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    Première année
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    framboise32
    framboise32

    129 abonnés 1 286 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 septembre 2018
    Le duo Vincent Lacoste-William Lebghil fonctionne parfaitement, comme une évidence. William Lebghil est d'un naturel incroyable. Quant à Vincent Lacoste, il confirme son talent une fois de plus

     Le réalisateur dénonce cette première année et son concours indispensable avant une décennie d’études. On est immergé dans cette année impitoyable  de septembre à juin.Sans éclat, le réalisateur dénonce l'injustice sociale et l'abnégation de ces étudiants. On le voit d'ailleurs à travers l'histoire de Benjamin et sa voisine.  Le réalisateur aborde aussi le sujet de l'inégalité sociale 
    Première Année n'est pas un film aussi léger qu'il n'y parait. A voir ! (framboisemood- wordpress)
    Kinopoivre
    Kinopoivre

    29 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 septembre 2018
    Ce qu’il importe de savoir, c’est, d’abord, que l’acronyme PACES qu’on aperçoit tout au long du film signifie « Première Année Commune aux Études de Santé ». Ensuite, que cette première année ne vise pas à faire acquérir des connaissances aux étudiants en médecine, mais à éliminer ceux qui buteront sur les exigences du recrutement. Il est d’ailleurs question, en ce moment, que le gouvernement supprime cet obstacle inhumain !

    Le film est centré sur deux étudiants très dissemblables, l’un, qui vient d’avoir son bac, vient d’une famille de médecins mais ne désire suivre cette voie que pour faire plaisir à ses proches ; l’autre, qui a triplé cette première année, désire passionnément devenir médecin, mais il échouera parce que l’exploit est trop difficile. Par conséquent, sans militer abruptement, le réalisateur (qui est aussi médecin) attaque le système politique, qui a fait qu’aujourd’hui, en France, on manque partout de médecins. Son film ne parle donc pas des problèmes de médecins, mais de la manière désastreuse dont on les forme par la compétition. Système qui ne tiendra pas longtemps, on peut le prévoir !

    Les deux interprètes sont parfaits.
    Laurent A.
    Laurent A.

    29 abonnés 342 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 septembre 2018
    J'ai été étudiant et ai connu la pression de la première année (et des suivantes en filière scientifique) ce film est une vraie réussite, il pose les vraies questions du lien entre motivation réelle pour un métier, et le fond de ce qui est étudié à un rythme effréné pour aboutir à une sélection impitoyable qui en est la toile de fond et la conclusion définitive. Notre société manque de professionnels motivés et compétents et dans le même temps elle étouffe les vocations avec des systèmes abêtissants pour réduire les entrées et les professionnels à former. Ce film relate aussi une amitié réelle et authentique, une de celles qui peuvent exister au tout début de l'âge adulte dans le contexte d'un début d'études avec un concours où chacun joue sa vie et son avenir, c'est ce qui fait la force de ce film, l'issue est magnifique, c'est un cadeau qui ne peut laisser personne indifférent, surtout lorsqu'on est passé par ces rudes chemins dans son jeune âge. Un film qui est presque un documentaire de société sur un mode de fonctionnement à revoir pour le rendre plus humain et plus juste.
    LadyWolverine
    LadyWolverine

    11 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 septembre 2018
    C'est assez hallucinant ce qui se passe en PACES. Cette grande salle pour de concours, ça fait peur quand on sait le nombre qui vont passer.
    J'ai lu plus bas "en deçà de la réalité ", c'est pas grave car ce n'est quand même pas un documentaire. Le film brosse un univers et la fin, plausible ou pas, on est dans un film avec des personnages. C'est aussi un film sur l'amitié, sur le poids de la famille. Et c'est très bien joué.
    J'ai beaucoup aimé.
    alex z
    alex z

    22 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 septembre 2018
    un peu surnoté. malgre le tres bon jeu dacteur et le sujet atypique, le film reste assez lineaire et plat. Attention ce n'est pas une comedie mais une sorte de documentaire sur la 1ere anneee de medecine.Qu'attend t'on pour préselectionner les eleves en medecine!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 septembre 2018
    Excellent film qui devrait faire bouger le changement de cette sélection tellement intense et épuisante et démotivante pourtant de nombreuses personnes pourraient être pas faute de chance au concours de très très bons médecins et se voient obligés de s'orienter malgré eux vers d'autres métiers.....
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 775 abonnés 3 954 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 septembre 2018
    On prend les mêmes et on recommence. Cette fois Vincent Lacoste et Thomas Lilti ne sont plus en internat mais en Première année de médecine. Je dois dire que je suis un peu partagé sur le film, parce que j'ai la fâcheuse impression qu'il est inutile. Pas qu'un film se doive d'être utile, mais juste je l'ai vu, j'ai pas ressenti grand chose, je n'en tire pas grand chose, il ne raconte pas grand chose non plus, il reste assez convenu, sympa, mais convenu... Donc j'ai du mal à y trouver le moindre intérêt.

