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    Les Yeux sans visage
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    119 critiques spectateurs

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    RED JOHN
    RED JOHN

    13 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 avril 2024
    En voyant les pathétiques réalisations de l'actuel cinéma hexagonal, on a du mal à imaginer qu'il ait pu jadis produire de grandes oeuvres audacieuses et novatrices. C'est pourtant bien le cas, et "Les yeux sans visage" en sont l'un des cinq ou six exemples les plus emblématiques. Sorti en 1960, ce film d'horreur de Georges Franju fait date dans l'Histoire 7ème Art. La fameuse scène gore de l'opération chirurgicale était alors d'une audace inouïe et relevait du jamais-vu. Mais Franju ne s'est pas contenté de porter l'épouvante à un degré encore jamais atteint et a su créer une esthétique particulière, tenant à la fois du cauchemar et du conte de fées : la scène finale, aussi poétique qu'inattendue, est d'une beauté inoubliable. Aujourd'hui reconnu comme une réussite majeure, ce classique a d'abord reçu un accueil mitigé, parfois même hostile, de la presse française et anglo-saxonne (la profonde cécité intellectuelle de ceux qui prétendent éclairer l'opinion est toujours sidérante). Par la suite, il a inspiré bon nombre de réalisateurs européens (italiens, espagnols...) et nord-américains. Plus encore que l'audace de la scène gore, c'est son mélange d'horreur et de poésie, d'outrance et de raffinement qui lui confère son cachet unique. En cela, il préfigure également le cinéma fantastique/d'horreur asiatique contemporain.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    13 abonnés 1 363 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 février 2024
    Pour réparer le visage de sa fille défigurée dans un accident de voiture, l'éminent professeur Genessier (Pierre Brasseur), as de la chirurgie, kidnappe des jeunes filles qu'il n'hésite pas à mutiler et à dépecer.
    J'aurais voulu aimer ce petit film de genre, sombre et macabre. Mais le sujet de Franju, adapté d'un roman avec le concours de Boileau-Narcejac, se délite dans un style qui ne provoque guère que l'indifférence. Certes, l'atmosphère du film et certains aspects de l'intrigue expriment clairement le marasme et la morbidité. Les actes de genessier, dont les mobiles semblent tout autant le bonheur de sa fille que, plus coupablement, l'expérience médicale, en sont évidemment les raisons. Mais, tout en ne prétendant pas à une épouvante formelle ni à une quelconque surenchère dramatique, Franju ne parvient pas à imposer un sentiment d'angoisse qui serait notamment fondé sur le mystère ou le suspens. L'aspect policier qui s'amorce dans la seconde partie du film est, quant à lui, négligeable.
    Les personnages du film sont de surcroît rudimentaires. Pierre Brasseur incarne sobrement un type dont la dualité (père attentionné, apprenti sorcier) n'augmente pas l'intérêt. Les autres comédiens sont soit insuffisants, soit compassés.
    Climax
    Climax

    4 abonnés 164 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 février 2024
    Un film d'horreur français qui impressionne par sa mise en scène efficace, par le méchant glacial interprété par Pierre Brasseur, par l'utilisation de la musique et par la fille du médecin faisant penser à un fantôme, errant dans la maison des horreurs.
    Fgiraut
    Fgiraut

    6 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 avril 2023
    Entre conte Fantastique et Polar sordide: irruption de l'insolite.
    Réalisme poétique et questions formelles plus qu'éthiques.
    stans007
    stans007

    17 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 avril 2023
    Film d’horreur au scénario aussi sordide qu’invraisemblable, d’après un roman de Jean Redon. Un chirurgien-plasticien fou, son assistante asservie, sa fille défigurée et des flics incapables posent les bases du scénario. Techniquement le film tient la route avec l’insoutenable scène de l’opération plasticienne, la présence volumineuse de Pierre Brasseur, horrifiant de cynisme, ainsi que celle, touchante, de son fils… Le cinéma est une grande famille, c’est connu !
    Saintenoy Samuel
    Saintenoy Samuel

    2 abonnés 207 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 mars 2023
    Pilier du cinéma d'épouvante et d'horreur assez unique en France surtout en 1960, "Les Yeux sans visage" est un drame très réussi par son ambiance unique d'épouvante et de poésie qui aura inspiré un certain John Carpenter pour son "Halloween". Le rythme est lent mais participe grandement à y instauré une ambiance glauque, inquiétante, mystérieuse. Il y a une très belle utilisation du noir et blanc, du silence, du hors champ, des plans fixes. Pierre Brasseur est excellent dans le rôle de ce docteur impassible, froid et calculateur. La scène de la "chirurgie" est vraiment bien fichue pour l'époque. Un film à découvrir !
    Napoléon
    Napoléon

    114 abonnés 1 536 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 septembre 2022
    Un film sans intérêt ultra vieillissant qui n'a pas tenu les années. Le scénario, même si dérangeant s'avère linéaire et sans surprise. L'interprétation est plate avec des personnages vides et une mise en scène quelconque. Une oeuvre lambda qui ne prend jamais le spectateur.
    Adrien B.
    Adrien B.

