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Nicothrash
292 abonnés
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2,0
Publiée le 14 février 2024
Je ne connaissais pas Éric et Quentin et finalement ça m’allait bien … Ce type de formats courts passés sur le long ne fonctionne jamais, tout le monde devrait l’avoir compris à force. Pourtant on en est là avec une nouvelle comédie débile à l’humour très potache. Si l’ensemble ne manque finalement pas d’idées et revêt parfois un léger caractère subversif c’est pour toujours mieux retomber dans la lourdeur et la gêne. Absolument tout y passe ici, racisme, grossophobie, scatophilie, trisomie, etc etc. Je serais de mauvaise fois si je disais que je n’ai pas ri de temps à autre mais Bad Buzz est surtout une grosse soupe indigeste lourdingue qui part dans tous les sens et apparaît pour le moins bâclé. C’est typiquement le genre de bêtise qui peut éventuellement être fun entre potes et sans vraiment regarder mais en aucun cas ça n’a sa place au cinéma.
Je ne comprends pas le déferlement de critiques assassines sur ce film. On est loin du chef-d'œuvre mais ça n'est pas non plus complètement raté. J'ai passé un bon moment à le regarder. C'est de l'humour pour ado attardé mais ça me convient et pourtant je ne sais plus un ado depuis longtemps (mais peut-être un attardé pour toujours).
Je ne comprends pas la trop mauvaise note pour ce film, sans doute que tous ceux qui aiment n'ont pas donné leur avis... Bon certes c'est pas le film de l'année non plus, mais c'est une comédie qui se regarde bien. Bon c'est assez grotesque parfois mais c'est voulu évidemment. Notamment les scènes avec le chat. Bon en tout cas je ne me suis pas ennuyé et j'ai bien aimé. Puis Quentin Margot est quand même très charmant ;)
Bad Buzz est un film réalisé par Stéphane Kazandjian et sorti en 2017. Ce film porte magnifiquement son titre, c'est une catastrophe. Muni d'un scénario aussi épais qu'une feuille de cigarette, ce long métrage déroule une suite de sketchs malaisante, mal rythmée, mal interprétée avec deux acteurs principaux (Eric et Quentin) insupportables tant ils jouent mal. C'est à se demander ce que certains acteurs sont venus faire dans cette galère (Marie-Anne Chazel). Pas une situation ne provoque un début d'amusement, juste une gêne palpable. Heureusement que le film ne dure qu'1h13. Ce film est à oublier pour ceux qui l'ont vu, et à éviter pour ceux qui voudraient s'y aventurer. Un naufrage en règle.
Vu a la télévision récemment... J'ai préféré abandonner au bout de la deuxième coupure publicitaire, et je pense que j'ai bien fait ! Rien n'est drôle dans cette "comédie".
Oh horreur, oh immondice ! Et bien non. Bad Buzz n'est pas un bon film mais j'ai déjà vu bien pire. L'humour n'est certes pas fin mais au moins on rigole.
Très mauvais film, en tant que puriste cinématographique je pense pouvoir affirmer qu'il s'agit d'un "flop". Même la miniature est mal faites, en effet si l'on effectue le théorème de Pythagore on trouve que les deux triangles ne sont pas rectangles, ce qui prouve que l'image est de travers. J'ai passé un très mauvais moment appart le moment où l'acteur principal apparaît vers la fin du film.
"Bad Buzz" est un film que j'ai pas du tout aimé. L'histoire est sympa mais très mal exploitée, les dialogues et quasiment tout le film est une gênant. Les acteurs ne sont pas convaincants et la comédie est inexistante.
Bon déjà l'équipe de quotidien, faut se la taper hn mais bon en plus si ils se lancent dans les films rien ne va plus. Comme disait une grande femme de la télé il faut descendre de la rue rpz Daniel moro et pas le rappeur polonais non la chroniqueuse de tpmp bien sûr. N'empêche j'ai bien aimé les blagues sur les deux..... enfin bref surtout celui avec le plus gros popol
Si vous aimez rire aux blagues bien grasses, conseillées à nulle tranche d'âge. Une comédie aux sketch martelés, pour lesquels chacun y va de sa petite idée... parfois échappée d'une lecture arrêtée sur le mur des toilettes. On peut appuyer le fait que le ciné est une distraction pour les plus distraits aussi.
Sans doute le plus mauvais film français que j'ai eu l'occasion de voir. C'est un film qui suinte le mauvais goût. Je ne lui trouve aucune qualité. Le rythme du film est très mauvais avec des péripéties inutiles qui font péniblement avancer le scénario du film qui ne fait pourtant qu'une heure et quinze minutes. Pour ce qui est sensé être une comédie, le seul rire que j'ai eu devant le film c'est un rire nerveux qui s'exprime devant les situations de malaise. Et le malaise c'est la seule chose que l'on peut ressentir devant ce métrage qui n'arrive pas à trouver le ton juste pour faire ses blagues. Le film se veut irrévérencieux et non politiquement correct ce qui aurait pu fonctionner si les scénaristes avaient une once de talent d'écriture. Malheureusement le film est juste offensant gratuitement. Éric et Quentin auraient sans doute dû rester à la télévision dans leur zone de confort loin des réseaux sociaux qu'ils veulent critiquer sans les comprendre et loin du cinéma dont ils ne maîtrisent pas les codes.
Quel chef d'œuvre ! Enfin un film subversif qui ose critiquer les anti-migrants d'extrême droite, autrement dit les fachos ! Merci Éric et Quentin pour votre film drôle, fin qui se consomme sans fin ! On peut évidement voir une métaphore du nazisme au travers du personnage du chat qui incarne le mal incarné. La métaphore du temps qui passe avec la mère qui ressemble à la copine de l'un de nos deux joyeux compère m'a fait réfléchir sur le consumérisme chronophage. En un mot, MERCI. Un film exubérant qui reste et restera.
Il est assez gênant de voir un film axé sur la notion de « bad buzz » s’entêter à tout faire pour en devenir un lui-même, ne reculant devant rien, exploitant une actualité brûlante ou des sujets complexes avec vulgarité et complaisance. Aussi le problème ne réside-t-il pas dans la volonté de susciter le rire à partir de tabous mais dans l’opportunisme avec lequel il s’y emploie, dans la conscience d’accomplir quelque chose d’interdit et de s’en féliciter. La réussite immense de Borat (Larry Charles, 2006) tenait à la caractérisation d’un personnage principal étranger aux mœurs américaines et donc détenteur d’un rapport au monde, aux hommes et aux choses transmis et accepté comme tel par sa culture qui, mis au contact d’une autre, se révèle être raciste, homophobe, antisémite et misogyne. Dit autrement, l’outrance de Borat se faisait malgré lui, et la gêne hilarante produite par ses actes et ses remarques résultait d’un décalage, d’une perte de repères. Stéphane Kazandjian n’a visiblement pas compris le modèle qu’il tente de décalquer, compile une série de petits sketchs peu drôles s’emparant chacun d’un sujet de société – migration clandestine, montée de l’extrême-droite, groupuscules nazis, Amazon, pédophilie et zoophilie etc. – qu’il ne cherche pas à comprendre et qu’il exploite comme autrefois les entrepreneurs de spectacles de freaks dans les cirques. L’humour est gratuit, aborde sans intelligence lesdits tabous dans l’espoir de choquer pour choquer ; le comique est rachitique, desservi par une mise en scène de mauvais téléfilm et par un duo d’acteurs n’ayant que la carte de l’autodérision à jouer. C’est bien peu.