    Le film se veut assez réaliste pour montrer ce qu'est une première année de médecine, ce que l'on demande aux étudiants, mais je dois dire que la première scène est une séquence d'orientation pour le personnage de William Lebghil et qu'elle est vraiment fausse. Le mec veut faire vétérinaire, la COPsy lui parle d'ingénieur, de médecine... elle balance des noms de métiers au pif comme si c'était un kamoulox.

    Ensuite ça va un peu mieux... Mais le film a ce défaut, il est convenu. Je veux dire qu'on a une bromance entre deux étudiants en médecine, un qui a de la famille médecin et qui est en première première année et un qui a la vocation, mais qui triple sa première année après avoir échoué à une place l'an passé. Forcément ils vont se brouiller à un moment donné... forcément ils vont se retrouver... et certes le film se centre sur cette histoire d'amitié, reste que ce n'est pas suffisant pour porter le film. Oui ça fonctionne bien, mais j'ai quand même la sale impression que tout le film pourrait se résumer à un montage d'entraînement façon Rocky, sauf que là ils révisent des trucs de médecine... C'est bien rythmé, pas chiant pour un sous... mais pas palpitant.

    En fait Lilti propose là un film attendu, sage, gentil... avec une histoire d'amitié, une petite critique bourdieusienne en toile de fond du système de sélection qui discrimine selon des critères qui ne sont pas des critères qui feront de toi un bon médecin, mais au contraire des critères de classe, selon que tu as les codes sociaux, culturels, etc, ou que tu ne les as pas. Car finalement il vaut mieux quelqu'un de passionné par la médecine, prêt à tout pour faire médecine, que quelqu'un qui réussit sans avoir trop envie de faire et qui a juste hérité du capital culturel de papa.

    Mais voilà, jamais Lilti ne réussi à rendre ça passionnant parce que les situations n'existent pas réellement. Comme dit c'est juste des gens qui s'entraînent, c'est stylisé, raconté pour être drôle, mais jamais il ne va réellement montrer ce que c'est que deux étudiants qui travaillent ensemble pour réussir, qui font des fiches, qui s’interrogent. Il mange totalement cette émulsion, cette lassitude aussi à force de travail... Ce qui fait que l'histoire beau être assez calquée sur le réel, elle n'est pas réellement aussi crédible puisque qu'on est dans quelque chose de lisse, d’aseptisé...

    Le seul truc que j'ai trouvé réussi c'est le questionnement du personnage de Lebghil sur son avenir, or la première séquence un peu grotesque. Certes la fin est un peu grotesque car trop appuyée, mais elle semble logique et permet de faire du métier de médecin quelque chose pour lequel il faut avoir une vocation et pas juste être une bête à concours.

    Mais le film ne se permet pas d'aller plus loin, de remettre en cause le numerus clausus qui est la raison de ce bachotage (dont on va peut-être voir la fin)...

    C'est un film qu'on peu voir, c'est bien interprété, poli, agréable, mais malheureusement vain.
    Cantin J
    Cantin J

    11 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 septembre 2018
    Un film simple et réaliste. La narration est juste dans son apport en stresse, en comédie et en émotions. Pas la note maximale pour moi car la fin est en trop pour moi. Je conseil !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 septembre 2018
    Un excellent film, savant mélange entre la dureté et l’exigence de cette filière pas du tout anodine et quelques traits d’humour qui satyrisent l’engagement dont il faut faire preuve dans ce choix d’étude . Bref, bien bien bien
    blacktide
    blacktide

    38 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 septembre 2018
    Bosser, se détruire et courir vite

    On se souvient tous de nos premières années. De ces moments de stress, de ces boules au ventre, de ces nuits blanches, de ces études sans rêve, etc. Une obsession qui n’a de cesse d’agiter chaque année des milliers d’étudiants. Angoissant au possible, et immersif jusqu’à la moelle osseuse, ce troisième (et dernier ?) volet du triptyque médical de Thomas Lilti établit le diagnostic d’un système inégalitaire, d’une « machine à échouer » dans laquelle étudier rime avec privations, concurrence, sélection et renoncement. Première année s’aborde comme une course effrénée vers l’avenir, un sprint de sueurs, d’émulations et de larmes.

