Avis sur The Descent : Part 2

Cette suite n'a que peu d'intérêt sauf pour la scène finale qui répond à une question (même si certains ici n'ont pas du tout aimé ou n'ont pas compris l'intérêt), le reste est rempli d'incohérences dont certaines en totale contradiction avec le premier volet.
Et puis voilà, la tension tombe complètement à plat ici, la grotte n'est pas filmée de la même façon, on ne ressent pas l'angoisse claustrophobique qui faisait la force du premier The Descent, les créatures sont trop montrées et trop caricaturales, tout comme les autres acteurs, on enchaîne scène gore sur scène gore, on recycle et on fait même réapparaître une héroïne du premier pour aider à casser du monstre.
Bref, ne faîtes pas un The Descent Part 3 par pitié, ou alors complètement différent, une préquelle orientée sur les créatures, leur origine, leur histoire, mais pas sur un énième groupe de crétins qui redescend dans la grotte pour voir si les bébêtes sont toujours là...

Cette suite du très bon"The descent" est globalement moins réussie. On à en fait trop souvent l'impression d'assister à un remake du film caverneux de Neil Marshall , plutôt qu'à une "vraie" suite. Pourtant, l'intrigue de ce second volet démarre juste quelques instants après la fin du précédent. Mais le principe est le même et la construction quasi-identique. Ce qui enlève ainsi tout effet de surprise, dont le n°1 avait déjà bénéficié. John Harris, qui signe ici son premier film en tant que réalisateur (il était monteur sur le premier), ne se défend finalement pas trop mal, mais il n'arrive pas, lui non plus, à atteindre le même niveau. Rythmée et soutenue, sa mise en scène est en revanche moins stylisée que celle de son prédécesseur, moins inventive. Le grain de la photographie du premier opus était plus travaillé, tout comme l'ambiance, qui était plus sombre et oppressante. Ici, le scénario offre quelques clichés qui n'était pas là, même si sinon il tient la route en général. Ce nouvel acte met un peu de temps à se lancer, la première moitié est presque sans grand intérêt, c'est presque long à se mettre en place. Puis viens l'entrée dans la grotte, et l'apparation des créatures sanguinaires. Et là c'est (enfin) parti, et plutôt bien parti même. Les scènes d'action et d'horreur sont accrocheuses et biens faites, offrant une bonne dynamique, les effets gores sont bien sanguinolents et les maquillages sont affreusements soignés. La fin est pas mal, pas trop "déjà vue". C'est assez simple et primaire mais ça à le mérite d'être efficace et sans détour. On sursaute peut-être même un peu, et 2-3 séquences ont le mérite d'être assez effrayantes, violentes, presque intenses. Au premier degré, ça rattrape les erreurs qui le pénalise, et on passe pas un moment si ennuyant si on aime le genre. Une oeuvre loin d'être indispensable, alors que sa grande soeur est à classée dans les meilleurs sorties des années 2000. Ca attrape la moyenne très grâcieusement, vraiment de justesse.

Malgré une baisse de régime en terme de qualité (d'écriture notamment), The Descent : Part 2 est loin d'être une suite déshonorante. Les amateurs du premier films se retrouveront en terrain connu, avec du sanguinolent pour les fans d'horreur graphique et des scènes bien stressantes pour les aficionados de l'épouvante. Notre critique complète est en ligne !

