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    Halloween, La Nuit des masques
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    3,7
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    650 critiques spectateurs

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    L'égocentrique
    L'égocentrique

    1 abonné 9 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 avril 2024
    "Halloween" est un classique intemporel du cinéma d'horreur qui vous tiendra en haleine du début à la fin. Avec Michael Myers en tant que méchant emblématique, le film vous plonge dans une atmosphère terrifiante dès les premières minutes. La tension monte progressivement alors que Myers poursuit ses victimes avec une détermination effrayante. Les performances des acteurs sont captivantes, et la mise en scène est impeccable, créant une expérience cinématographique immersive. Si vous êtes amateur de frissons et de suspense, "Halloween" est un incontournable à ajouter à votre liste de films à voir absolument.
    Ewen Blake
    Ewen Blake

    135 abonnés 1 169 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 avril 2024
    spoiler: C'est l'histoire d'un mec qui a fait voeux de silence, de ne pas montrer son visage et de ne pas courir. Il aime bien les couteaux aussi.


    - Cette critique contient des spoilers -
    Alors oui c'est vieux, lent et assez chiant mais tout est là pour devenir culte et culte, Halloween l'est devenu.
    Dès le premier meurtre on est pris par le film: la musique lancinante (même si on en abuse largement par la suite), la caméra à l'épaule (déjà !), l'effet spécial avec le masque sur les yeux, la montée en tension, la jeune fille à moitié dénudée et enfin le coup de théâtre de l'âge de l'assassin.

    Malgré sa lenteur le film développe une l'atmosphère glaçante qui ne nous quitte pas et Carpenter use de tous les artifices du genre pour nous garder sous tension: caméra au plus près des acteurs pour renforcer la sensation d'étouffement, fausse alerte, jump scare, alerte des gosses qu'on ne prend pas au sérieux et cette présence glaçante et immobile (un peu trop d'ailleurs).

    Les dialogues sont pas fous mais ils sont plus que compensés par le jeu et la mise en scène à l'image de la scène ou le docteur raconte ce qu'il sait du gamin. C'est de l'exposition basique mais la mise en scène et le jeu de l'acteur en font une scène qui reste: peu importe ce qu'il dit, on sent bien que le Meyers le fait flipper... et nous avec.

    Malgré ses presque 40 ans et à l'exception de la scène dans laquelle Annie se coince pour le plaisir du spectateur masculin, Halloween ne tombe jamais dans le ridicule et surtout, la beauté de certains plans en noir et blanc reste frappante.
    homebrow_q21
    homebrow_q21

    34 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 février 2024
    Tous simplement le meilleurs film dans la catégorie Slasher tous y est pour passer un excellent moment.
    Le film date de 1978 (45ans déjà) et il a très bien vieilli !
    Mickeal Myers est un antagonistes parfait, charismatique, terrifiant et Laurie Strode un personnage attachant ainsi que bien évidemment marquant.
    Jules Langonnet
    Jules Langonnet

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2024
    Ce n’est certainement pas le premier slasher de l’histoire, mais il mérite d’en être un. L’atmosphère établie est digne de celle d’un bon film d’horreur, avec des plans mobiles et des screamers. Sorti en 1978, je peux même annoncer qu’il s’inscrit en tant que pionnier dans les codes de l’épouvante, notamment avec ses scènes de violence hors champ, ses longs suspenses et son héroïne qui ne reste pas pétrifiée. Jamie Lee Curtis incarne parfaitement le rôle, et devient (enfin) actrice, ce qui n’est pas courant dans les films de ce genre où les personnages sont plutôt passifs. Elle se défend ! Bon, il faut tout de même attendre 1h15 pour avoir la consécration du film et un peu d’action, car je ne le cache pas il est un peu long. Certes, Carpenter pause le cadre angoissant du tueur fou, qui soit dit en passant n’est plus considéré comme humain, ce qui mérite un peu de temps, mais l’inaction peut perdre quelques spectateurs. D’autres bons films ont suffisamment tenu le spectateur en haleine pour se permettre de lancer des fausses alertes, comme quand le tueur est sur le point de commettre un crime mais se réserve à cause d’un phare de voiture. D’après-moi celui-ci attend trop avant d’attaquer le vif du sujet, ce qui peut mener à l’ennui.