    Alors que les rentrées décalottent les sourires estudiantins, Première Année enfonce le clou, et replante les martyrs à leur croix : cette souffrance étudiante, ce mal-être moderne, là où étudier devient une aversion, et réussir se déforme en obsession. Des pauses illusoires, et des cours(es) non-curatifs. Marathon Men, certainement. Puisque tout n’est qu’une question d’endurance, et d’épuisement. Rocky y a laissé ses gants, et son âme de champion, mis au tapis par des cours stakhanovistes : son Adrian a mué en organes, membranes et autres schémas à la base du péricrâne. Autant dire qu’aucune pensée externe à la pratique médicale ne pénètre la boîte crânienne de l’étudiant en PACES. Médicinal ? Loin de là. Infernal ? Oui, c’est tout cela. « Étudiant en médecine/ Tu vas marner pendant sept ans », chantait un marcheur à l’ombre. Et il faut dire que ces « trimeurs sous l’œil d’Hippocrate » ont la réputation d’un Elon Musk carburant aux 120 heures par semaine : un pouls dans la tête, et des fiches-révisions jusque dans la douche, quitte à y laisser un peu de sa raison et de sa santé mentale. Ce que Première Année ne manque pas de souligner.

    Cette « vertu » déshumanisante des études, et des premières années traverse en effet le film comme un leitmotiv en polycopiés : routine millimétrée, amphis surchargés, bibliothèques de muets, examens en comité démesuré (dans la froideur et l’ordre clinique du centre d’examen de Villepinte), toute la mécanique mise en place par Lilti contribue à renforcer l’oppression de l’homme au milieu de la masse. Un portrait exalté d’une société compétitive, enseignant l’individualisme comme savoir-vivre dans un marché concurrentiel (« ça fait une place en plus »). Une vie en chronomètre en somme, où l’optimisation du temps est un gage de productivité. Un gouffre qui ne touche pas seulement l’individu, mais s’étend au cercle intime : l’inquiétude des proches, les familles dans l’incompréhension, Lilti n’oublie aucune teinte à son tableau ludique et alerte.

    Foie Gras et indigestion ? Le gavage aurait-il pris forme humaine ? Les étudiants s’engraissent de connaissances, les crânes se bourrent de remplissage, le système tue la matière à penser. Ingurgiter ou déglutir, à vous de choisir ! Puisque Première Année se veut avant tout faire la critique d’un système qui à force de concurrence, se révèle contre-productif : les médecins manquent, la pénurie s’amplifie. A en croire l’actualité gouvernementale, les réformes seraient dans l’air : Numerus Clausus supprimus ? L’injustice aurait donc une fin. Car être médecin, ce n’est ni « devenir des machines à répondre aux questions », ni disposer de réflexes reptiliens : on ne soigne pas en s’affrontant dans un bachotage de l’inutile.

    Que reste-t-il au fond de nos maux de cours ? Une rencontre, une amitié, une entraide, un parcours du combattant. Le constat qu’au bout du chemin, qu’au sein de chaque brasier, il y a une once d’espoir. Car l’œuvre de Thomas Lilti n’enferme pas : elle libère, calme nos angoisses et dévoile un certain plaisir au bout du calvaire. Puisque ce sacrifice que représente le concours de première année se vit comme une mise à l’épreuve des passions et ambitions personnelles. Il suffit du regard de Vincent Lacoste pour comprendre cet « acharnement thérapeutique », et cette motivation – presque- inébranlable derrière l’enfer universitaire. Comme un souvenir empli de compassion (probablement issu de l’expérience de son réalisateur), où la douleur de l’instant aurait été remplacée par la mélancolie de la persévérance.

    Le portrait d’une jeunesse presque non-cinématographique au fond : celle qui bosse, sans amours, ni ivresse ni loisirs. Et pourtant, le processus d’identification est total, tant l’immersion en raconte un peu sur chacun d’entre nous. Affinité rendue possible grâce au merveilleux duo que forment Vincent Lacoste et William Lebghil, attachants comme jamais. Oscillant entre gravité et légèreté dans une ambiance aussi malsaine que solidaire, ils apportent cette fraîcheur incroyable au récit (parfois classique et prévisible), et permettent au film d’atteindre justesse et sincérité.

    Cherchant l’authenticité dans la démarche compétitive de la première année, Thomas Lilti n’abandonne pas pour autant la romantisation du réel : son dernier acte témoigne d’un droit à la fiction, à la magie d’une narration, comme une porte enfin ouverte à ceux qui visent l’impossible. Et en cela, le personnage de William Lebghil s’apparenterait presque à un ange gardien, autant qu’à l’Image de la conscience résistante de Vincent Lacoste (théorie somme toute bancale) tel Cameron Frye et son Ferris Bueller. L’amitié et la camaraderie comme seules barrières à la folie, à la solitude et à la dépression ; des mots/maux qui bien sûr n’ont pas le temps d’exister en PACES.

