Derniers Avis sur Juillet Août

Film ennuyeux, totalement dépourvu d'humour et sans aucune émotion. Les personnages sont antipathiques : tout le monde fait la gueule, les adultes sont déprimants et les ados sont insupportables; On ne comprend pas bien le message du film. Qu'a voulu montrer le réalisateur ? Je me le demande encore ! Ce que je sais c'est que j'ai perdu ma soirée !

Vous aimez les clichés et "plus belle la vie", vous aimez les mauvais romans qui comptent des histoires incroyables à des lecteurs crédules, vous aimez la musique forte et les dialogues creux? Foncez!

De Diastème, j'avais vu « Un français », portrait réussi d'un skinhead prenant peu un peu le chemin de la rédemption. J'ai été moins séduit par « Juillet Août », même si, avec le recul, je lui trouve quelques belles qualités. Peut-être est-ce cette histoire de bijoux volés m'ayant paru s'intégrer maladroitement au récit, ou le côté un peu trop banal du reste des vacances, ou simplement que le réalisateur ne soit pas forcément un créateur d'images hors-pair. Mais maintenant que j'y repense, tous ces aspects ne me dérangent plus tant que ça, presque au contraire. Ils illustrent plutôt bien cette chronique douce-amère dans laquelle il n'est pas toujours évident de se retrouver, mais à laquelle on croit. Certaines sous-intrigues ont beau prêter à discussion, elles ne s'intègrent pas si mal au récit. Il y a une modestie, une certaine fraîcheur qui émanent du quotidien de ces deux jeunes femmes, que l'on suit donc, comme l'indique le titre, durant leurs deux mois de congés, le scénario ayant l'intelligente idée de les partager à temps égal entre père et mère divorcés. Si j'aurais sans doute souhaité être plus ému, j'ai été touché par les aspirations de chacun(e), car modeste, cette volonté de mettre l'humain au cœur de l'intrigue étant comme souvent salutaire. Sans oublier la présence toujours sensible de la belle Pascale Arbillot, joliment secondée par Thierry Godard, entourant un duo Luna Lou - Alma Jodorowsky plutôt séduisant. Bref, sans payer de mines ni susciter l'enthousiasme, une chronique ensoleillée douce-amère se bonifiant avec les jours ayant suivi son visionnage : un lourd échec commercial immérité.

Juillet Aout n'est pas un mauvais film en soi mais il est beaucoup trop lisse et surfait pour soulever les passions. Voir deux ados en vacances (une qui flirte avec un petit voyou et l'autre en pleine crise de rébellion) n'est pas inintéressant sur le papier mais le scénario est peu creusé et bien trop léger pour passionner et c'est dommage. Malgré deux ou trois scènes qui attirent l'attention, on s'ennuie à mourir et l'histoire de vol de bijoux est en trop et pourrit le film qui devient même pénible à la fin. Un mini raté !

Long au démarrage, Juillet-août se révèle être un film estival qui se laisse regarder sans faim, comme un bon petit repas frais d'été sans prétention. L'intrigue et le dénouement me laissent néanmoins perplexe. En définitive, un film feel good !

Ok c'est pas le film de l'année mais il se laisse regarder. Les deux ados trimballée à droite à gauche sans communication réelle des parents. Qui du coup grandissent trop vite et fréquente mal. Finalement c'est aussi un reflet de notre société

Changement radical de registre pour le réalisateur Diastème, après « Un français » drame politique sur l’extrême-droite française, il s’attaque ici à un thème plus léger : la comédie dramatique adolescente. Dans un motif proche de « Diabolo menthe » de Diane Kurys, il narre les mésaventures de deux sœurs et de leurs parents divorcés pendant la période estivale. Bon, on est plus en 1977, de ce fait si beaucoup de sujets sont semblables (amours adolescentes, recherche de l’attention des parents, premières fois…), les péripéties sont plus adultes avec la présence de gangsters, de grossesses, de drogues… Bref une réactualisation plus XXIème siècle. Mais, ce film, sans réussir cette œuvre mélancolique sur les vacances avec les parents qu’était le film de Kurys, nous replonge dans ces étés pleins de possibilités en compagnie d’une jeune adulte pleine de mansuétude pour ses parents et d’une ado au sommet, gamine insupportable et pourtant parfois très perspicace. Le film est comme son titre l’indique en deux parties et en deux lieux (juillet dans le sud de la France et août en Bretagne). Sans transcender par son originalité, le film offre un joli petit drame sur l’adolescente qui tient bien tout du long avec, il faut le souligner, une Luna Lou qui portraiture avec beaucoup d’énergie cette gamine de 14 ans pas mal tête à claques. Un joli drame distrayant.

