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    La Villa
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    Yves G.
    Yves G.

    1 310 abonnés 3 312 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 décembre 2017
    Une fratrie se réunit au chevet d'un père mourant dans une villa nichée au bord de la Méditerranée. Armand (Gérard Meylan) n'a pas quitté Marseille et y a repris le petit restaurant tenu par ses parents. Angèle (Ariane Ascaride) n'y était plus revenue depuis vingt ans et la mort tragique de sa fillette. Jospeh (Jean-Pierre Darroussin) vient de perdre son emploi et cache derrière un humour de face une profonde dépression que sa "trop jeune fiancée" Bérangère (Anais Demoustier) ne supporte plus.

    J'aurais aimé adorer le vingtième film de Robert Guédiguian, accueilli par une critique dithyrambique. De nombreux amis sont déjà allés le voir, l'ont aimé et attendent avec impatience ma critique - ou ont du moins l'amitié de me le laisser croire. Je vais immanquablement les décevoir et passer à leurs yeux pour un pisse-vinaigre. J'aurais aimé conseiller aux autres ce film méditerranéen baigné d'une belle lumière hivernale, joué par une brochette d'acteurs qui, de film en film, nous sont tous devenus familiers. Un film sur la mort qui approche et sur un sentiment difficile à filmer qui pourtant traverse l’œuvre de Robert Guédiguian: la nostalgie.

    Hélas, "La Villa" m'a déçu. J'en attendais trop peut-être. J'ai trouvé son scénario paresseux qui ne réussit pas à donner du corps à cette fratrie et se voit obliger de lui adjoindre des facteurs extérieurs : un couple de voisins arrivés au terme de leur vie, leur fils, médecin à la ville, qui s'enflamme pour Bérangère, un pêcheur-poète qui s'enflamme pour Angèle et enfin un trio d'enfants migrants échoués, on ne sait comment, sur les rives de l'Estaque (vous en avez beaucoup vu des bateaux d'immigrés sur les rives de l'Estaque ?!).

    Plus grave que les faiblesses du scénario, celle du jeu des acteurs est, de film en film, de plus en plus criante. Le fait que Guédiguian se soit attaché toute une bande de copains pour jouer, depuis plus de trente ans, dans ses films ne saurait le dispenser de les diriger. C'est une catastrophe. Chacun est abandonné à ses pires défauts. Ariane Ascaride déclame des dialogues trop écrits. Robinson Stevenin cabotine. Jean-Pierre Daroussin nous ressert le personnage mille fois vu du sarcastique dépressif. Même la lumineuse Anais Demoustier - pour laquelle je nourris une passion cachée - est surprise en flagrant délit de minauderie.

    "La Villa" n'est pas un mauvais film. Mais ce n'est pas le meilleur de Robert Guédiguian. Je lui avais de loin préféré "Les Neiges du Kilimanjaro" fin 2011.
    Laurent C.
    Laurent C.