The descent : voilà un bon film de flippe, un film qui vous prend aux tripes, qui fonctionne sur nos peurs ancestrales (la peur du noir, du vide, de l'inconnu, et celle de se faire dévorer), qui impressionne jusqu'à son magnifique plan final, laissant le spectateur hors d'haleine et traumatisé.
J'ai commis l'erreur de regarder sa suite, the descent 2. Ah ça oui, pour une erreur, c'était une erreur... Des effets gore grands guignol, des tentatives d'effrayer le spectateur qui tombent à plat (oh, tiens, le monstre qui jaillit du coin noir de l'écran alors que tout est calme depuis dix minutes, l'avais pas vu venir). Mais le pire c'est la trahison, l'injure faite au premier opus. Un scénario inepte, qui contredit directement la fin du premier film, des "résurrections" aberrantes spoiler: (June se porte bien, malgré qu'on lui ai planté un piolet dans la jambe, elle bashe du monstre sans trop chercher la sortie...
), de l'humour inutile spoiler: (LOL la créature qui vient faire caca au-dessus des filles)
et une fin non seulement débile mais totalement incohérente ET invraisemblable spoiler: (Faudra qu'on m'explique ce que le gars foutait là avec sa pelle, et surtout comment la fille ne l'a pas vu ni entendu venir alors qu'elle vient de faire un 360 pour ne voir que des arbres clairsemés)
. Si un jour vous regardez ce monument de la trouille qu'est "The Descent", restez-en là. La suite est descendue bien bas, jonchée d'invraisemblance et de personnages bipolaires qui oublient régulièrement ce qu'ils ont fait ou subis 2 minutes plus tôt.

11min30, c'est précisément le temps qu'il faut à cette suite directe du film de Neil Marshall pour perdre toute crédibilité scénaristique. L'idée même de refaire plonger dans les « entrailles de l'Enfer » l'héroïne du premier volet, qui avait sacrément morflé tant physiquement que psychologiquement, est à ranger au rayon des choix saugrenus. On se dit alors que le réalisateur Jon Harris, pourtant excellent monteur (voir sa fiche), va devoir sacrément envoyer le pâté question réalisation et angoisse pour se sortir de ce pétrin. La suite s'enchaîne ainsi plutôt efficacement, bien que sans grandes innovations par rapport au premier volet, mais à l'heure de film environ, le jeune réalisateur commet sa seconde bourde en faisant revenir le personnage de Juno. Un autre choix totalement improbable tant ce personnage aurait logiquement dû finir en charpie à l'issue de la première « descente » (et puis elle gambade plutôt pas trop mal pour quelqu'un qui a au minimum une double fracture ouverte tibia péroné, pas de médicaments et pas de nourriture depuis 48h...). Un second opus qui se rattrape de justesse par une réalisation correcte et une certaine efficacité, son scénario étant à la limite de la faute professionnelle.

Le scénario de cette suite est une accumulation de clichés, d'incohérences et croît faire sursauter son spectateur alors que chaque apparition des "gollums" sont prévisibles… rien à voir avec l'intelligence du premier… De plus le film a des scènes d'actions illisibles, on ne comprend à ce qui se passe, la caméra se mouvant dans tout les sens… dommage…

C'est loupé et c'est dommage. Enthousiasmé par le premier opus je me décide à regarder sa suite la semaine suivante. J'aurais pû m'en passer. Non seulement The Descent part II n'apporte rien par rapport au premier épisode mais il creuse les faiblesses de son ainé. D'abord le scénario : crédible dans le premier opus il est ici totalement baclé. Et à tout les niveaux : prologue expédié de façon navrante, comportement des personnages sous terre abracadabrant, et twist ending complètement invraisemblable. Et comme en plus il n'y a plus d'effet de surprise créé par les monstres... D'autant que la réalisation ne m'a pas semblée innover beaucoup. On fait plutôt le choix d'enchainer les clichés. L'intérêt d'une suite est également de nous fournir des réponses et creuser la psychologie des personnages. Rien ici sur l'origine des monstres, leur vie ou une possible hiérarchie, pire, la décision finale de Sarah m'a paru complètement contradictoire avec tout ce qu'elle avait prouvé jusqu'ici. Il y avait aussi mieux à faire spoiler: de ses retrouvailles avec Juno
. Seulement vu le niveau des dialogues difficile d'accrocher le spectateur, alors on aligne les scènes de gore... pas inefficace mais on a perdu l'horrible tension du premier qui nous faisait arracher les accoudoirs. On salut tout de même l'audace de faire survivre spoiler: une minorité (dommage qu'elle soit insupportable) plutôt que l'immuable jeune et jolie blonde
. Bref Mr Harris quand on rien à dire on s'abstient.