    14 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 septembre 2022
    Un professeur fou et prêt à tout pour sauver sa fille. Un bon film avec quelques scènes terrifiantes spoiler: comme la scène de la "découpe" ou lorsque l'on voit le "visage"de la fille
    qui a dû influencer beaucoup de films d horreurs par la suite. Mais je trouve que le film manque parfois de dynamisme et souffre d'un certain amateurisme dans la mise en scène. Une super fin noire et poetique.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 893 abonnés 12 151 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 septembre 2022
    Quand on (re)voit les "Les yeux sans visage" (1959), on comprend mieux les raisons de son accueil critique qui ne s'est jamais dèmenti par la suite : partagè entre le fantastique et la poèsie de l'effroi, Georges Franju a su èquilibrer son film et semble, le plus souvent animè par un souffle crèateur! Sans pour autant nègliger le côtè horreur, le cinèaste a concentrè son oeuvre tout entière sur son hèroïne! Edith Scob, dont c'est le premier grand rôle au cinèma, parvient par son seul regard à nous donner le frisson, de par sa dètresse et son èpouvantable beautè! Plus de soixante ans après sa sortie, "Les yeux sans visage", tirè du roman de Redon, continue à fasciner, la musique de Maurice Jarre crèant un climat d'angoisse particulièrement adèquat! En rèsulte un film clè du cinèma français avec une fin sublime, et le souvenir à jamais du visage d'Edith Scob qui cache son visage horriblement mutilè derrière un masque blanc...
    Yves G.
    Yves G.

    1 272 abonnés 3 280 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 août 2022
    Un éminent chirurgien spécialiste des greffes de peau, le professeur Génessier (Pierre Brasseur) a décidé de donner à sa fille (Edith Scob), défigurée après un grave accident de voiture, un nouveau visage. Dans le laboratoire secret de sa clinique, installée en banlieue parisienne, il mène des expérimentations sur des chiens. Son assistante dévouée (Alida Valli) l’aide à kidnapper des jeunes femmes pour leur ôter leur visage et le greffer sur celui de sa fille, condamnée pour l’heure à vivre recluse dans la propriété et à se cacher derrière un masque. Mais les greffes échouent les unes après les autres.

    "Les Yeux sans visage" fait partie de ces films culte cités dans toutes les anthologies, présents dans tous les classements. La raison souvent avancée n’est pas très convaincante : Les Yeux sans visage serait le plus grand film d’épouvante français, un genre qui prospéra en Italie ou aux Etats-Unis mais ne connut pas une grande postérité en France.

    Je n’avais jamais vu "Les Yeux sans visage" et ai profité de sa rediffusion dans une petite salle du Quartier latin. La salle – ainsi que l’Officiel des spectacles – affichait une interdiction aux moins de seize ans désormais désuète : la Commission de classification, ressaisie en 1998, l’a à raison reclassé tous publics avec avertissement. Consciencieusement, la caissière demande à un jeune spectateur son âge. « Quatorze ans » répond-il. La caissière tique ; mais le projectionniste la coupe : « Laisse le passer ; ça craint rien ». Je n’ai pas osé intervenir et étaler ma science.

    J’avoue avoir été très déçu. Le thème du savant fou, même s’il est magistralement interprété par le toujours magistral Pierre Brassseur, n’est pas très original. Quant à sa clinique filmée dans un noir et blanc anxiogène et magnifiée par la musique de Maurice Jarre, elle n’est pas si angoissante que cela.
    Bien embêté, je me demandais comment tourner ma critique, n’osant pas avoir l’irrévérence de ne pas encenser ce film-culte unanimement encensé. La lecture du Dictionnaire du cinéma de Jacques Lourcelles m’a désinhibé. Il y exécute Les Yeux sans visage en deux expressions : « poésie de bazar », « horreur de pacotille ».
    Shawn777
    Shawn777

