, la tante de Martha, une ancienne actrice excentrique. Fiancée au médecin Joe Cardin, Karen a du mal à s'engager et à laisser à Martha la direction de l'école. Mary, une élève insolente et menteuse, alors qu'elle a été punie, lance la rumeur que les deux professeurs ont une relation "contre-nature". Elle commence par le raconter à sa grand-mère puis très vite, tous les parents vont retirer leurs enfants de l'institution... [img]http://www.premiere.fr/var/pre...[/img] Critique : Celui qui a dit que la vérité sortait de la bouche des enfants mérite une grosse taloche. En tous les cas, j'aurais eu énormément de plaisir à envoyer la gamine responsable du mensonge de ce film à "Massacre à la tronçonneuse". Mais pour en venir vraiment au film en lui-même, le résultat est très bon voir même excellent. L'homosexualité féminine y est abordée de manière pudique (trop selon certains!) mais celle-ci sert surtout de prétexte à une dénonciation en règle du puritanisme et des conséquences catastrophiques que peut avoir une rumeur. A ce titre, le scénario est un modèle d'efficacité avec des rebondissements placés très judicieusement de sorte à ce que la tension ne se relâche jamais. Efficacité qui "contamine" aussi la réalisation de William Wyler servie admirablement par un montage et un choix de cadres intelligents ainsi que par la beauté des décors et celle de la photographie. Par un jeu particulièrement intense, Fay Bainter se distingue nettement dans les seconds rôles. L'alchimie entre la belle Shirley MacLaine et la divine Audrey Hepburn est étonnante et fonctionne à la perfection. La dernière scène où on voit les "bien-pensants" face à leur médiocrité commune est très forte et achève magistralement cette oeuvre très réussie. Note : 16,5/20 (****) [img]http://www.critikat.com/IMG/jp...[/img]
    • Plume231
      test
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