Derniers Avis sur Mon beau-père, mes parents et moi

Un clash des cultures entre deux familles completement differentes, amenant forcement des situations cocaces et amusantes.

C'est vulgaire et l'humour facile. J'ai ri parfois mais par gêne ! L'histoire tient la route, sorte d'américain pie améliorée. Comédie qui se suit sans déplaisir puisque les frasques s'enchaînent !
3,2/5

Une suite à Mon beau-père et moi 4 ans après qui ajoute deux fameux acteurs mais en poussant dans le salace et la provocation le comique n'opère plus autant, il ne reste qu'une comédie à l'américaine très moyenne.

Un film assez bien dans l'ensemble.

On continue toujours avec un super ton d'humour, des gags burlesques nombreux... côté rire, ce volet n'a pas du tout perdu la main!

Côté histoire, là c'est un petit peu plus compliqué. Le scénario ne va pas vraiment quelque part et joue juste sur les blagues. Après, ce n'est pas très grave.

J'ai quand même bien aimé les nouveaux personnages. Malgré la bêtise de beaucoup d'entre eux, le suivi de l'histoire reste cohérent.

À voir si vous avez aimé le premier.

Un film américain dans toute sa splendeur, un cadre bourgeois, des idées bourgeoises, un scénario bourgeois, une réalisation plan-plan cul cul, un huis clos "étouffant", des révélations chocs qui bouleverseront votre vie (Kevin devient rabbin, La guigne est un combustible). Le petit révise ses classiques sur le canapé. De nouveaux cercles de confiance se créent et concurrence celui de Jack, Jay Roach ne fait parti d'aucun d'entre eux. On lui met une cartouche.

J'avais tellement ri avec mon beau-père et moi... cette suite est vraiment décevante.
L'humour est très lourdingue

« Nous sommes la famille, maintenant. »

Reprenant directement la suite du premier volet au succès mérité, jusque dans les moindres détails pour les premières minutes, Jay Roach (à la réalisation), John Hamburg et Jim Herzfeld (au scénario) élargissent la distribution avec Dustin Hoffman et Barbra Streisand. Si Dustin Hoffman, en père maternant et baba cool donne une réplique tout à fait convenable (et parfois déjantée) à un Robert De Niro incarnant un père ultra-conservateur, Barbra Streisand est absolument exceptionnelle en mère sexologue hippie qui tente de dérider Blythe Danner, un peu lasse du comportement parfois distant de son mari.

Comme dans le premier épisode, les gags s’amoncellent, parfois prévisibles, parfois inattendus mais presque toujours drôles et les situations vaudevillesques sont assez bien traitées.

Une suite réussie.

Comme le 1, ce film..., un classique avec un humour énorme qui fait rire rien qu'en y repensant ! J'ai vu plusieurs fois ce film et je m'en lacerai jamais !

Non, décidément, je n'accroche vraiment pas à cette saga qui ne parvient jamais véritablement à être drôle ni à être captivante ! N'ayant pas non plus apprécié le premier, je n'ai donc pas été déçu par cette suite, une nouvelle fois réalisée par Jay Roach et sortie en 2004, puisque je m'attendais donc à peu près au même genre d'humour. Mais c'est même cette fois ici plus lourd puisque nous avons les parents de Greg ! Et oui, si, dans le premier film, les blagues lourdes et les dialogues trainant en longueur ne revenaient qu'à Greg, ici, ce sont deux autres personnages - ses parents donc - qui partagent le même genre de gags. Et autant dire que, sur près de deux heures, c'est très long ! L'humour Ben Stiller, ce n'est vraiment pas mon truc, c'est laborieux et plutôt lourdaud (en témoigne "Zoolander" par exemple) et on retrouve cet humour dans chaque personnage qu'il interprète, à des degrés différents. En plus de gags très attendus et prévisibles (notamment le fait que les parents soient évidemment aux opposés des valeurs des Byrnes, ce qui donne lieu à des gags et scènes très peu originales et déjà-vues), le film recycle le premier dans le sens où nous retrouvons cette éternelle guerre entre le beau-père et le gendre. On retrouve ainsi le côté faussement lèche-cul de Greg et les combines de Jack pour percer tous ses secrets. Ce n'était déjà pas bien original dans le premier film alors imaginez ici. Malgré tout, quelques scènes prêtent à sourire et puis le film n'est, dans l'ensemble, pas spécialement mauvais non plus, enfin en tout cas, pas plus que le premier, d'où ma note relativement élevée par rapport à mon avis. Côté acteurs, nous retrouvons ici en plus une Barbra Streisand qui joue bien mais un Dustin Hoffman qui en fait dix fois trop. "Mon beau-père, mes parents et moi" n'est donc pas indigeste mais reste, du moins me concernant, complètement oubliable, à l'image du premier film.