    456 abonnés 3 312 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 août 2022
    Ce film, réalisé par Georges Franju et sorti en 1960, n'est pas mal du tout mais surtout constitue une des rares réussites concernant le cinéma français en matière de film de genre, et plus particulièrement d'épouvante, même si c'est un constat à remettre en question après le bilan de ces dernières années. Bref, le film adapte ici le roman homonyme de Jean Redon, que je n'ai pas lu et que je ne pourrai donc pas comparer au film, mais raconte en tout cas l'histoire d'un médecin qui tente désespéramment de reconstituer le visage de sa fille en découpant les visages d'autres jeunes femmes du mêmes âge. C'est donc une intrigue très sombre mais ce côté sombre, on le retrouve également dans l'ambiance, qui est très bien travaillée ! Pour être honnête, je ne pensais pas, d'ailleurs, être aussi réceptif à un film des années 60, m'étant dit que ça allait être daté et que ça n'allait plus avoir l'effet escompté (tout en n'enlevant rien à la qualité générale du film pour autant). Et j'ai alors été surpris de constater que j'ai détourné les yeux plusieurs fois, notamment avec des scènes, qui ne sont pas véritablement choquantes, mais qui surprennent. Nous pouvons par exemple citer toutes les scènes montrant le docteur exécuter ses opérations macabres, qui sont très crues et très longues puisqu'il n'y a presque aucune coupe (sans mauvais jeu de mots) ! L'intrigue a malgré tout quelques petits temps morts, notamment vers sa fin qui traine un peu en longueur. Malgré tout, on ne cessera d'être fasciné par cette histoire sordide et surtout par le jeu de Pierre Brasseur qui donne froid dans le dos, mais également par celui de Édith Scob qui en est presque hypnotisant. "Les Yeux sans visage" est donc une réussite dans le sens où il réussit à mettre plus d'une fois son spectateur mal à l'aise, même encore aujourd'hui, ce qui est un petit exploit !
    JoeyTai
    JoeyTai

    17 abonnés 426 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juin 2022
    Un film marquant mais pas culte, en tous cas pas pour moi. Je vais d'ailleurs commencer par les défauts. Le rythme est lent, avec des plans inutiles ou sans intérêt (les longues allées et venues en voiture, par exemple). Certains dialogues sonnent faux. Je n'ai pas été convaincu par le jeu d’Édith Scob, surtout au début. J'en viens aux qualités : scénario solide, scènes marquantes (découpage du visage, etc), bonne prestation de Pierre Brasseur... C'est un film très sombre, où les objectifs les plus nobles autorisent tous les crimes. Le docteur Génessier le reconnaît lui-même. Son insistance irrationnelle, véritable moteur du film, met en danger la santé mentale de sa fille, après avoir détruit sa santé physique, et trouve ainsi sa limite.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 346 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 mars 2021
    C'est l'un des premiers film français qui a établi une référence dans la réalisation de films d'horreur avec sa représentation d'actes chirurgicaux horribles. Ce film a pour seul but de vous choquer en vous révélant des choses jamais vues auparavant en 1959. La version de Georges Franju d'un scientifique fou qui essaie de jouer à Dieu raconte l'histoire d'un médecin brillant et obsessionnel qui tente de restaurer le visage de sa propre fille bien-aimée qui a été horriblement défigurée dans un accident de voiture causé par sa conduite imprudente. Les Yeux sans visage est un film très impressionnant et très classe qui a inspiré de nombreux films d'horreur ultérieurs. La musique de Maurice Jarre ajoute à l'atmosphère inquiétante et effrayante car on a l'impression d'être dans un carrousel sinistre d'où l'on ne peut pas sortir...
    Charlotte28
    Charlotte28