    Outre le temps, le réalisateur nous donne le droit de connaître les origines de son meurtrier, ce qui est novateur pour l’époque. D’habitude, aucune explication n’est donnée au spectateur sur les motifs du tueur, et Carpenter nous offre quelques détails à se mettre sous la dent. Le scénario en découle de manière fluide jusqu’à sa première apparition vue par Laurie, jouée par Jamie Lee. Ici, le film prend une autre tournure, le spectateur attend qu’il se passe quelque chose. Et il tombe dans le cliché où l’héroïne est prise pour folle, seule sans défense, qui attend la mort. Puis miracle, le réalisateur sauve la mise en montrant un personnage qui se bat pour sa vie, différemment de Judith O’Dea dans La Nuit des Morts-vivants. En parallèle, il nous dresse le portrait de ce qui deviendra la représentation du mal, Michael Myers, avec son look reconnaissable constitué d’une combinaison de travail bleue, d’un masque en latex blanc avec une perruque et un long couteau de cuisine. Il ne faut rien de plus pour esquisser sa silhouette derrière une barrière. Entre l’originalité de l’antagoniste et l’angoisse que procure la musique, elle aussi réalisée par Carpenter, le spectateur entre dans l’ambiance sans problème.

    Parlons un peu des plans qui sont majoritairement tournés avec une caméra embarquée dans une perspective éclairée. En effet, peu de plans fixes nous sont donnés, et même si je les préfère, ils ne manquent pas ici. La lumière non plus ne fait pas défaut contrairement aux films d’horreur où tout est sombre ; certains réalisateurs pensent que les spectateurs ont davantage peur s’ils ne voient pas tout, et ne misent que là-dessus. Ici, le spectateur voit tout à la bonne luminosité, hormis les meurtres qui sont hors champ certainement pour ne pas choquer à l’époque ou par choix du réalisateur de ne pas se tourner vers le gore.

    Mais ce qui me plaît par-dessus tout, c’est la fin très osée, encore une fois, pour l’époque ! Attention spoiler : en général, le film d’horreur finit par la mort supposée du tueur avec une victoire des survivants. Je le note dans Scream (1996), Jeu d’enfant (1988) ou encore Shining (1980). Mais ici, il en est tout autre, car Myers parvient à se relever et à fuir avant que Loomis le retrouve, même s’il s’est pris cinq balles. Ce procédé inquiète encore plus le spectateur qui imagine le tueur toujours en vie, capable de venir lui rendre visite… Je note ces fins similaires dans Vendredi 13 (1980), Annabelle (2013) ou dans Les griffes de la nuit (1984). Dommage par contre que le film ne montre pas comment Laurie se remet de cet épisode, ni elle ni les enfants, et qu’il s’arrête si brutalement, car j’aime bien les fins posées.

    En conclusion, ce film est une réussite cinématographique de l’horreur, avec quand même quelques détails qui me chagrinent et qui bouleversent la crédibilité de l’histoire. Par exemple, le docteur perd son patient capable d’une tuerie, qui devrait être en hôpital psychiatrique et non en prison d’ailleurs, et personne ne s’alarme plus que ça. Seul le shérif de la ville patrouille, au cas où, le soir d’halloween, un tueur en série en cavale voudrait continuer sa série de meurtres après sa mère. Je passe les incohérences, il est tout de même facile de se mettre dans l’ambiance et de profiter d’un bon moment devenu culte.
    Halloqueen ;)
    Halloqueen ;)

    86 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 novembre 2023
    Sans aucun doute ZE slasher et mon 2ème film d'horreur vu dans ma vie et rererere...revisionné depuis (24 ans depuis le 1er) !

    Pour faire simple, malgré quelques faux raccords, c'est encore un petit bijou du genre encore aujourd'hui.

    Allez y sans craintes, c'est un bon film malgré les années!

