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    Germinal
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    stebbins
    stebbins

    458 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 mai 2009
    Un excellent film dont je ne me lasse pas... Ayant parcouru le roman de Zola, je peux vous assurer que cette adaptation est particulièrement fidèle à l'oeuvre du romancier. Ainsi, la reconstitution des mines du Nord de la France est impressionnante : Claude Berri a su retranscrire le style naturaliste de l'écrivain en l'associant à la crème du cinéma hexagonal. Gérard Depardieu, Miou-Miou, Jean Carmet ou encore Jean-Roger Milo sont magistraux, mais c'est surtout le grand Renaud qui participe à la réussite du film ( on retrouve son ami Jean-Louis Roques à la composition musicale de Germinal ). Fort de ce casting impérial et d'une capacité d'adaptation exemplaire, Claude Berri ne pouvait pas ne pas signer un chef d'oeuvre. Par conséquent, Germinal est un film de prestige digne de ce nom, l'un de ces morceaux de cinéma qui font du bien. Un classique à découvrir absolument, ne serait-ce que pour envisager le potentiel dramatique de Renaud. Non, décidément, c'est toujours un plaisir de visionner Germinal...
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 908 abonnés 12 156 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2022
    L'une des oeuvres les plus coûteuses de l'histoire du cinèma français! Enfourchez vos pelles et vos pioches pour affronter "Germinal" (1993). La rèvolte des gueules noires dans les Corons du Nord au XIXe sècle! Renaud, Gèrard Depardieu, Miou-Miou Jean Carmet, Bernard Fresson, Laurent Terzieff en anarchiste...dans le chef d'oeuvre de Zola, adaptè magistralement par Claude Berri! Zola vu par « le dernier nabab » est une rèussite totale qui restitue fidèlement les conditions de travail et de vie misèrable des mineurs de fond! Les honneurs, pour qui sont les hèros (figurants et anciens mineurs) de cette èpopèe tragique et flamboyante, ne sont pas usurpès! Deux Cèsars (meilleure photographie et meilleurs costumes) et un gros succès dans les salles obscures, en particulier la semaine d'avant première dans le Nord-Pas-de-Calais! On sort èmu par la mine, la mise en scène et les acteurs! Merci Claude Berri...
    Akamaru
    Akamaru

    2 791 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 janvier 2013
    Un drame minutieux,éreintant mais dont l'existence même est nécessaire les conditions de vie des miniers sous le Second Empire.Claude Berri adapte donc cette oeuvre-maîtresse d'Emile Zola,dans une reconstitution grandiose aux milliers de figurants et costumes.La photographie est superbe,tant au fond des mines que dans les gravas de la ville."Germinal"(1992)offre un rôle taillé sur mesure au chanteur Renaud,en leader de la rébellion populaire.Les riches vivaient dans leur tour de Babel exploitant de pauvres travailleurs sans le sou.Il ne faut jamais sous-estimer la révolte du peuple.Zola avait écrit un livre marxiste,qui reste forcément d'actualité,au moins dans sa représentation des invraisemblables inégalités économiques et sociales.Dans ce casting pléthorique,des grands noms tels que Gérard Depardieu,Miou-Miou,Laurent Terzieff et Jean Carmet sont convoqués.Le film n'est guère harmonieux sur la durée,tant au niveau de l'intensité des sous-intrigues que de l'interprétation,trop souvent théatrâle.Le sujet appelait une folie et une spontanéité que Berri n'a guère saisi.Quoi qu'il en soit,il s'agirait presque d'un documentaire édifiant et d'un hommage à un métier disparu.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    208 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 décembre 2006
    «Germinal» (France, 1993) de Claude Berri, c'est, grossomodo, l'histoire de mineurs qui vont se révolter et faire la grève. Violences des situations, drames des instants, noirceurs des scènes : tout le film baigne dans une tristesse. La fin, pessimiste à l'extrême, ferme le cercle qui paraîssait s'ouvrir à certains instants. Le long du film, les personnages ne semblent pas avoir le choix. L'histoire semble détruire la pauvre société. Le cinéaste, pour retranscrire la tristesse du livre, créé des lumières sombres, on dirait des tableaux de Goya. Les acteurs sont très bien dirigés : Berri fait de Renaud un acteur doué, Depardieu joue là dans un de ses rare très bon rôle, même Jean Carmet émeut. Seul Miou-Miou tribuche un peu. La musique de Jean-Louis Roques, elle, maintient une gravité constante. Cependant, le film souffre d'une longueur dû à l'insatiable répétition dont nécessite le film avant de bien souligner la morosité de leur vie. «Germinal» est donc victime de ce qu'il décrit. Bref, Claude Berri réussit à former une aura de tristesse, ceci pour mieux nous immerger. En nous immergeant, Claude Berri prend en compte la qualité communautaire du cinéma. Non seulement à mieux être dans le film, on croit davantage à l'histoire donc au message. N'oublions pas que Zola était aussi un fin sociologue. L'écrivain observait sa société pour mieux la retranscrire sur papier. Si Berri fît de même avec «Tchao Pantin» (France, 1983), il s'agit ici d'un film historique immersif. Berri accentue aussi l'opposition obsolète faite entre les pauvres travailleurs et les bourgeois. Ce qui est décrit dans «Germinal» c'est la décadence et le constat de la Révolution française ( révolution des bourges contres les nobles ). Le film réfléchit sur la révolution nécessaire qu'entraîne toute forme de capitalisme. En conclusion, Berri fait un film sur comment le passé peut enseigner au présent mais surtout sur la condition d'une classe à une époque où l'industrie régnait.
    Stephenballade
    Stephenballade

