L'Homme qui rétrécit
Note moyenne
4,1
1027 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur L'Homme qui rétrécit ?

54 critiques spectateurs

5
13 critiques
4
23 critiques
3
16 critiques
2
2 critiques
1
0 critique
0
0 critique
Trier par :
Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
Chris46

541 abonnés 978 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 2 janvier 2018
" L'homme qui rétrécit " grand classique de la science fiction des années 50 .

C'est l'histoire d'un homme nommer Scott Garrey ( Grant Williams ) qui à la suite d'une contamination radioactive voit son corps diminuer de taille . Il va alors tenter de s'adapter à ce nouveau monde devenu gigantesque pour lui et de survivre au sein de ce nouveau monde devenu dangereux et hostile nottament quand il va être confronter à un chat qui va le prendre en chasse ...

" l'homme qui rétrécit " est un classique de la science fiction réalisé par le réalisateur Jack Arnold sortit en salle en 1957 . L'histoire est très originale pour l'époque celui d'un homme qui va se retrouver réduit à la taille d'une fourmi et qui va devoir survivre au sein d'un monde devenu gigantesque pour lui . Ce concept de la miniaturisation était très novateur à l'époque et sera repris par la suite , mais de manière très différente , dans pas mal de films de science fiction ( chérie j'ai rétrécie les gosses , l'aventure intérieure ... ) . L'histoire est très prenante et nous tient en haleine jusqu'à la fin avec ce type qui va tenter de survivre dans ce monde devenu très hostile pour lui nottament quand un chat va le prendre en chasse donnant lieu à son lot de suspense et d'action dans quelques séquences mémorables
spoiler: ( la confrontation avec le chat , la confrontation avec l'araignée , l'inondation dans la cave , le piège à souris ...)

. Le film est également un drame poignant . Le drame d'un homme qui voit du jour au lendemain toute sa vie s'écrouler

spoiler: devenant petit à petit un petit bonhomme qui ne peut plus fréquenter le monde extérieur devenu très dangereux pour lui et qui ne le voie plus que comme une bête de foire et qui va s'isoler totalement des autres dont sa propre femme devenu une géante pour lui avec qui il ne peu plus partager grand chose .

. " l'homme qui rétrécit " est un film qui mélange habilement science fiction , action , aventure et drame .
Les trucages qui donnent vie à ce monde gigantesque pour le héros sont très réussit pour l'époque nottament grâce à des décors gigantesque ( canapés géant , table géante , téléphone géant ...) qui donne l'illusion que le monde est devenu gigantesque pour le héros . L'illusion est parfaite . Les effets spéciaux qui donne l'illusion que le héros est tout petit sont très réussit pour l'époque et passe encore très très bien aujourd'hui nottament quand le héros est face au chat qui paraît gigantesque ou quand il est face aux autres personnes comme sa femme qui a une taille normal et qui paraît gigantesque face à lui .
Le film est porter par un très bon casting avec à sa tête l'acteur Grant Williams qui est excellent dans le rôle de ce type désespérer de la situation dans lequel il se trouve mais qui va devoir se ressaisir et prendre son courage à deux mains pour tenter de survivre dans ce nouveau monde devenu gigantesque et hostile . Il joue vraiment bien son rôle . On s'attache vraiment à ce pauvre personnage enfermé dans une situation effrayante et on ressent vraiment de l'empathie pour lui en se disant qu'on aimerait pas être à sa place .
Le film se termine sur une fin

spoiler: très pessimiste avec le héros abandonné de tous ( sa femme et son frère le croient mort ) qui doit maintenant survivre tout seul dans ce nouveau monde et qui se demande si il va continuer à rétrécir et peut être totalement disparaître . Avec une fin très pessimiste sur le reste de l'humanité car comme il le dit si lui a été réduit à la taille d'une fourmi à cause d'une contamination radioactive combien d'autres deviendront comme lui dans le futur suite à d'autre essai nucléaire et d'autre contamination radioactive . Et si finalement il n'était que le premier être des hommes du futur .