    239 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 décembre 2017
    Drôle d'images où Daroussin, Ascaride, et Meylan se retrouvent dans une voiture près de la mer ; ils ont 20 ans et cette jolie incise dans leur jeunesse est un hommage non dissimulé à l'amitié professionnelle et humaine qui lie les acteurs et le réalisateur. Car "La Villa" est un film souvenir. Souvenir au sens narratif du texte où les frères et sœurs et amis se retrouvent dans cette magnifique calanque de Méjean. Souvenir au sens où le réalisateur réunit une nouvelle fois ses comédiens fétiches et fête avec douceur et poésie ce qu'Anaïs Demoustier nomme le centre du monde, c'est à dire la côte méditerranéenne. Car la mer rutilante, même en hiver, est tout, dirait Marguerite Duras. Pour une fois, Guédiguian ne privilégie pas l'entrée politique dans son film. Il parle d'immigration clandestine certes, mais il raconte surtout une histoire de vies, pour l'une au théâtre, l'autre dans son bateau de pêcheur, d'autres encore dans leur petit restaurant. Il y a ce père, au milieu, arrêté par un coup de cœur, et qui annonce la mort. "La Villa" est un film rempli des propres films de Guédiguian, dont explicitement "Ki Lo Sa ?". On ne peut pas s'empêcher de penser au "Milou en mai" de Louis Malle ou plus récemment "L'heure d'été" d' Olivier Assayas. On s'ennuie un peu, mais c'est un ennui délicat, léger, et tout à la fois profond, mettant en scène des personnages emportés dans une remise en cause existentielle. Il y aussi le conflit des générations, et en fond de toile, un univers marchand, bling bling qui fait oublier la douceur de vivre chère à nos contrées françaises. Les vieux se retirent sur la pointe des pieds, voire se suicident à la façon héroïque de Zweig et sa compagne, et il y a les jeunes, ambitieux, intéressés par l'argent, qui conquièrent le monde. En tout état de cause, Guédiguian a réussi à faire un film dont on pourrait imaginer qu'il soit le dernier, fermant magnifiquement la boucle à sa première œuvre "Le dernier été".
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 décembre 2017
    Après une longue parenthèse au cours de laquelle le théâtre lui a permis d’adoucir la perte de sa fille, Angèle revient au pays, au chevet de son père paralysé. Le pays, c’est Marseille, au fond de la calanque de Méjean, dans une villa accrochée à la falaise. C’est là que l’attendent ses frères : Armand qui a repris le Mange-Tout, un petit restaurant sur le port en-dessous et Joseph retraité désabusé, mais resté fidèle aux valeurs du paternel. Ce père, ce pourrait être Guédiguian lui-même, tant sa Villa ressemble à un film testament.
    La terrasse qui domine l’anse est une scène idéale pour régler les affaires familiales. Dans la lumière douce et rasante de l’hiver, ces retrouvailles prennent la couleur de la nostalgie. Et quand Angèle interroge « qu’est-ce qui a changé ici ? », la réponse fuse : « Nous ! ». Au conformisme d’Armand qui vit « pour faire comme papa et que rien ne change », répond la dérision de Joseph : « c’est horrible tous ces bons souvenirs ! » Ici, les « je me souviens » ont toujours le goût de l’amitié. L’actualité des migrants leur permet même de vérifier la force de leurs engagements.
    La mer et les bateaux, la valeur famille et la solidarité de classe… L’immuable tableau est en place. Et ceux qui lui donnent vie, sont là aussi. Ariane Ascaride, Gérard Meylan, Jean-Pierre Darroussin, Jacques Boudet… Des acteurs pas trop bien dirigés, où l’humour du troisième compense la théâtralité de la première et la raideur du second. Tous contrastent avec la fraîcheur des jeunots, notamment la délicate Anaïs Dumoustier. Poncifs et bons sentiments peuvent faire rengaine, mais il faut entendre la petite musique de Guédiguian. Quand il convoque la famille au complet, on agrandit le cercle et c’est comme ça !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 6 décembre 2017
    Je suis très déçu par le film "la villa".Les intentions sont bonnes mais je trouve qu'il y a trop de scenes avec une impression de déjà vue.Par exemple l'amour entre cette actrice de théatre et son jeune admirateur.Et puis aussi la fin du film ou les 3 acteurs faisant echo de leurs voix arrivent à "réveiller" le grand malade.Non décidement, contrairement aux autres films de Robert Guediguian, je n'ai pas aimé.
    momo M.
    momo M.

    36 abonnés 277 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 décembre 2017
    Du très bon Guediguian ! Film sur la perte des illusions de toute une génération. Guediguian, avec ses acteurs fétiches et le décor des calanques de Marseille, nous ramène à ses premiers films dont on en revoit d'ailleurs un extrait très émouvant (ki lo sa en 1985). Un bilan mélancolique et nostalgique à ne pas manquer pour les inconditionnels et à découvrir pour les autres
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 6 décembre 2017
    J'ai adoré ce film tendre et émouvant. Je retrouve avec bonheur l'équipe à Guediguan.
    l'amitié l'amour la famille un peu de politique au travers des réfugiés et la belle ville de Marseille .le.meilleur depuis Marie Jo et ses 2 amours
    Lyse M
    Lyse M

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 décembre 2017
    De bons acteurs et de beaux paysages, mais des longueurs et des clichés un peu lourds. Grosse déception.
    ninilechat
    ninilechat

    68 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 décembre 2017
    On aime Robert Guediguian. Et sa famille. Sa famille de coeur, qui se confond en partie avec sa famille dans la vie.... On l'aime, parce qu'il est resté fidèle à ses idéaux de jeunesse, qu'il n'a rien perdu en route, qu'il croit toujours à ce monde idéal, ce vieux monde où la solidarité ouvrière se conjuguait avec le bonheur des plaisirs simples: l'installation du sapin de Noël collectif, ou un chahut adolescent et estival dans cette merveilleuse Méditerranée...

             Dans cette oeuvre où la joie (parfois) d'exister se mêle subtilement à la nostalgie, on sent bien que Guediguian sait que ce monde est condamné. Et cela donne un film atypique et hétéroclite, où des moments de tendresse et de poésie succèdent à des épisodes franchement niais -aux frontières du ridicule!

           C'est une calanque de Marseille, un vrai petit paradis, un paysage miraculeux même si le viaduc ferroviaire qui le surplombe nous ramène régulièrement aux réalités du monde. Le sentier des douaniers qui court le long du littoral, quelle splendeur! On est chez Cézanne....