    Bon visionnage!
    Weslay
    Weslay

    7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2023
    Le film sortie en 1978 et le premier grand succès de John carpenter qui deviendra le réalisateur de the thing le film se positionner sur l'histoire et non sur les meurtres comme la plupart de ses suites
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    155 abonnés 2 760 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 novembre 2023
    Si à l'époque le succès était inattendu, il est aujourd'hui évident qu'Halloween doit être vu. Pour son entrée en matière avec son célèbre plan séquence en vue subjective, sa compo musicale et son côté Homemade. Il est aujourd'hui la référence du Slasher qui a déposé sa stèle sur les autres VHS, trônant désormais au dessus du lot.
    Johan
    Johan

    10 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 octobre 2023
    bien pour l'époque. L''enbiance est bonne et les graphisme sont pas mal pour l'époque. 3.5/5 pour moi.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    140 abonnés 897 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 octobre 2023
    Film cultissime à mettre dans les tops "movies to see before you die" tant l'impact sur le genre horrifique est majeur. Carpenter créé un méchant iconique qui sévit dans une bourgade favorisée des États-Unis. Comme tous les films serials-killers, Mayers vient punir les habitants, dont les raisons peuvent se comprendre par la mise en scène et le sous-texte de Carpenter. Assez didactique, il demeure tout de même assez flou. J'ai également été un peu déçu par le rythme du film qui ne permet pas d'installer une tension importante chez le spectateur (d'aujourd'hui du moins).
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    6 abonnés 594 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 octobre 2023
    « Laurie, the Boogeyman’s outside, look ! »

    Lorsque j’étais enfant, on ne fêtait pas Halloween, ni en Belgique, ni en France. J’ai découvert cette fête un peu par hasard quand un de mes camarades de classe, je devais avoir 14 ans, m’avait refilé, sous le manteau, des copies pirates VHS d’Evil Dead et… d’Halloween, d’une bien piètre qualité. L’idée était alors de se faire peur tout seul et de jouer les caïds en disant « oué, je l’ai vu, même pas eu peur » (ce qui est évidemment faux).

    Au niveau de l’histoire du cinéma, Halloween/La Nuit des Masques marque un tournant. Il s’agit du premier film d’horreur réalisé par John Carpenter, qui en écrit également la musique immédiatement reconnaissable, c’est aussi l’un des premiers slashers devenu internationalement culte alors même qu’il sort à une époque où la fête d’Halloween reste confinée au monde anglo-saxon. C’est enfin la première apparition à l’écran de Jamie Lee Curtis, qui deviendra une égérie des films d’horreur durant les années ’80 et tournera en tout 3 fois avec Carpenter (Fog, 1980, New-York 1997, 1981) ainsi que dans 8 des 13 suites et remakes de la licence. Donald Pleasence, acteur britannique éclectique et mythique apparaîtra dans 5 d’entre eux. Aucun des deux n’apparaît dans le troisième volet. Enfin, Halloween ouvre la voie à l’éclosion d’un nouveau mode de consommation de culture populaire qui bercera une génération toute entière : la vidéo à la demande, à travers les vidéoclubs.

    Dire que Carpenter a tout inventé serait une grossière erreur. Ses influences sont multiples et plongent loin dans la fabrique cinématographique, de l’expressionnisme d’avant-guerre et d’Hitchcock aux gialli dont Mario Brava fut une figure de proue, en passant par les films de la Hammer anglaise et Howard Hawks, voire plus loin encore comme en témoigne, dans la chambre de Laurie, une affiche de James Ensor, peintre ostendais qui exposait des foules masquées fantomatiques dans ses toiles. En revanche, il plante les codes du genre pour des générations entières à venir.

    Il commence d’ailleurs à tourner à un moment où le cinéma des Etats-Unis se transforme complètement, délaissant les studios et les codes de morale et de censure (en vigueur jusqu’à la fin des années ’60) et explorant de nouveaux genres, à l’image du porno. En parallèle, de jeunes réalisateurs, nourris par d’autres cinémas, dont la Nouvelle Vague française et le néoréalisme italien, expérimentent et améliorent les inventions techniques et artistiques de leurs prédécesseurs, dans un mouvement appelé le New-Hollywood : Scorsese, Lucas, Coppola, De Palma, Spielberg.