On remet un coup sur le deuxième volet de la série, qui est selon-moi quand même un peu mieux réussi. Que ce soit au niveau de l’humour et même des choses que l’on découvre, ce deuxième film me plaît énormément.

Ici, l'ex espion de la CIA protégeant sa fille rencontre les parents de son futur gendre. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que ce couple est complétement différent du sien, ce qui amènera, encore une fois, de superbes scènes cocasses entre ces deux familles opposées car l'une est exubérante et libérée sexuellement alors que l'autre est plus timorée ! Les acteurs sont toujours aussi bons auxquels on ajoutera un jubilatoire Dustin Hoffman. Même si l'effet de surprise est moindre, on suit toujours avec plaisir les aventures des Byrnes et Focker !

Meet the Parents (2000) et Meet the Fockers (2004) fonctionnent en diptyque, tant les deux films de Jay Roach se répondent l’un à l’autre en épousant une structure inversée et en partageant une série de sketchs qui se rejouent à l’identique : le match de volley mute en match de baseball dans le jardin avec, à la clé, un même accident, un parent dispose de dons pour dévoiler les secrets et faire éclater la vérité, le voyage en avion commence mal puis devient idéal, etc. Ainsi, là où le premier opus adopte la froideur chirurgicale du beau-père Jack, disséquant sa lutte des classes par le biais du calvaire d’un étranger contraint de s’intégrer dans un cercle – en l’occurrence, ledit « cercle de confiance » –, le second épouse l’humanité débridée et chaleureuse de Bernie, sautant de scandale en scandale, multipliant les sujets tabous. Le premier rigidifie Gaylord, le second pose la question de sa dénaturation au contact des Byrnes, puisque le fils éprouve désormais une gêne à voir ses parents vivre librement au point qu’il essaie de les déguiser. Cette tendance au travestissement des siens s’observait déjà chez Pamela qui brossait le portrait d’une famille idéale pour mieux cacher à son petit-ami la paranoïa persécutrice d’un père, le talent et la richesse d’un ancien copain, le mépris et l’hypocrisie d’un milieu. Roach oppose deux modèles d’éducation et deux modes de vie en les séparant sur le plan symbolique – le chat dont il faut mériter l’affection versus le chien en rut, le serpent dans la cage versus le serpent déchaîné, l’entourage snob versus la famille nombreuse, l’éloge de la victoire versus le plaisir d’avoir simplement participé – et sur le plan géographique : Long Island dans l’État de New York pour les Byrnes, au cœur de la modernité, contre Miami, ses hectares et ses palmiers pour les Fockers. Se dessine alors une cartographie du cœur humain qui décalque l’ancrage topographique : la maison victorienne dans un quartier huppé renvoie à la rigueur militaire de Jack et aux règles d’apparence qui régissent son cercle ; le domaine tropical est à l’image de l’amour brûlant que porte Bernie à son entourage et à l’existence tout entière. Les deux acteurs qui les interprètent, à savoir Robert de Niro et Dustin Hoffmann, trouvent là des rôles en or qu’ils campent avec talent, drôlerie et authenticité. Voilà deux comédies alertes et intelligentes, mises en scène sans fulgurances ni partis pris artistiques notables, qui choisissent de tout miser sur leurs personnages ainsi que sur le décalage burlesque – dans la mesure où des sujets hauts sont traités avec lourdeurs voire vulgarités. Un diptyque réussi, porté par la partition et les chansons originales de Randy Newman.

Ben Stiller retrouve son rôle de Greg Focker (Furniker en VF) et ses difficultés à communiquer avec son beau-père. Il faut dire que ses parents excentriques (Dustin Hoffman et Barbara Streisand) ne vont pas aider à améliorer les relations intra-familiales. Les gags s'enchainent dans la continuité du premier, dans le même style parfois sans finesse parfois un peu absurdes. Assez divertissant mais un poil en dessous de son prédécesseur.

D’ordinaire, les suites ne sont pas des réussites, ici, il n’en est rien. Le comique repose en grande partie sur le duo Barbra Streisand Dustin Hoffman très drôles spoiler: en grand parents babas cool portés sur le sexe
, en total contraste avec le personnage rigide de Jack interprété par De Niro, ce qui accentue la gêne déjà très présente chez le personnage principal de Greg et donne ainsi lieux à des situations bien plus marrantes que dans le premier film.

Après avoir à peu près convaincu son futur beau-père, il faut que le gendre putatif présente ses parents. Quand les parent sont des semi-hippies évidemment gauchistes incarnés par Dustin Hoffman et Bette Midler on se doute que la rencontre avec un beau-père ex de la CIA, traditionnaliste et surement de droite sera quelque chose. Ce film est plus basé sur la gêne que le précédent DeNiro rigoriste est souvent choqué par les comportements des parents Furniker. C'est réussi mais un peu moins drôle que le précédent.