           Autrefois il y avait une vie de quartier, mais maintenant les cabanons restants ne sont plus fréquentés que l'été. Il n'y a plus que trois familles: un vieux couple, Martin et Suzanne (Jacques Boudet et Geneviève Mnich); leur ami de toujours, Maurice (Fred Ulysse) et un jeune pêcheur, Benjamin, qui mène sa barque en récitant du Claudel, car il est fou de théâtre depuis qu'il a vu Angèle dans "La bonne âme de Se-Tchouan", et le promène dans les écoles avec sa troupe d'amateurs.Autant le dire tout de suite: Robinson Stevenin qui arbore le visage du ravi de la crèche est exécrable. A oublier dans sa filmographie....

           Maurice vit dans une très belle villa, construite de ses mains avec tous ses amis. Tous les artisans de la calanque ont prêté la main. Le soir, il va sur sa terrasse contempler ce paysage idyllique -jusqu'à l'AVC qui va faire revenir autour de lui ses trois enfants. A vrai dire, Armand (Gérard Meylan) ne l'a jamais quitté. Sa seule ambition était de continuer l'oeuvre de Maurice, tenir un petit restaurant pas cher, pour que tout le monde puisse en profiter (toujours l'utopie guediguienne....). Joseph (Jean-Pierre Darroussin), intello gauchiste et apparemment fort à l'aise, depuis qu'il a été licencié a sombré dans une dépression larvée, avec beaucoup d'apitoiement sur lui même -et chacune de ses phrases est à ne comprendre qu'au second degré.... De plus, il a une compagne bien trop jeune qui commence à le trouver assommant (Anaïs Demoustier).

           Et puis il y a Angèle (Ariane Ascaride) qui a réussi au théâtre, celle dont Benjamin est tombé amoureux quand il était gamin, et ça ne l'a jamais quitté. Angèle qui n'est pas venue depuis vingt ans à la villa, depuis que sa petite fille, laissée à la garde de Maurice et des tontons, malgré l'opposition de son père, a échappé à leur vigilance et s'est noyée, images insoutenables.... Angèle y a tout perdu, son enfant, son couple. Et elle en veut à Maurice qu'elle estime responsable, qu'elle n'a jamais voulu revoir. Ils vont se retrouver tous, se disputer, s'apercevoir qu'ils s'aiment, et reconstituer fugitivement ce paradis de l'adolescence, évoqué par des images du trio, tourné par Guediguian pour son premier film.....

           Que faire quand à la cinquantaine, on constate qu'on n'a pas eu grand chose de la vie? Que faire face à un père transformé en légume, et qu'on ne veut pas abandonner dans un mouroir à vieillards? Que faire quand, comme Martin et Suzanne, accablés par le manque d'argent, on ne veut rien devoir à personne, même au fils devenu médecin (la fierté ouvrière, selon Guediguian), et que l'idée d'une séparation, lorsque la mort prendra un des éléments du vieux couple, est insupportable? Toutes ces questions qui sont les nôtres, si profondes, si universelles, elles nous touchent au plus profond de nous même et c'est en cela que Guediguian est grand!

           Hélas, il ne peut nous épargner son préchi-précha, son côté donneur de leçons, et pour cela introduit trois petits enfants perdus, rescapés du naufrage d'un bateau de migrants.... L'armée patrouille pour rechercher ces migrants qui peuvent être dangereux, qui peuvent abriter des terroristes. Naturellement notre trio est prêt à tout pour protéger les malheureux. On sent que Guediguian se donne un mal de chien pour que le sous-off qui dirige la patrouille ne soit pas trop antipathique (d'ailleurs, il est noir....), il fait son (sale) boulot quoi, mais rien à faire: c'est une caricature....

