Avis sur The Requin

Haha ! Génialement nul. Super ridicule, la nana insupportable, qui arrête pas de chouiner pendant 1h20, aucun des deux n'ont d'idées valables, ils font que des conneries. Super énervant. Le film aurait très bien pu s'apoeler La choucroute tellement c'est hors sujet, je cherche encore le requin !!

mais quel film de mer** franchement .... tout ça pour voir un pauvre requin 1mn vers la fin. Totale arnaque le titre et totale perte de temps . Vaut mieux regarder encore et encore les dents de la mer

Incroyable je n'ai pas de mots pour décrire ce... cette chose... Effets visuels incroyablement laids, jeu d'acteurs époustouflant, à vomir. Un vrai et pur nanar qui ne se regarde pas.

The requin met l'accent sur la mise en scène et la préparation du spectateur sur ce qu'il va découvrir, c'est à dire pas grand chose. Les trois quart du film montre un couple en pleine réparation, un mari qui fait tout son possible pour entraîner sa belle vers les magnifiques paysages du VietNam. C'est un peu long au début mais ça se prépare doucement, à tel point que l'on se demande si on s'est pas trompé de film car on est loin, très loin de probables requins. Les acteurs sont banales, pire la femme a une voix stridente, insupportable (mais faites la taire !). Scènes coupées, raccourcies, dialogues et flashbacks mielleux et rares effets spéciaux très mauvais. Le requin ? Quel requin ? Ah oui, le requin, vers les dernières minutes...je ne vous dis rien mais trembleeeeeeez, non je blague. Les superpositions faites en studio sont affligeantes (notez les vagues au ralenti derrière les acteur en pleine mer), bref, c'est très mauvais, mal fait, mais pas nul non plus.

La première critique qu’il faut adresser à The Requin est qu’il est bien mal nommé, lesdits squales n’arrivant que dans la dernière demi-heure sans que les soixante minutes précédentes n’aient servi à installer une quelconque tension, une peur de l’eau et des monstres qui la peuplent. La deuxième est que la crise de la maternité, qui engendre une crise conjugale, ne trouve dans les situations qu’une illustration plate et facile, les requins incarnant le sentiment de culpabilité qui harcèle Jaelyn. Le long métrage offre ainsi au spectateur avisé un pot-pourri des productions récentes : on pense à The Shallows (Jaume Collet-Serra, 2016) pour la dimension allégorique du prédateur cascadeur, ainsi que pour la représentation d’une héroïne contrainte de lutter seule, recluse sur des morceaux de bois comme Nancy évoluait entre récifs et carcasse de baleine ; également à Open Water (Chris Kentis, 2004) pour l’errance en pleine mer d’un couple destiné à se déliter. Les effets numériques, hideux, desservent une immersion déjà rompue par les jérémiades incessantes de l’actrice Alicia Silverstone, décidément abonnée aux nanars depuis Batman & Robin (Joel Schumacher, 1997). Baignade déconseillée…

Un navet dantesque !..... Effet spéciaux d'une médiocrité sans nom. On ne voit plus ou moins les requins que vers la fin, mais autant vous le dire, ne perdez pas votre temps c'est une daube ce film. N'a que de requin que le titre du film avec des scènes ridicules.

Le titre (The Requin) n'inspirait déjà pas vraiment confiance mais il était difficile d'imaginer à quel point il était raccord avec la qualité de cet infâme métrage. En plus des effets spéciaux au rabais et de la quasi absence dudit requin, il faut se farcir les incessantes jérémiades de l'actrice principale. On espère simplement qu'elle se fera bouffer le plus vite possible sur son radeau de fortune et que notre calvaire prenne fin histoire d'oublier ce nanar en puissance dès que possible.

On s'en doutait un peu, vu le titre déjà, mais on a affaire à une belle grosse daube! Des réactions incohérentes (rester dans un bungalow sur pilotis pendant une tempête tropicale, sérieux? mettre le feu à son radeau, sérieux? se jeter à l'eau alors qu'il y a des requins, sérieux?). Ajouter à cela aucune tension dramatique, une pauvre Alicia Silverstone qui fait ce qu'elle peut (c'est à dire pas grand chose), des longueurs à n'en plus finir et un final grotesque et pompé sur "Instinct de Survie".
Pourtant avec un peu de moyen et un scénario, y'avait matière à faire quelque chose d'un peu plus consistant. Passer votre chemin!