    353 abonnés 1 235 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 août 2015
    Le monde se divise en deux catégories : ceux qui triment, et ceux qui dirigent. Ca dure depuis longtemps, pour ne pas dire depuis toujours, et Emile Zola l’a parfaitement compris. Le pire est que ça continue aujourd’hui, d’ailleurs j’ai retenu une bien amère constatation qui est dite dans le film : "Un monde nouveau va naître, mais les inégalités ne disparaîtront pas pour autant : il y aura toujours des gens plus intelligents que d’autres et qui s’engraisseront sur le dos des faibles". Il suffit de regarder autour de soi pour se rendre compte que ce n’est pas faux. Sauf qu’à l’époque où se situe "Germinal", il n’y avait pas tout le confort que nous avons aujourd’hui : pas de salle de bains, pas même d’eau courante, pas d’électricité, nous revoyons les lessiveuses, et j’en passe car la liste serait trop longue. "Germinal" nous permet de mesurer à quel point le fossé qui sépare les classes sociales est grand. D’un côté nous avons une société vivant dans le luxe et l’abondance voire l’opulence, de l’autre une société exploitée où la misère règne, véritable (je cite) "bagne de la faim et de la misère", amenant des arrangements par le biais entre autres du sexe jusqu'à la pédophilie. Ce contraste entre les deux mondes est bien mis en images à plusieurs reprises, notamment lors du passage sans transition entre le moment où on voit les mineurs coincés dans leurs galeries et le moment où un carrosse amène les nantis concédant enfin à apporter un peu d’humanité à cette femme qui paye un lourd tribut. Cette femme est Miou-Miou, interprétant une mère de sept enfants et qui fait ce qu’elle peut pour joindre les deux bouts. Mais l’actrice trouve trop vite ses limites, ayant un jeu par moments trop théâtral. Pire, elle ne sait même pas pleurer la perte des siens ; on sent que c’est forcé, et fait même penser au cri d’une poule lorsqu’elle perd son mari. Son mari est Gérard Depardieu, égal à lui-même, parfait dans ce personnage tranquille qui se laisse entraîner dans ce qu’on pourrait considérer comme le début du syndicalisme. Cette notion est amenée par Renaud, et ce rôle lui va bien car on sait à quel point cet artiste est engagé dans certaines de ses chansons. Renaud a indéniablement des qualités en art dramatique, mais il parait un peu trop timoré malgré son regard bleu acier. Ma mention spéciale va à Jean-Roger Milo, absolument superbe dans la peau de Chaval, ce personnage cabossé au comportement limite asocial, tiraillé par l’amour, la raison et le besoin de vivre. Nous avons droit à un casting prestigieux, en phase avec un roman tout aussi prestigieux. L’adaptation n’était pas chose aisée, mais il faut reconnaître qu’on ne peut être qu’excédé par le gouffre qui sépare le monde des travailleurs de celui du patronat. C’est en partie grâce aux décors, rendant compte à merveille de la difficulté quant aux conditions de travail, avec cette promiscuité, cette obscurité que seules les lampes, véritables (je cite) "soleil du mineur", parviennent tant bien que mal à combattre. Aussi je donne une autre mention spéciale aux chefs décorateurs, au même titre que les maquilleuses qui nous permettent de mesurer la pénibilité du travail au sein de la mine par le biais de cette crasse qui colle à la peau, ne laissant visible dans la pénombre que la blancheur des yeux et le rose des lèvres, trahissant l’importance de cette poussière invisible provoquée par l’extraction du charbon. Autant dire que la caméra de Claude Berri permet une bien jolie photographie. "Germinal" n’est pourtant pas sans défaut : ce film se perd parfois dans des sous-intrigues inutiles (la plus flagrante étant les frasques d’Anny Duperey), provoquant des longueurs fastidieuses. Pour que "Germinal" soit une merveille cinématographique, il manque quelque chose d’indéfinissable, peut-être de la spontanéité, et un meilleur rendu du climat de la grève, en résumé de l’intensité. Il n’empêche que "Germinal" reste un film à voir pour son caractère historique (balbutiement du régime spécial des mines avec cette création de la caisse de prévoyance/compensation, débuts du syndicalisme) et l’hommage rendu aux travailleurs dans les bassins miniers. En somme, pas exceptionnel, mais néanmoins incontournable.
    scarface666
    scarface666