" l'homme qui rétrécit " un classique de la science fiction des années 50 à voir ou à revoir .
anonyme
Un visiteur
3,5
Publiée le 27 juillet 2018
L’idée de faire rétrécir un homme de jour en jour jusqu’à l’infiniment petit excite l’imagination. Pour le réalisateur qui doit porter une telle fabulation à l’écran c’est un peu plus compliqué surtout s’il œuvre au milieu des années 50. Il faut dire tout d’abord que la mise en contexte de L’homme qui rétrécit est parfaitement rendue. Les comédiens jouent la situation incongrue dans un ton hyperréaliste et c’est parfait ainsi. On salive à imaginer ce qui subviendra au personnage à force de rapetisser. Et puis finalement la portion du film qui aurait dû être la plus palpitante s’avère la plus décevante. Il y a bien sûr la scène du chat qui se met dans l’idée de bouffer son maître et celle de la tarentule que Scott finira par empaler, mais dans l’ensemble cela manque de matière. Comme si l'argent devant être investi dans les décors pour chacune des séquences avait contraint la fertilité créatrice qu’offrait le synopsis. Une fois que le personnage se retrouve au sous-sol et qu’il tente de remonter à l’étage, on sent l’action piétinée. Quand la musique devient beaucoup plus dramatique que la situation à l’écran, ce n’est jamais bon signe. La réflexion philosophique que suscite le voyage de Scott vers un univers microscopique est effleurée en conclusion seulement et c’est dom-mage, puisque cela aurait pu nourrir considérablement le contenu du film. On a préféré mettre l’accent sur le potentiel spectaculaire de certaines mises en situation mais cela manque de substance ou de moyens. Belle production tout de même, mais plaisir miniature.
Danny Wilde
Danny Wilde

128 abonnés 502 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 28 mai 2015
Voici un parfait exemple de science-fiction dans le quotidien ; ici, nous ne sommes pas dans l'espace, mais la démonstration est aussi frappante avec ce film étonnant écrit par le romancier Richard Matheson à qui on doit des nouvelles fantastiques (Je suis une légende) et plusieurs travaux pour le cinéma (dont le fameux Duel, de Steven Spielberg). C'est le thème de l'atome qui sert de base à cette histoire, il a marqué le cinéma hollywoodien de SF dans les années 50, mais ici au lieu d'avoir des insectes rendus géants par les mutations des radiations, le processus est inversé : c'est l'homme qui rapetisse ! C'est un Américain paisible qui vit cette aventure cauchemardesque, où au fur et à mesure que sa taille se réduit, le monde qui l'entoure, jadis familier, devient dangereux et menaçant ; chaque objet anodin comme un crayon, une épingle, une paire de ciseaux ayant pris une nouvelle dimension,ils vont lui servir d'armes une fois qu'il sera tombé dans sa cave alors qu'il est réduit à la taille d'un soldat de plomb puis d'un dé à coudre. Ce décor devient alors vaste et terrifiant, dont la locataire est une simple araignée qui pour le héros devient un monstre redoutable. La scène de la lutte pour sa nourriture dans la cave et son combat contre l'arachnide est à ce titre un morceau d'anthologie et occupe le dernier tiers du film. La production fit construire 14 décors de tailles différentes pour accompagner les étapes du rapetissement du héros, et les trucages sont très réussis dans les distances et les proportions des objets en fonction de sa taille. Le roman de Richard Matheson était déjà brillantissime, l'idée renversante, elle était tout à fait destinée au cinéma, en dépit d'un final pessimiste qu'on peut atténuer par une réflexion sur l'infiniment petit. En tout cas, Jack Arnold signe là l'un des films les plus remarquables sur le thème du gigantisme et du nanisme, un véritable petit bijou de science-fiction des années 50.
hanson-blonde
hanson-blonde

5 abonnés 570 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 28 mai 2015
Très bon film, même à voir aujourd'hui ! Les effets spéciaux sont réussis surtout pour un film des années 50 !
MaCultureGeek