           Donc à voir absolument , parce que le très bon, ce sentiment de la fuite du temps, de la disparition d'un monde fraternel dont seule la nature vierge peut nous consoler représente quand même l'essentiel du film. Enfin, si vous n'êtes que pour la droite libérale et progressiste, mieux vaut passer votre chemin....
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 6 décembre 2017
    Je me suis beaucoup ennuyé ! Que de clichés ; des calanques qui n'ont jamais existé, sauf dans la tête d'un créateur-idéologue manquant singulièrement de finesse dans sa création : vouloir à tout pris faire passer ses idées, cela alourdit l'oeuvre ; je connais les calanques et leur histoire, cela n'a rien à voir avec l'idéal enfantin que l'on nous présente (la classe ouvrière est idéalisée jusqu'à la caricature) ; heureusement les images sont belles et bien filmées ; c'est agréable. Malheureusement presque tous les personnages sont morts ; que de platitude dans le texte que nous récitent des acteurs gentils qui prennent l'air intelligent pour dire des platitudes, mais qui ont l'air de s'ennuyer bigrement (sauf les jeunes). Musique : franchement, c'est pas bon. Sans être désobligeant, ce film ne peut pas plaire aux gens du sud ; et puis la fin avec ses enfants-migrants et tous les clichés qui entourent leur arrivée, c'est trop, et même, pour moi, insupportable. Désolé M Guédiguian ; mais attention, en toute simplicité et humilité, ce n'est que mon point de vue.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    70 abonnés 483 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 décembre 2017
    Malgré l'enthousiasme environnant; une déception à mes yeux!!!
    Même si les calanques sont bien belles....Guediguian a insisté cette fois sur la "carte postale"...
    Il nous montre des amours improbables, un Robinson Stévenin qui surjoue "l'admirateur transi" .
    Puis quand on trouve les enfants migrants: c'en est trop !!!
    Trop de "bons sentiments"
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    696 abonnés 1 433 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 décembre 2017
    Si vous aimez les films lents, sans bande-son, avec pour thèmes principaux la famille, la vieillesse, la mort et le temps qui passe, vous allez sûrement aimer "La villa".
    La présence de Jean-Pierre Darroussin et d'Anaïs Demoustier est un atout, même si leur couple ne paraît pas crédible dès le début.
    Un drame empreint de nostalgie dans de beaux paysages des calanques du sud de la France, c'est le voyage que propose cette oeuvre dans laquelle je me suis vraiment ennuyé.
    Pénible.
    --> Site CINEMADOURG <--
    isa6666
    isa6666

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 décembre 2017
    Très beau film, doux, émouvant. A l'occasion de ces retrouvailles entre Frères et Sœur, Robert Guédiguian nous livre un témoignage sur la vie au passé, au présent et au futur et nous pousse à nous interroger sur notre modèle de société ; privilégier le bien vivre ensemble ou gagner toujours plus d'argent ? Privilégier l'humain : (place des "vieux", des personnes défavorisées, des réfugiés....) ? Conserver notre patrimoine naturel, la beauté de notre littoral... ? et puis bien sûr, la place de la famille. L'histoire est magnifiquement bien présentée, les acteurs sont talentueux, l'image est belle. Le temps passe vite, trop vite, et on quitte la salle le cœur serré d'avoir à laisser ces personnages auxquels on s'était tellement attachés. M. Guédiguian, artistiquement parlant je vous adore.C'est un film que je vais retourner voir au cinéma. Merci.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 5 décembre 2017
    Fan de toujours de Guédiguian je me faisais une joie d'aller voir LA VILLA ; Marie Jo et ses 2 amours et Marius et Jeannette m'avaient laissé un très bon souvenir.
    Déception.... si les thèmes abordés sont bien ceux de prédilection de Guédiguian, j'ai trouvé qu'il était passé complètement à côté de son film. Les personnage sont à peine ébauchés, Ariane Ascaride a visiblement du mal à croire à sa nouvelle histoire d'amour, et nous aussi....
    Tout cela sonne creux, est terriblement ennuyeux, long, sans rythme.
    Même les paysages sublimes des calanques n'arrivent pas à endiguer la monotonie et la langueur qui en ressortent.
    On se demande ce que sont venus faire les migrants dans cette galère, et nous aussi.
    Dommage....
    vidalger
    vidalger

    297 abonnés 1 229 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 décembre 2017
    Avec un tas de bons sentiments, sur les thèmes tellement rassembleurs qu'ils peuvent faire un peu clichés, avec des comédiens si sympathiques, Guédiguian nous ressert encore une fois la même tambouille méditerrano-nostalgique. Une histoire d'héritage sert de prétexte à nous exposer les méfaits de l'âge (ah bon !), les délices de l'amour et quelques réflexions sur le temps qui passe. Rien de très neuf, mais tout ceci est dit avec une grande délicatesse, et c'est ce qui sauve ce film ensoleillé. On finit par s'attendrir sur les scènes les plus sucrées et à regarder, nous aussi, le temps passer tout doucement. Il est parfois agréable de s'ennuyer en bonne compagnie.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 4 décembre 2017
    Très déçu. J'ai l'impression qu'il a tricoté un film autour de quelques répliques sentencieuses... sur la politique... sur le bon vieux temps.... Qu'était forcement mieux avant... Je ne suis pourtant pas jeune, mais c'est un film qui sent le moisi... Il y aurait pu mettre en place scénaristiquement beaucoup de choses... sur le choc des générations par exemple... Mais non... à part 2 répliques devant un plat de pâtes... C'est lent, c'est lourd... c'est inexpressif... C'est surjoué, ou sous-joué je ne sais pas vraiment... Très surpris pas les critiques dithyrambiques...
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