On aurait aimé aimé ce film mais le scénario très décousu, la mise en scène faible et la scission entre les deux moments (nord sud) donne au film un tout chaotique. Les acteurs se débattent pour être crédible ce qui n'est pas le cas de tous.
Dommage, ce film estival aurait pu être mieux si le scénario avait été plus écrit.

un film mignon, sans grande prétention (pour ne pas dire sans grand intérêt), mais sympathique et même plutôt drôle. Cela fonctionne

Pas nul mais très mauvais, c'est léger trop léger et c'est du vu et du revu: des familles recomposées, des ados en crise et en pleine puberté; des amourettes plus ou moins heureuses et une histoire rocambolesque à laquelle on ne croit pas et qui se termine d'une façon assez ridicule car personne ne ferait ça dans ce cas là! Les acteurs ne sont pas mauvais mais l'histoire elle, l'est! Jugez par vous même si vous avez du temps à perdre ou si vous ne voulez pas trop vous creuser les méninges; une personne comparait ce film à "plus belle la vie" et bien c'est un peu ça mais en pire!

Beau film tout en délicatesse où le silence remplace aisément les dialogues qui pourraient être trop telephonés.
On suit avec plaisir les protagonistes de ce film qui déroule sa philosophie tout le long de scènes bien filmées et bien conçues.
Juste un bémol au sujet de la partie du film où la jeune fille se prend les pieds dans une relation avec un jeune homme délinquant.
Ce n'était pas indispensable.
domi...

Diastème signe là un film intelligemment pensé, montrant les vacances d'été de deux sœurs chez leurs parents respectifs, étalées sur deux mois bien distincts. On peut mesurer le contraste entre les deux vies des parents, mais aussi les rapports entre les uns et les autres. Le film brasse pas mal de thèmes autour de la famille et des rapports familiaux. On n'y apprend certes pas grand chose, mais on finit quand même par trouver l'ensemble agréable à suivre. Surtout quand l'aîné fait les quatre cents coups et se retrouve un peu dans le pétrin, ce qui donne lieu à des situations intéressantes. Pour le reste, les acteurs sont plutôt convaincants, et la réalisation sobre.

Ce film c'est l'histoire de deux filles une de 18 ans et l'autre de 14 ans, qui ont des parents séparés. Le film qui se découpe en deux parties, la première se déroule en juillet chez la mère et le beau père des filles, la deuxième se passe en août chez le père des filles. Si vous voulez une idée du film il suffit d'écouter un morceaux de sa BO, pour moi c'est symptomatique du film, c'est des morceaux de variété française qui font bobo, des paroles clichées, et une mélodie à endormir n'importe qui sans aucune magie. Après ça les 2 actrices principales sont attachantes, la plus vieille est une petite garce, et la plus jeune est en pleine crise d'adolescence, c'est mignon. Mais bon c'est ça le problème c'est trop doux, et pas assez marrant. Et en plus quand l'acteur qui joue le beau gosse est là, on tombe dans une romance sans passion. Bref sympathique, mais sans plus.

Une chronique familiale le temps des vacances très gentillette. Cela manque de pulse . Je retiendrai l'interprétation de la jeune actrice luna lou dans le rôle d'une ado rebelle. Sinon j'ai eu également plaisir de voir thierry godard dans un rôle différent que celui d'un flic dans la série engrenage.
Sinon après les vacances j'aurai oublié ce film

J'aurai bien mis 4 étoiles car l'histoire est originale mais les clichés sur la Bretagne sont trop poussés.. Cirés jaunes, bottes en caoutchouc, et la pluie en plein été, merci pour l'image de cette belle région.
Dommage.