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Un visiteur
5,0
Publiée le 22 octobre 2012
Un film qui sort du lot !! tout juste énorme, une vrai leçon de cinema, les scènes de combat sont à couper le souffle, trés réaliste, sa change des prods américaine, il n'y a que le cinema asiatique pour nous offrir ce genre de film percutant !
Au vu des critiques j'me suis dit que ce serait exceptionnel ! Et après avoir vu le film je n'arrive pas à savoir si j'ai aimé ou pas !!!!! Le jeu des acteurs est énorme, la réalisation fait plus américaine que coréene, et l'histoire se vaut malgré quelques invraisemblances. Par contre l'interdiction -16 ans est bien justifiée, le film étant parfois proche d'un Hostel !!! Au final, il faut voir le film comme une oeuvre sur ce que peut devenir un homme poussé à bout, et le final est énorme ( tant l'histoire que la morale). Un bon film, à découvrir, mais pour un public averti.
Enfin le grand film sud-coréen tant attendu. Après les excellents «Memories Of Murder » et « Lady Vengeance », voici le brutal « I Saw The Devil » qui déboule avec fracas! Armé d’un scénario hors norme et multi directionnel, Ji-woon KIM réalise un film monstrueux qui joue avec intelligence et férocité de son ambiguïté trouble, troublante et machiavélique. Mieux qu’un film ultraviolent, une plongée monumentale dans la noirceur de l’âme humaine. Ou quand le Mal se conjugue parfois avec le Bien. 16 ans après le « Seven » de David FINCHER, KIM inscrit à son tour un repère rouge sang dans l’histoire du thriller. Et ça fait un bien fou!
Encore un film de vengeance coréen. Park Chan Wook est passé par là, tout le monde le sait, spectateur comme réalisateur. Alors pourquoi J'ai rencontré le diable est-il un bon film ?
Le principe est assez éculé et la morale cousue de fil blanc. Seulement, Kim Jee Woon est suffisamment talentueux pour apporter du sang neuf (si j'ose dire) au genre. La vengeance est ici une maladie, un cancer qui se répand et s'infiltre partout. Les meurtres et mutilations diverses qui parsèment le film sont filmés avec soin, car c'est dans les actes et non dans les mots que se découvrent les personnages. Le but n'étant pas, comme certains l'ont dit, d'écoeurer gratuitement "à la Saw", mais simplement de raconter une histoire violente. Le spectateur ne prend guère part aux bains de sang, mais se contemple plutôt dans un miroir. Ainsi le film nous questionne sur notre propre inhumanité, notre monstruosité, de manière brutale. Nauséabond ? Non. Malsain ? Peut-être. Dérangeant ? Assurément, car, au final, le diable, c'est nous.
J'ai regardé ce film en me disant qu'un film aussi bien noté par la presse et les téléspectateurs ne pouvait qu'être bien, eh ben je me suis trompé :
-Crédibilité du scénario 0/10, un meurtre, la police connait les suspects... mais seul le héro arrive à retrouver le chemin du tueur wouhaa... héro qui fait ensuite 'nimporte quoi, laisse le tueur en liberté alors qu'il peut le descendre et le tueur qui s'en donne à coeur joie pour assassiner un tas de personnesspoiler: tout ça avec une main brisée et un talon d'achille coupé, trop fort ce tueur...
spoiler: -Le truc de la sonde gps micro qui capte au milieu des intestins... pitié, c comme de penser que les satellites peuvent voir à travers les nuages...
-Les victimes qui sont tjrs pas mortes après 10 coups de marteau sur le crane et du sang qui gicle partout, pour qu'elle puissent se réveiller et subir les sévices du tueur... wouhaaa
Bref ce film est pourri... un bon gros gros gros NAVET.
Malgré un début prometteur le film s'embourbe dans les marécages boueux d'un scénario trop bancal pour être crédible. L'interprétation parfaite et la photographie léchée ne suffisent pas à combler le vide de cette histoire de vengeance. Le film est bien trop long pour le peu qu'il nous raconte. La comparaison avec le chef-oeuvre "Old boy" de Park Chan-wook n'a pas lieu être, ce n'est pas parce que ce long-métrage est coréen et qu'il traite du thème de la vengeance qu'il faut y voir une filiation. Finalement très premier degré et bien peu subtil. J'avais beaucoup apprécié "A Bittersweet Life" du même réalisateur ( Kim Jee-Woon) mais là l'ennuie l'emporter. Nonobstant donc l'interprétation et une réalisation classieuse "J'ai rencontré le Diable" est somme toute une thriller passable sans plus.
J'étais impatient de voir 'le petit frère d'Old Boy", j'ai globalement été déçu. Pas grand chose à voir avec le chef d'oeuvre de Park Chan Wook, sinon le thème de la vengeance, utilisé de manière un peu pataude ici. Quand la technique cinématographique de Old Boy, enveloppée d'une poésie formidable et d'une BO à couper le souffle, permet un recul sur la violence des images, Kim Jee Woon nous innonde de scènes de tortures. Au bout de 2h15 de film, la violence est donc banalisée et ne provoque plus en nous qu'un effet comique ou d'écoeurement. Dommage, car le film avait de quoi séduire: très rythmé, un jeu d'acteur efficace (acteur principal de old boy réutilisé) avec la pudeur du héros propre au cinéma asiatique et qui peut (un peu) nous faire penser au Ryan Gosling de Drive. Autre petit bemol, les personnages "méchants" manquent de nuance, incarnant le mal absolu: était-il vraiment besoin qu'ils aillent jusqu'à bouffer les victimes pour justifier l'amas d'horreurs qu'on leur fait subir? Pas sûr. En revanche le perso de Lee Byung Hun est plus en finesse, complexe, si bien qu'on en finit par se demander à qui fait référence le titre et ce diable dont on parle. Peut etre aux deux personnages? Un film à conseiller aux amateurs du genre qui aiment la vue du sang, mais pas une grande oeuvre en ce qui me concerne.
On en sort pas indemne, on passe par tous les états (du rire a la terreur la plus absolue). C'est impressionnant de maîtrise tout du long. C'est quasiment parfait. Il y'a un avant et un après "j'ai rencontré le diable".
Avec "I saw the Devil",Kim Jee-Woon pond encore un excellente film sur le thème de la vengeance. Le réalisateur coréen sait tenir le spectateur en haleine en alternant scènes émouvantes et d'autres beaucoup plus violentes (âmes sensibles s'abstenir!!!) pour un rendu noir et sinistre comme les coréens savent bien le faire.
Une vendetta gore à la "bip-bip contre le coyote" très bien interprétée mais dont les 3 derniers quarts d'heure sont superflus car source d'invraisemblance.