    90 abonnés 1 717 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 décembre 2020
    L'ambiance glaciale qui émane de cet ancêtre du giallo lui confère sa plus grande force, nous fascinant par son atmosphère, son élégant noir et blanc, son travail judicieux sur la mise en scène, mais aussi sa faiblesse, instaurant une certaine distance avec le sort des personnages, lassant presque à quelques moments dispensables. Pierre Brasseur emplit l'écran de sa présence inquiétante, presque fantasmagorique, tandis que les protagonistes de l'enquête se voient (trop?) délaissés. Au-delà de la fameuse scène d'opération, le ressenti global permet à ce récit d'angoisse de nous marquer comme le ferait un cauchemar tout en interrogeant les dérives de la science et les ressorts de la culpabilité. Une réussite singulière.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 004 abonnés 4 087 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 novembre 2020
    Georges Franju était un cinéaste rare et iconoclaste du cinéma français des années 1950 et 1960. Selon les témoignages de ceux qui ont travaillé avec lui, l’homme était sans doute un peu perdu au sein de ses semblables et ne trouvait le carburant à son accomplissement que dans l’univers cinématographique. Après avoir fondé la Cinémathèque Française avec Henri Langlois en 1934, il s’oriente vers le court-métrage documentaire qui lui permet de porter au grand jour des sujets méconnus car souvent tabous comme dans « Le sang des bêtes » (1949), immersion sans ménagement dans les abattoirs de La Villette ou encore dans « Hôtel des Invalides » (1951), visite du Musée de la Guerre prenant la forme d’un réquisitoire lu par Michel Simon. Après quinze réalisations jamais anodines, il décide de se lancer dans le long métrage de fiction. « La tête contre les murs » (1958) adapté du roman d’Hervé Bazin dresse de manière clinique le portrait de l’univers psychiatrique français de l’Après-guerre. Le film salué par la critique remporte le Grand Prix de l’Académie du Cinéma en 1960. Deux ans plus tard, il est contacté par le producteur Jules Borkon qui souhaite adapter à l’écran « Les yeux sans visage », roman de Jean Redon. Pierre Boileau, Thomas Narcejac et Claude Sautet se chargent de l’écriture du scénario qui va transporter le réalisateur dans une ambiance fantastique, certes nouvelle pour lui mais qui convient parfaitement à cet amoureux du cinéma feuilletonesque de Louis Feuillade. Pierre Brasseur collabore de nouveau avec Georges Franju tout comme Edith Scob qui avait fait une courte apparition dans « La tête contre les murs ». Le docteur Génessier (Pierre Brasseur), célèbre chirurgien spécialisé dans les greffes de peau va expérimenter sur sa fille (Edith Scob) gravement brûlée au visage, une nouvelle technique dite de «l’hétérogreffe » pour laquelle il va devoir se livrer avec le concours de son assistante (Alida Valli) au sacrifice de jeunes étudiantes recrutées à la sortie d’une célèbre faculté parisienne. Le thème n’a rien de très nouveau déjà utilisé au cinéma dans « Le récupérateur de cadavres » de Robert Wise en 1945, lui-même inspiré d’une nouvelle de Robert Louis Stevenson prenant source dans un fait divers sordide s’étant déroulé entre 1827 et 1828 à Edimbourg (l’affaire Burke et Hare). C’est le traitement qu’en propose Georges Franju qui fera tout le charme diffus des « Yeux sans visage ». spoiler: La culpabilité du père tout d’abord, responsable de l’accident ayant défiguré sa fille. Ensuite, le masque inoubliable dont est affublé la jeune Christiane qui tout au long du film exhale l’ambiguïté de sa situation, naviguant entre le refus des pratiques criminelles de son père et l’envie de retrouver son visage angélique. La dévotion de l’assistante elle-même autrefois sauvée par la dextérité du docteur ajoute encore à la complexité d’une situation inextricable
    . Là où les films traditionnels du genre cités plus haut mettaient en scène des scientifiques dénués de tout sens moral car uniquement mus par la recherche de la gloire, « Les yeux sans visage » suinte d’une culpabilité que Georges Franju traduit admirablement via la direction subtile des acteurs de ce trio infernal et l’ambiance cotonneuse aux accents poétiques qui nimbe sa pellicule. Pour parvenir à ses fins, il utilise avec une maîtrise étonnante les talents de compositeur de Maurice Jarre et la photographie noir et blanc d’Eugen Schüfftan. Ce qui se déroule sous nos yeux est épouvantable mais Franju parvient à rendre les motivations des personnages émouvantes à cause de la douleur qui les étreint. Le spectateur est transporté alternativement entre rêve et cauchemar éveillés comme si les personnages étaient déjà morts. Le trajet hypnotique conduisant aux confins de la conscience humaine qui est dessiné par Franju s’apparente à une expérience unique et troublante pour le spectateur comme le furent autrefois « Nosferatu le vampire » (1921) de Murnau ou « Vampyr » (1932) de Dreyer. Autant dire que Georges Franju dont la filmographie sera très ramassée est en compagnie de Jean Cocteau (« La belle et la bête » en 1946) le réalisateur de l’un des deux plus grands chefs d’œuvre du cinéma fantastique français.
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