1 114 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 1 février 2016
Les films de science-fiction des années 50 sont, à mon sens, les plus originaux, esthétiques et impressionnants qui soient, et furent, avant la nouvelle vague de métrages inaugurée par la sortie du premier "Star Wars" ( enfin, du quatrième, mais vous m'aurez tous compris ). L'on ne compte plus le nombre de films cultes sortis à cette période : "Destination Lune" ( dont on parlera une prochaine fois ), "Le Jour où la Terre s'arréta", "Le Choc des Mondes", et surtout l'éblouissant "Planète Interdite", que je vous conseille fortement de voir incessament sous peu. Et là, une question se pose naturellement : qu'est-ce qui vaut tellement le coup dans ce film? Tout, tout simplement. Cela sonnait mieux dans ma tête. Anyway. Premièrement, ce qui impressionne plus que toute autre chose, c'est la qualité même du métrage une fois remis dans son contexte historique : sorti en 1957, soit 12 après la WW2, l'oeuvre bluffe de par ses effets spéciaux révolutionnaires, et la justesse du ton employé. Et justement, ce dernier détail est plutôt amusant : le ton même du métrage oscille constamment entre la gravité ( dans le sens grave ) et une certaine naïveté, naïveté qui se retrouve tout le long. Et voyez-vous, ce n'est pas un problème d'effets-spéciaux si le tout s'avère, au départ, du genre comique. Non, c'est surtout que c'est tellement inhabituel d'assister à pareil spectacle, de voir des images du quotidien littéralement démesurées, que l'on s'amusera de voir ce que le personnage subit. Au début, ai-je bien écrit. Après, le ton changera du tout au tout : abandonnant une certaine fougue comique, il tombera complètement dans un pessimisme sans fond, jusqu'à trouver l'illumination ( divine, allais-je écrire ). Car quoi que l'on en pense, un constat vient rapidement aux yeux, constat réellement appuyé par ce que je viens de vous écrire : "L'homme qui rétrécit", bien plus qu'un spectacle éblouissant, se veut surtout être un métrage inoubliable et marquant, le genre qui, même soixante ans après, surprend toujours autant, pour ne point dire qu'il émerveille grandement. Et qu'est-ce qui rend pareil résultat? Premièrement, parlons de l'écriture. Incroyable de matûrité et de tristesse, elle s'avèrera d'une rare finesse, et d'une qualité particulière. Jamais n'avais-je vu de film de cette époque à tel point touchant et marquant. Pour ce qui est de l'intrigue, c'est néanmoins assez dérisoire : la contamination du personnage principal, sans réelle autre justification que celle donnée ( et particulièrement brève ), se révèlera au final bien plus comme un prétexte que toute autre chose : c'est une cause extrêmement simple ( surtout à l'époque de la peur du nucléaire ) qui leur sert de motif pour nous fournir des moments inoubliables. Et là, je pense surtout à la scène de l'araignée. Bluffante, elle impressionne de part sa virtuosité technique, renvoyant au placard tous les pastiches italiens qui pourraient naître de cette franche réussite. Je ne sais pas s'il y en a, je suppose juste, bien que le contraire m'étonnerait grandement connaissant le pillage effectué sur "Destination ! Lune" par ces même italiens. Et justement, la scène de l'araignée nous permet de