    Des perspectives lycéennes aux désillusions universitaires, l’orientation s’y perd, et se questionne : pourquoi se dévouer à une filière quand la passion n’y est pas ? Pour des facilités ? Pour faire plaisir à un père ? Parce que le monde nous échappe encore et toujours ? Ou que le système nous empêche d’embrasser une carrière ? Première année nous interroge sur l’essence même de notre situation. Car la vie reste une éternelle suite de questions, parfois sans réponses. Un peu comme cette mélodie entêtante d’une course qui ne semble jamais avoir de fin.

    Des inégalités sociales aux vocations en régénération, Première Année questionne sur tous les fronts, de la compétition malsaine aux pourcentages de l’échec, tout en restant dans la continuité thématique d’Hippocrate. Lilti connaît son sujet, y insuffle son vécu et raisonne les consciences : face au diagnostic d’un système malade, il serait presque nécessaire de prescrire cette œuvre comme ordonnance. De quoi définitivement s’aligner sur les paroles de Renaud, et de son repli sur les poils aux dents : « Maman quand je serai grand/ Je voudrais pas être étudiant/ Alors tu seras un moins que rien/ Ah oui ça je veux bien. »

    Critique à lire également sur mon Blog
    Stève S
    Stève S

    21 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 septembre 2018
    Le film semble tout droit sorti des années 90 et raconte le déterminisme version Bourdieu. Fils de médecin faisant médecine avec des facilités évidentes.

    Qques scènes clichés mais qui ne ruinent pas un charme global.
    C'est très plaisant à voir.
    Pauline L
    Pauline L

    4 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 septembre 2018
    J'ai vraiment aimé ce film. Je ne laisse jamais de critiques d'ordinaire mais j'avais vraiment envie de m'exprimer sur ce film. Mon mari est médecin et a trouvé le film très juste.
    Le jeu d'acteur est poignant, réaliste, vrai. Les deux acteurs principaux sont vraiment excellents.
    Au début, on pense que Benjamin n'a pas sa place en médecine. spoiler: Son père est médecin, il a un appartement aux pieds de la fac et de la Tour Eiffel. Il n'a pas l'air de savoir pourquoi il est là. Mais on réalise rapidement qu'il est finalement extrêmement doué, bien plus qu'Antoine, qui en est à sa troisième année de P1.

    La fin est poignante. Je pense que la plupart des gens ne l'ont pas comprise. spoiler: S'ils pensent que Benjamin a laissé sa place à Antoine, ils sont à côté de la plaque. Je pense que Benjamin a fait médecine pour que son père soit fier de lui, parce qu'il ne savait pas quoi faire. A un moment, il demande à sa mère : "Maman, tu as toujours su que tu voulais être historienne?". A un autre moment, on lui demande : "C'est vraiment ce que tu veux faire?". Et il répond qu'il ne sait pas. Je pense que lorsque son père n'est pas venu après sa réussite au concours, il s'est rendu compte que même en faisant médecine, en réussissant le concours, cela ne suffisait pas pour que son père s'intéresse réellement à lui. C'est pour cette raison qu'il a renoncé à sa place. Il n'est pas allé dans l'amphi dans l'espoir que sa place suffise pour qu'Antoine puisse passer en P2.

    Je reverrait ce film avec un immense plaisir.
    Rémi L
    Rémi L

    8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 septembre 2018
    Excellent film, tantôt drôle, tantôt émouvant. Rien n'est exagéré : les acteurs jouent toujours juste et bien.
    CyRou
    CyRou

    2 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 septembre 2018
    Je voulais voir ce film pour bien me rendre compte du chemin de croix que représente la PACES mais j'en suis ressorti un peu déçu. J'ai vraiment eu l'impression que l'enchaînement des actions était trop artificiel pour dépeindre la réalité, que la vérité sur la PACES était exagérée ou atténuée et que le choix des acteurs n'était pas le bon (Lebghil et Lacoste auraient dû échanger leurs rôles). Quant à la fin, elle m'a laissé plus que...dubitatif Bref, le mélodrame a pris le pas sur la critique de l'abattoir qu'est la PACES ce qui est bien dommage.
    Alain M
    Alain M

    3 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 septembre 2018
    Histoire simple au scenario très réaliste car la vie quotidienne reste la meilleure inspiration du cinéma... malgré la compétition qui fait loi en première année de médecine , 2 êtres savent se soutenir et créer un lien d'amitié inébranlable dans l'échange et la réciprocité ...
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