    C’est dans cette effervescence que naît Halloween, thriller horrifique réalisé comme un film expérimental par moments, où Carpenter inverse tout le temps sa caméra en mode objectif/subjectif et joue constamment du travelling fluide et rythmique, à l’image de sa musique. Détail amusant et mise en abyme, quand le jeune Tommy/Brian Andrews retrouve Laurie/Jamie Lee Curtis, il lui demande s’ils pourront regarder un film d’horreur le soir. Autre détail, l’une des rares chansons que l’entend, dans la voiture de l’amie de Laurie, est Don’t Fear the Reaper, du Blue Öyster Cult (1976).
    On le voit, Halloween était bien plus qu’un simple film d’horreur pour adolescent·es en mal d’émotions fortes. C’est un véritable chef d’oeuvre d’une incroyable densité artistique, une leçon de cinéma.
    Christophe R
    Christophe R

    1 abonné 27 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2023
    "Halloween : La Nuit des Masques" est un film d'horreur emblématique sorti en 1978, réalisé par John Carpenter. Il est considéré comme un classique du genre et a eu un impact majeur sur le cinéma d'horreur.

    L'un des aspects les plus louables du film est son atmosphère tendue et oppressante. Carpenter parvient à créer une ambiance de peur constante à travers une utilisation judicieuse de la musique, de l'éclairage et de la mise en scène. La musique iconique, composée par Carpenter lui-même, devient un personnage à part entière, intensifiant le suspense et l'angoisse tout au long du film.

    Le personnage principal, Michael Myers, est un antagoniste inquiétant et mystérieux. Son masque blanc et son comportement impassible ajoutent à son aura menaçante. Le choix de maintenir une grande partie de son histoire dans l'ombre renforce le mystère et la terreur associés à ce personnage emblématique du cinéma d'horreur.

    Jamie Lee Curtis incarne avec brio le personnage de Laurie Strode, une héroïne forte et vulnérable qui défie les stéréotypes du genre. Son interprétation apporte une dimension émotionnelle importante au film et contribue à renforcer l'identification du public avec le personnage.

    Cependant, certains pourraient critiquer le film pour son rythme lent dans certaines parties, notamment le début, où l'action peut sembler un peu sporadique. De plus, les effets spéciaux de l'époque peuvent sembler datés pour les spectateurs contemporains habitués aux technologies plus avancées.

    Dans l'ensemble, "Halloween : La Nuit des Masques" reste un pilier du cinéma d'horreur, influençant de nombreux films du genre qui ont suivi. Son impact sur la culture populaire et sa capacité à maintenir une tension constante en font un film à ne pas manquer pour les amateurs d'horreur et les aficionados du cinéma classique.
    chris 639
    chris 639

    3 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 août 2023
    Déçu, les 2 choses positives ce sont la musique et l'ambiance malsaine par moments. 4 ans après sort the things sont chefs-d'œuvre absolue. Qu'est-ce qui a pu ce passer en 4 ans. Incroyable.
    Nicothrash
    Nicothrash

    294 abonnés 2 940 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juillet 2023
    La Nuit des Masques, véritable pilier de l'épouvante et précurseur du genre slasher marquait le cinéma en 1979 pour devenir rapidement culte. John Carpenter, qui signe également le génial thème musical, use de plans novateurs et excellemment bien trouvés pour faire naître l'angoisse et la tension sur quasiment chaque plan. Les apparitions de Myers, qui deviendra une icône du ciné d'horreur au même titre que Jason Vorhees ou Leatherface glacent le sang et même si l'ensemble a forcément vieilli (notamment au niveau dialogues) la tension reste palpable tout du long. Un coup de maître de la part de Big John qui va véritablement lancer sa carrière et malheureusement engendrer un nombre conséquent de suites trop souvent nanardesques. Mythique et culte.
    Paolo_lcptr
    Paolo_lcptr

    7 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 juin 2023
    Après avoir beaucoup entendu parlé de ce film culte qui a inspiré de nombreux slasher. Ce film joue beaucoup sur l'attente ce qui fais monté le stress et c'est tout car en général les scènes de meurtre ne sont pas très effrayante et gores. Sinon cela reste un bon film d'horreur pour l'époque et qui est encore regardable aujourd'hui.
    Adam17
    Adam17

    4 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 juin 2023
    Un film d’horreur bien fait pour son âge. Avec beaucoup d’erreurs mais cela fait son charme. Après l’avoir revu pour la nostalgie je peut confirmer que c’est le personnage de tueur en série inventé le plus flippant
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