Je n'ai pas vu le premier "The Descent", donc, il est indéniablement logique que je commence par la seconde partie du film de Neil Marshall. Déjà, il faut savoir que Marshall n'est que producteur exécutif ici, et que le scénario est signé James Watkins (le réalisateur du sympathique "La Dame en Noir" avec Daniel Radcliffe) tandis que la réalisation est confiée à Jon Harris. Jusque là, scénaristiquement parlant, le fait que Watkins soit à l'écriture pouvait laisser présager du bon pour cette seconde descente.
Et ben non. "The Descent Part 2" est une bouse et une bien belle (et bien plus grosse que celle que lâche un monstre à un moment du film). J'ai la mauvaise impression que cette Partie 2 ne se contente que de surfer sur le succès du premier histoire de grappiller de l'argent auprès du spectateur avide de sensations fortes. Pour ainsi dire, les sensations fortes sont présentes, mais uniquement au niveau de l'emm*rdement que le film de Harris procure. Les premières minutes sont insoutenables tant l'ennui est omniprésent. Heureusement que lors de la ballade souterraine, la réalisation passe de la vulgaire série B américaine, à la série Z sans imagination. Car c'est vulgaire, grotesque à un point que le film devient comique. Incroyable que Watkins ait pu pondre un scénario pareil, avec des dialogues formidablement bien rédigés, digne d'un scénario amateur que des gosses de 10 ans auraient fait pour s'amuser. Car "The Descent 2" est un véritable attrape cou*llon sans grandes idées. Aucun rebondissements, la tournure des événements est prévisible à des dizaines de kilomètres et la direction des acteurs est pitoyable (quoi que renforçant l'aspect comique du long-métrage). Ces derniers surjouent, hurlent dans tous les sens, etc... Un véritable travail de professionnels tout droit sortis de la Comédie Française ou de l'Actors Studio... Ok, ok, j'arrête les boutades aussi imaginatives que le scénario du film, mais voilà. "The Descent 2" se revendique comme une suite réussie du premier opus, or il n'en est rien tant le film de Jon Harris est médiocre. Me reste plus qu'à voir comment se porte le film original... En espérant que Marshall ne s'est pas égaré dans le domaine de la comédie loufoque...

Deuxième volet du film d'horreur "The Descent", ce film est dans la lignée du premier, tout aussi bien, et nous offre encore bon nombre de rebondissements et de surprises.

Minable , tout simplement. Rien n'est à sauver. Ni l'histoire, ni la mise en scène, ni les acteurs.. Les dialogues sont d'un ridicule rarement égalé et le comportement des personnages n'est carrément pas crédible. Soit, à la limite, on pourrait s'en passer et se délecter de l'horreur pure. OUi mais voila. Point de flippe au programme. Avant chaque scène censée foutre les jetons, le réal s'obstine a fixer l'endroit d'où le Crawler (ou autre) va surgir et forcément, ça fait pas peur. Les transitions d'un plan à un autres sont toutes plus pathétiques les unes que les autres, au secours. Le summum du ridicule est atteint lorsqu'un des kéké demande à sa copine de 'ne pas bouger' alors que celle ci est prise au piège dans 3m² de gros cailloux.. Parlons même pas des scènes gores, manquant cruellement de sadisme et de technique. Elles sont ultras répétitives et n'apportent rien au film. Rabattez vous sur le 1, bien plus flippant, bien plus excitant. Car oui, dans le 1, pas besoin de faire hurler à outrance un Crawler plus grand et costaud que les autres pour nous foutre les boules, pas besoin de plonger les héroïnes dans une marre de merde pour éprouver du dégout envers cette grotte.

Nouveau rendez-vous avec l'horreur pour cette suite très infèrieure au premier èpisode! L'effet de surprise a totalement disparu et on se focalise plus sur tous les dèfauts qui agacent! Le ridicule (l'improbable retour de Juno se rèvèle être une très mauvaise idèe) a pris une part trop importante dans ces grottes obscures et le jeu des acteurs est parfois grotesque (mention spèciale au shèrif du coin qui collectionne les catastrophes). Certes, la peur, entre angoisse du noir et crainte du sursaut, est prèsente avec quelques scènes gores particulièrement abondantes mais nous sommes ici en terrain balisè! Mieux vaut s'arrêter au premier...