nous intéresser à une autre qualité du film : sa mise en scène. Jack Arnold, réalisateur très célèbre à l'époque, et à l'origine de nombre de films chroniqués ( "Les Survivants de l'infini" et "La Créature du Lagon noir", par exemple ), fait preuve d'un grand talent; il sait à l'évidence comment montrer des créatures monstrueuses s'agiter à l'écran, et s'est avec plaisir que l'on suit son oeuvre, non sans délectation ( lorsque l'on aime ce genre de métrages vieillissants ). La réalisation est donc forte, intense et énergique et, soulevée par une bande-son grandiose, ainsi que tellement intense qu'elle en deviendra étouffante, le résultat est détonant. Et contrairement à ce que l'on pourrait penser de ce genre de métrages ci, celui ci ne patit guère de ses effets spéciaux. Marquants à plus d'un titre, ils impresssionnent de par leur virtuosité et leur réalisme, appuyant le fait que oui, l'on se trouve devant un grand film, le genre qui ne s'éteindra pas demain la vieille dans l'imaginaire des fans. Les montages sont excellents ( encore que celui du métrage global s'avère parfois décevant, notamment lors de la première scène ), et une question demeure après le visionnage : comment ont-ils pu bien faire, bon sang de bois de pipe? Les acteurs ajoutent également au résultat final, dont le héros, qui tient le rôle titre avec talent et une pointe suffisante de ce charisme cher aux américains de l'époque, et dont l'on a encore besoin de nos jours. Pour conclure, je souhaiterai réaborder un point sommairement vu plus haut : le détail de l'écriture, sûrement le plus important du métrage ( celui sur lequel il se base le plus, en fait ). Comme vous le savez sûrement, le film est inspiré d'un roman, et même si son scénario n'est pas des plus fouillés, il vaudra surtout pour la qualité de l'enchaînement des évènements et de l'action, mais également pour ses dialogues et sa réflexion sous jacente. Explications. Tout d'abord, il paraît évident que le style du film, sérieux et puissant, vise à nous éblouir. Et c'est principalement ce qu'il parvient à faire : les pensées du héros sont agravantes de profondeur et de tristesse, et un autre constat s'impose rapidement à nous : c'est foutrement réfléchi et bien pensé. Car de ce qui transparaît de ce métrage ci, l'on retiendra surtout la profonde pensée philosophique qui traine un peu de partout : il y a, en effet, une réélle et puissante réflexion sur l'importance de l'homme dans l'univers, sur sa place parmi les autres animaux, et sur le rôle prédominant de l'échelle en ce qui concerne la domination des espèces. Que ferions-nous si les araignées nous dépassaient de plusieurs centimètres, et si une simple pièce s'avérait un véritable champ de bataille? Cet inversement des rôles est particulièrement savoureux et talentueux, le tout relevé par les pensées même du personnage. C'est à n'en pas douter un grand film que l'on tient ici; non seulement de son époque, mais du cinéma en général, et ce tous genres confondus. Surprenant et bluffant, le résultat final nousfera venir un constat en tête : l'on tient une perle, une pépite rare qu'il ne faudra perdre pour rien au monde. Je n'avais jamais vu cela, et je ne le reverrai sûrement jamais pluis ailleurs. Fascinant.
sword-man
sword-man