    174 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 octobre 2012
    Un chef d’œuvre.
    Ça au moins c'est du bon cinéma français pas comme toute les merdes qui sortent aujourd’hui.
    On m'avait dit que c’était un film chiant, mais c'est faux.
    Pas besoin d'argumenté plus, Claude Berri a fait un travail remarquable.
    5/5
    Gonnard
    Gonnard

    214 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 mai 2010
    Le passage du roman au grand écran est toujours périlleux, on le sait. On se souvient encore du médiocre "Madame Bovary", une véritable insulte au chef d'oeuvre de Flaubert. Avec "Germinal", c'est un peu moins pire, mais tout de même pas bien fameux. L'absence de la voix-off, sauf à la toute fin, empêche de restituer la force des descriptions de Zola. Du coup on perd tout, ou presque. Le film est fade à côté du roman. Second échec, les raccourcis malheureux qui poignardent le réalisme. Par exemple, Etienne appelle à la grève, d'un coup tout le monde se tait (déjà là c'est louche), deux secondes après tous votent à main levée pour la grève sans aucune hésitation (encore plus louche). Tout cela pour gagner quelques minutes, peine perdue puisque le film s'éternise sur 2h30 (trop long les gars). Troisième erreur, le choix de Renaud pour jouer Etienne. Excusez-moi l'expression, mais il fait tache par rapport à Depardieu, Miou-Miou et les autres. On sent qu'il manque de pratique théâtrale, c'est pas sa faute mais ça se voit comme le pif au milieu de la figure. D'autant plus qu'il ne dit pas plus d'un mot toutes les dix minutes. Je n'avais pas le souvenir d'un Etienne autiste dans le roman pourtant. Du coup Renaud fait un peu personnage secondaire, alors que c'est lui le héros, du moins en principe. Tout ça, au final, conduit à un film sans saveur quand on a lu le roman, et assez chiant il faut bien l'avouer. Un beau gâchis.
    Julien D
    Julien D

    1 099 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 décembre 2011
    L’opposition entre les travailleurs exploités et le patronat exploiteur n’est pas un problème de société récent, c’est bien ce que Claude Berri nous a prouvé en adaptant le récit d’Emile Zola. Cette retranscription du roman naturaliste sur le grand écran s’est faite avec un sens du détail relevant du perfectionnisme. La manière de filmer les paysages nordiques et les costumes nous permettent de plonger dans cet univers très dur qu’était la lutte des mineurs pour tenter vainement d’obtenir quelques sous de plus de la part de la classe dirigeante vivant dans un luxe excessif. Le casting lui aussi permet de faire de cette œuvre une date dans l’histoire du cinéma français : En plus de Renaud qui fait là la seule prestation intéressante dans sa carrière d’acteur, nous avons des grands noms du 7ème art hexagonal tels Jean Carmet, Gérard Depardieu ou Miou-Miou mais aussi de bons espoirs dont Judith Henri ou Yolande Moreau alors encore maigre et inconnue. Bref, il s’agit là d’un splendide tableau plein de véracité toutefois très dur à voir absolument.
    selenie
    selenie

    5 416 abonnés 6 011 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juin 2012
    Un grand film pour une adaptation très fidèle au célèbre livre de Emile Zola. Claude Berri a rassemblé un beau et bon casting dans un film qui fait impression surtout grâce à la reconstitution des mines (décors et travail) et au bel effort de réalisme. Clairement bien documenté Berri offre un film juste mais le seul vrai soucis reste l'interprétation. En effet si le casting est solide tous les acteurs ne sont pas aussi bon sur la durée du film ; chaque acteur a sa baisse de régime, parfois surjoué parfois trop théâtral... Un beau film donc même si la direction d'acteur ne semble pas avoir été parfaite. Cependant la tragédie des mines est bien rendue, Jean Carmet (dans un de ses derniers rôles) est épatant et l'adaptation reste une réussite au vu du roman de Zola.
    Davidhem
    Davidhem