Une suite pratiquement aussi réussie que l'original.Et quand on sait que "The Descent" a bien renouvelé le cinéma d'horreur moderne,il n'y a plus qu'à profiter du spectacle.Ce cadre génial des grottes souterraines provoque toujours la claustrophobie,alors qu'à chaque moment,on nous rappelle la moiteur,la crasse,l'obscurité de l'endroit.La menace,elle,est constituée des crawlers,bestioles livides,à la vivacité terrifiante,aux traits consanguins,et à l'ouïe très affutée en raison de leur aveuglement.Pas facile de choisir de les montrer pleinement ou par fulgurances.L'équilibre est trouvé par le réalisateur,qui organise ensuite son survival sans fausses notes,et dont la dernière demi-heure surprend,tout en retournant les tripes.L'esprit "girl power" persiste,symbolisé par la frêle Sarah,spéléologue taiseuse mais impressionnante quand la loi de la survie entre en jeu.Le retour de June,splendide asiatique athlétique,est également à saluer,et donne une consistance dramatique à l'ensemble.Le sang continue de couler à flots,la palme revenant à un piolet sectionnant un bras.Partant pour une poursuite de la série,encore plus oppressante et révélant les origines des crawlers.

The Descent Part 2 possède les mêmes qualités du premier film. La réalisation malgré tout de même un certain manque de créativité, reste diablement efficace, l'ambiance reste toujours aussi bien rendue, la sensation de la claustrophobie est toujours aussi bien faite. Le gore est lui aussi immanquablement présent. Cependant, la surprise et l'originalité du métrage n'est plus la et c'est ce qui fait que la cinquieme étoiles est perdue...

ouai ,pas mal ça nous fait bien surcoter par fois ,bon il est vraiment moins bien que le premier mais ca c'est normal ,il ne peut pas le rattraper .Peut être que dans celui la tu as plus de contacte avec l'humanité et moins avec la nature .

Quatre ans après le succès fulgurant de The Descent, les producteurs avides de billets verts ont décidé.de faire une séquelle logique commençant là où le premier finissait. D'emblée, vous vous posez une immense question : à la vue du final du premier opus, comment allaient-ils faire une suite ? La réponse est simple : The Descent 2 n'est pas la suite du film que vous avez vu en salles, du moins pas de celui proposé en Europe mais bel et bien de celui diffusé aux États-Unis, où notre héroïne survivante sortaient de la grotte et se voyait confrontée le temps d'un dernier jump scare à sa rivale Juno. C'est donc ici que commence cette séquelle désormais réalisée par Jon Harris, monteur du premier film dont c'est le premier passage derrière la caméra... Suite de commande aberrante depuis sa mise en chantier, The Descent 2 va s'embourber dans le gros n'importe quoi dès le début du film pour nous jamais s'arrêter. Ainsi, nous découvrons notre chère Sarah, retrouvée par les autorités et sensément amnésique, qui se voit ré-embarquer dans la grotte sanglante sans rechigner avec à côtés la crème des sidekicks improbables, à savoir un vieux shérif suspicieux, son adjoint bête comme ses pieds et trois spéléologues confirmés. Exit la logique : on est là pour des frissons ! Le thème du survival sauvage imaginé par Neil Marshall passe à la trappe, au même titre que l'équipée entièrement féminine ; ce nouvel épisode joue la carte de la débilité pseudo-sérieuse où nos intrépides héros vont au fur et à mesure s'aventurer dans la mouise tête baissée avec une bêtise déconcertante. De plus, outre les rebondissements abracadabrantesques qui défilent durant ces éprouvantes 90 minutes, nous faisons face à la mise en scène ratée de Harris qui délaisse l'obscurité naturelle proposée par Marshall pour éclairer le décor. La grotte devient donc constamment éclairée par on ne sait quelles lumières, enlevant toute la tension du premier film et ajoutant un peu plus de grotesques à certaine situations (comme ce spéléologue qui a besoin d'utiliser une caméra infra-rouge pour voir ce qui est visible à deux pas). Ainsi, The Descent 2 accumule les clichés, défauts et autres absurdités scénaristiques époustouflantes pour cette suite opportuniste qui n'aurait d'ailleurs en toute logique jamais du voir le jour.