90 abonnés 1 017 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 3 février 2015
Adapté du roman de Richard Matheson et écrit par ce dernier "l'homme qui rétrécit" est un classique du fantastique des années 50, mais reste un sacré bon film aujourd'hui encore par la qualité de ses effets spéciaux aussi variés qu'inventifs. Mais également par la qualité de sa narration qui suit l'évolution psychologique du personnage condamné à voir le monde de plus en plus grand, trop grand pour lui. La première moitié se suit déjà avec intérêt mais la seconde est une grosse surprise qui relance tout l'intérêt d'un script déjà bon. On change carrément de genre, pour virer au pur survival et qui dit survival dit leçon existentielle. Une pépite, un classique pour tout fantasticophile.
Uchroniqueur
Uchroniqueur

183 abonnés 2 477 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 7 janvier 2017
The Incredible Shinkring Man est incontestablement devenu un grand classique et un chef d'oeuvre du cinéma fantastique des années 50. Psychose de l'époque marquée par la guerre froide et la peur des radiations, contexte qui produira énormément de films fantastiques de qualité. Une belle facture classique, une construction impeccable, c'est propre et irréprochable.
alf38000
alf38000

16 abonnés 146 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 21 décembre 2021
Jack Arnold signe ici avec "l'homme qui rétrécit" incontestablement le meilleur film de toute sa carrière.
Perfection technique, jeux des acteurs, scénario inventif et magnifiquement ficelé, trucages et effets spéciaux soignés (Clin d'oeil à Tarantula sorti 2 ans plus tôt).
Mélange subtil de fantastique et de conte philosophique, l'oeuvre tirée d'un roman de Richard Matheson (qui ecrira lui-même le scénario) va bien au-delà du simple divertissement auquel était cantonné le cinema de SF des 50's.
Ici point de happy end, pas de solution miracle au mal qui ronge le héros, pire, les proches de celui-ci semblent se détacher de lui au fur et à mesure que ce dernier s'éloigne des canons définissant les standards humains, et, c'est donc seul et abandonné à sa nouvelle existence que celui qui était Scott Carey part découvrir un monde toujours changeant et de plus en plus indéfinissable.
Une oeuvre que chaque cinéphile se doit d'avoir vu au moins une fois dans sa vie.
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 2 mai 2016
Film fantastique des années 50, L'homme qui rétrécit aurait pu être kitch, ridicule, daté, dépassé... Il aurait pu l'être. Au lieu de ça on a là un modèle du genre, aux trucages inventifs et vraiment bluffants, avec une histoire parfaitement rythmée (le film est de plus assez court) et surtout une fin assez incroyable (se dire qu'on a pu faire une fin aussi parfaite à l'époque, aussi pleine de sens sans jamais tomber dans le ridicule, ça vend du rêve, ni plus ni moins).
Un film fantastique plein de charme et qui, encore aujourd'hui, saura séduire.
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 28 juillet 2017
Je l'ai vu petit, il y a plus de 35 ans et je lui aurai mis 5 étoiles si allo-ciné existait.Bien qu'il se fasse vieux, l'intérêt est la: on arrive très bien à se mettre à la place du "petit homme" et avoir peur des griffes du chat ou de se faire manger par l'araignée ! Maman !!
Philippe C
Philippe C

108 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 15 octobre 2014
Il y a des chefs d'oeuvre du cinéma qui vieillissent bien, d'autres plutôt mal... c'est le cas de ce film culte avec des effets spéciaux inventifs en 1957, qui paraissent puérils et mal fagotés en 2014. Film de SF au départ, puis d'épouvante (la plus belle scène est à mon avis celle du chat qui veut croquer le héros devenu grand comme une souris) et certains disent, film philosophique : l'homme est petit devant l'univers, mais il ne sera jamais zéro, car Dieu ne connait pas le zéro....

Comme Almodovar qui y rend hommage dans "parle avec elle" en plaçant une scène muette ou un homme tout petit danse sur le ventre d'une femme avant de disparaitre dans son sexe, j'aurais sans doute aimé être émerveillé et avoir peur en regardant ce film à sa sortie...

A replacer donc dans le contexte historique, comme un écho dees rumeurs de l'époque sur l'invasions de soucoupes volantes et ses craintes d'attaques de l'URSS....
weihnachtsmann

1 341 abonnés 5 394 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 14 mai 2015
Un début plus mystérieux que fantastique puis aventure et suspense sont au rendez-vous. Un formidable travail a été fait pour les effets spéciaux. En plus d'être petit, cet homme est maintenant isolé du monde et le film est d'autant plus fort. Pour autant la fin n'est pas vraiment en adéquation avec le public visé. Cette vision philosophique est peut-être un peu trop appuyée et on voudrait savoir ce qu'il va advenir de lui.
Gentilbordelais

349 abonnés 3 137 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 17 novembre 2024
sur une idée géniale, l'environnement créée autour de l'homme qui rétrécit est pensé dans les moindres détails. les effets visuels liés aux aventures vécues par notre héros sont extrêmement bien réalisés pour l'époque et, avec la narration de ce que ressent le personnage, cette fiction est absolument fascinante. bien des décennies passées, un classique toujours aussi plaisant à revoir, qui reste aussi un questionnement de la place de l'homme dans le monde qui l'entoure.
Hotinhere

651 abonnés 5 150 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 15 août 2019
Touché par un nuage radioactif, un homme se voit miniaturisé. Un chat, une araignée, une paire de ciseaux, une goutte d'eau... Tout devient un danger imminent. Un bon film bien foutu de survie au climat angoissant.
Objectivons

356 abonnés 2 999 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 19 décembre 2020
On pourrait certes faire bien mieux avec nos effets spéciaux actuels, il faut replacer le film dans son contexte : il est sorti en 1957...
Malgré une narration et un rythme plutôt lents, les mises perspectives et la situation vécue par le personnage principal, minuscule dans un environnement pourtant normal mais devenu bien trop grand pour lui, sont toujours réussies aujourd'hui.
Les meilleurs films de tous les temps