    88 abonnés 336 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 octobre 2009
    Adaptation fidèle du roman d'Emile Zola, "Germinal" relate le parcours tragique de plusieurs mineurs au dix-neuvième siècle où règnent les patrons qui se moquent du train de vie misérable de leurs employés. Il faut souligner qu'à cette époque, les syndicats n'existaient pas et donc qu'aucun travailleur ne pouvait s'opposer avec autorité face à la toute puissance de leur employeur. Le film montre la misère, la pauvreté mais également et c'est assez paradoxal une certaine bonne humeur entre ces personnes qui travaillent six jours sur sept et quinze heures par jour. A l'opposé, les bourgeois respirent la santé et semblent ne se préoccuper de rien sauf de leurs histoires de coucheries. C'est ce contraste si évident qui provoque le scandale. Comment des hommes, des femmes et des enfants exploités dans des conditions de vie que l'on qualifierait aujourd'hui d'innomables peuvent accepter de trimer autant pour gagner si peu d'argent qui ne leur permet pas de vivre décemment? C'est la question posée par le film qui tente de répondre. Le sujet est remarquablement maîtrisé par le réalisateur de "Jean de Florette" qui rédige et signe un long-métrage qui penche vers des idées de gauche et qui attaque le système du patronat. Le scénario est riche, dense, si bien que le rythme qu'il impose permet au spectateur de ne décrocher à aucun moment de ce film subversif et passionnant pour les informations qu'il délivre. Témoignage d'une société d'exploitation du travailleur pauvre qui ne possède aucun moyen de se défendre, "Germinal" traite les patrons comme des égoïstes avides de pouvoir au point de recourir à l'armée pour calmer les tensions, des tensions qui finiront par donner plus tard aux travailleurs pauvres l'idée de se rassembler en masse, le film se montre donc comme la justification de la création des syndicats. A notre époque où le capitalisme et les idées de droite règnent, il n'est pas étonnant que ce film soit rarement programmé à la télévision. Un long-métrage essentiel.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    111 abonnés 2 264 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 novembre 2012
    Germinal est devenu un classique du cinéma français.
    Un excellent casting pour un film fort, certes 20 ans après sa sortie on peut y voir quelques défauts, quelques longueurs ou quelques faussetés dans le jeu d'acteur de Renaud qui s'en était quand même bien tiré n'étant pas acteur de métier.
    Du décor, du costume, de l'action et des gueules.
    Les gueules d'acteurs c'est bien ce qu'a perdu le cinéma français ses dernières années.
    Elles se font rares et rares sont les films où les acteurs ne se contentent pas de jouer leur propre rôle de petit bourgeois parisien bien sapé avec un téléphone portable à la place du cerveau.
    Il y a peu de chance que toutes ces petites comédies facile, Vaudevilles contemporains qui constituent 80% des sorties deviennent un jour classique du cinéma français.
    Ici on a des gueules et des acteurs qui osent jouer des mineurs du 19 ième (siècle pas arrondissement)
    Regardez les gueules, celle de Jean-Roger Milo et son jeu très théâtral, celle de Laurent Terzieff, Carmet, Depardieu, Renaud, Yolande Moreau...
    Ils sont crasseux, alcooliques, violents, pauvres,moches et cons et ne valent pas mieux que les patrons.
    Un plaisir donc de revoir un film ambitieux qui ose les acteurs, les décors, les chevaux de trait, les costumes, un des plus grands scénariste du monde et une durée de 2H40.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 décembre 2013
    Confronté à un grand classique de la littérature chargé qui plus est d'une symbolique sociale forte, Claude Berri joue le jeu du grand spectacle, offrant ainsi l'adaptation la plus fidèle au chef d’œuvre d'Emile Zola. La distribution est prestigieuse. Très bon film.
    bsalvert
    bsalvert

    317 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 février 2013
    Autant l'atmosphère est bien rendu autant qui veut se plonger dans la misère en regardant un film.
    PLV : pour ceux qui aiment plonger.
    shmifmuf
    shmifmuf

    155 abonnés 1 761 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 mars 2012
    Mon dieu quelle purge à regarder!
    Tout est lourd et appuyé sans la moindre finesse.
    Seul Depardieu n'est pas horripilant dans ce film où tout les acteurs surjouent (en particulier Miou-Miou rarement aussi pénible dans un rôle).
    Renaud lui est transparent et n'a rien d'un acteur.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 138 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 janvier 2014
    Voilà un film qui cumule toutes les plaies du cinéma français. Etouffé par l’ampleur et le rayonnement de l’œuvre originale, Berri fournit un travail verbeux, sans originalité, qui n’a que pour seul intérêt la qualité visuelle de la reconstitution. Sinon, au-delà de ça, tout le discours percutant et pertinent de l’œuvre originale est dissout par une lecture misérabiliste et lénifiante. Pas top…
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