Vous connaissez la recette de la daube ? Regardez ce film et vous l'aurez... mais daube niveau caniveau pas Etchebest lol
Bref, plus con que ça au niveau scenario, réalisation et jeu d'acteur, il n'y a pas...

Je ne comprenais pas du tout pourquoi ce film s'appelait ‘The requin’. Etait-ce parce que ça fait toujours classe d’utiliser un mot qui sonne français, comme ‘Pépé le pew” ? Après quelques recherches, j’ai découvert que c’est parce que “requin”, quand on est américain ou qu’on a une pomme de terre très chaude en bouche, se prononce à peu près comme “requiem”. Pas mal, non ? De toute façon, on s’en fout un peu du pourquoi, le résultat est à chier. Même s’il tente d’instaurer des prémices un tant soit peu originaux - un bungalow de vacances part à la dérive sur l’océan après une tempête - ‘The Requin’ est tellement minable qu’on ne parvient pas une seconde à se préoccuper de la survie d’Alice SIlverstone (en supposant même que quelqu’un en ait, dans l’absolu, quelque chose à foutre de la survie d’Alicia Silverstone). Comme tous les navets, il meuble de manière éhontée avec des personnages qui répètent quatre fois la même chose, histoire de s’assurer qu’on ait bien compris, et expriment en 250 mots ce qu’on peut ordinairement faire passer en dix. Le mari, grièvement blessé, se remet debout à volonté selon les besoins du script…sauf quand le requin lui a bouffé les deux jambes, évidemment, là, ça se verrait. . Et je ne vous ai même pas parlé du squale (pardon, du Shark), dont les apparitions alternent d'infâmes images de synthèse à peine supérieures à celles de ‘Sharknado’ et des prises de vue sous-marines toutes identiques repiquées à des documentaires animaliers. Vous voyez, tout n’est pas à jeter, puisqu’il y a moyen d’en rire.

je viens de le voir en V.O et mon avis est que ce film est lent à démarrer, le déroulé est long et l'envie de stopper arrive avant les requins.... mais parmi les nombreux films de requins dont beaucoup sont des nanars à 2 balles, celui ci s'en sort plutôt bien je dois dire.
finallement la lenteur du scénario, la musique, c' est pour nous endormir et ça rajoute du suspens, un peu de tension et au final, quelques scènes assez "gores", des plans (rares et discrets) mais efficaces avec de vrais requins, et les effets spéciaux pas trop mauvais ! limite on y trouverait un peu de réalisme ..
le film est sorti puisque je l'ai vu !!

J'avais mis une demi-étoile, et finalement, rien que pour les scènes finales dans la barcasse du pêcheur vietnamien, ça confine au chef d'oeuvre. Rires garantis, après une bonne heure d'ennui...
Chef d'oeuvre oui, mais dans le genre nanar bien sûr. Illogique, grotesque, ubuesque, burlesque.

The Requin quoi ?
C'est le nom du film, mais je rêve ou bien en une heure de film, il n y en avait pas ?
Oui après y en a, un peu, enfin bref mais je croyais que, on était en 2022, pis le graphisme laisse à désirer dis donc !
Je dirais mis à part si vous aimez les cris, passez votre chemin !
Vous allez même gagner 1h25 de votre vie !
On a affaire avec un film d'un très faible budget low cost !
Ce film devrait s'appeler, Cri en Océan !
Merci le réalisateur !

Un des pires films de l'histoire. Tout est nul, les acteurs, les décors en image de synthèse bas de gamme, les requins...
Un 100% nanar à déconseiller totalement.

Un navet ! « Moi coudre, moi avoir aiguille » mon d… svp il faut faire quelque chose ! 2 minutes de requins qui font 2 mètres à tout cassé ! Un requin a quand même manger l’actrice alors que l’eau lui arrive à la cheville… donc techniquement le requin doit faire la taille d’un Yorkshire ! Donc fuyez ! Fuyez devant ce « film » je vous jure j’ai filmer le fond de l’eau avec mon téléphone c’était de meilleure qualité ! L’affiche du film montre un requin de 40 mètre la le requin fait 3 cm et il est là pendant 3 minutes