L'Homme de la plaine
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weihnachtsmann

1 347 abonnés 5 400 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 21 octobre 2014
Superbe western dans la veine des meilleurs. Intrigue, vengeance, grands espaces. Puissant et tendu. Impressionnant.
chrischambers86

14 946 abonnés 12 670 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 15 septembre 2018
L'un des plus cèlèbres westerns d'Anthony Mann! Toutes les qualitès de "The Naked Spur" (1953) et "The Far Country" (1954) se retrouvent dans "The Man from Laramie" que Mann tourna en 1955, toujours avec l'excellent James Stewart! Son personnage de cowboy a parcouru des milliers de kilomètres, bravant tous les dangers, pour tuer un trafiquant d'armes qu'il n'a jamais vu! Tirè d'une histoire passionnante, ce peintre de la nature qu'ètait Mann signe un classique du genre en Cinemascope grandeur nature s'il vous plaît, utilisè ici pour la première fois par le rèalisateur! Les paysages que nous traversons sont souvent somptueux et la violence physique bien là! Certes, "The Man from Laramie" ne surpasse pas "Winchester 73", premier film de l'association Mann-Stewart, mais surprend par sa mise en scène hyper maitrisèe avec un remarquable sens du dècoupage, une ribambelles de plans rapprochès du visage de Stewart et de très grands mouvements verticaux! Quant à Cathy O'Donnell ("They Live by Night"), c'est une bien jolie actrice qui dègage ce petit quelque chose qui fait ici toute la diffèrence...
this is my movies

756 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 13 février 2018
Dernière collaboration entre A. Mann et J. Stewart, un western qui mixe plusieurs thèmes et plusieurs influences, entre "Le Roi Lear" de Shakespeare, un thème lié à la vengeance, un peu d'intrigue policière (réminiscence du début de carrière de Mann dans le polar) et donc le grand thème du western, à savoir un étranger qui arrive dans une ville tenue par un gros éleveur. J. Stewart est excellent dans le rôle principal et la caméra de Mann plante parfaitement le décor, bien aidé par un scénario assez dense, qui développe avec soin la plupart de ses thèmes (seul le couple Vic/Barbara souffre un peu d'un manque de présence). Autour de Stewart, un habitué avec A. Kennedy, qui compose un énième rôle de vilain, un rôle un peu plus complexe qu'à l'accoutumée, un type attachant et parfois ambivalent. Le film est agréable à suivre, avec des jolis plans de Mann dans un format plus large que d'habitude, lui le maître du format 1:33 dans le genre, des éclairages toujours très contrastés avec des ombres qui jouent un grand rôle, sans oublier un scénario prenant, qui nous accroche jusqu'au bout. Très bon film. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
bobmorane63
bobmorane63

211 abonnés 2 045 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 14 mai 2020
Dernière collaboration des cinq fameux Westerns entre le cinéaste Anthony Mann et sa vedette James Stewart qui est ici une fois de plus un chef d'oeuvre !! "L'homme de la plaine" raconte l'histoire d'un Cowboy qui arrive avec ses hommes et son troupeau dans un patelin mais qui est en secret là pour venger la mort de son frère tué par un Apache. L'équipe se fait attaquer par des hommes de main d'un puissant propriétaire du coin sans que ce dernier en soit responsable, plus est son fils naturel et son fils adoptif qui sont méchants. J'ai beaucoup aimé ce Western qui peut faire partie des pépites du genre de l'age d'or d'Hollywood avec des paysages désertiques qui sont magnifiques aidé par une belle photographie qui rend l'image agréable. Le scénario est bien construit et réserve des surprises . James Stewart est une fois de plus grandiose avec, à ses cotés, un trés bon Arthur Kennedy et un remarquable casting. Un Must du genre.
Philippe C
Philippe C

108 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 22 octobre 2019
Un westeren bien terne qui n'a pas résité à l'usure du temps...les personanges sont stéréotypés, le jeu est souvent trop forcé, le scénrio, bien qu'intéressant n'est pas bien exploité, et on finit vite par s'ennuyer...Les meilleurs moments du film sont ceux de cette même et très jolie chanson qu'on entend au début et à la fin
Roub E.

1 116 abonnés 5 112 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 10 juin 2021
Un western comme je ne les aime pas. Avec des indiens assoiffés de sang menaçants les gentils colons américains. Ce qui le sauve c'est que tous les américains ne sont pas "gentils" justement. La cupidité de nombre d'entre eux est d'ailleurs au cœur du film, des hommes prêts à tout pour l'argent et souvent au pire. Le film est esthétiquement assez soigné et n'est pas désagréable à regarder. Las comme je le disais j'ai du mal avec cette période du western américain pour vraiment le trouver bon.
Hotinhere

655 abonnés 5 155 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 11 juin 2020
Un beau western à l'ancienne, aux paysages somptueux, et au scénario sombre aux airs de tragédie grecque mais manquant un peu d'intensité, qui s'apprécie comme une madeleine de Proust.
mistermyster
mistermyster

68 abonnés 1 336 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 6 septembre 2024
Ce que je retiendrais, c'est comment Stewart a laissé tomber son costume de jeune homme, bien sous tout rapport, ce bon américain moyen qu'il interprétait il n'y a pas si longtemps, pour ce glisser dans la peau d'un cow-boy, comment sa grande carcasse élancée, a pu, nous faire croire sans l'ombre d'un doute à ce personnage. Toujours juste, toujours droit dans ses bottes, capitaine dans l'armée, ayant toujours une conduite exemplaire et droiture sans faille, même s'il vient pour venger son frère, cela requiert un certain talent. Et Stewart n'en manque pas, sa filmographie le prouve, l'homme est sympathique, même quand il se bat, l'homme est sympathique même quand il dégaine, l'homme reste vulnérable, et en fait de lui, un héros que l'on peut toucher, un héros du peuple, et ça, les américains aiment ça, et il n'y a pas qu'eux.
Dernière collaboration avec Mann, qui a su à un moment donner, fendre la cuirasse de l'acteur, lui donner une autre envergure, et le repositionner au cœur du système hollywoodien, comme un acteur de premier ordre.
Le film est d'une facture classique, mais, il est fluide, comme bien souvent avec les westerns, c'est un drame, où, les enjeux sont multiples, mais l'issue est unique.
On cite, et à raison, John Ford, pour ces westerns tournés en décors naturelles, à Monument Valley, mais on aurait tort de ne pas mentionner Anthony Mann, pour sa façon de se servir des grands espaces, notamment sur ce film, les reliefs sont aussi abrupts que la façon dont les personnages se comportent; l'ouest Américain n'est vraiment pas un pays facile.
ronny1
ronny1

45 abonnés 913 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 3 août 2022
Anthony Mann rêvait d’adapter KING LEAR en western (Kurosawa le fera des années plus tard en chambara avec « Ran »). « The Man from Laramie » (L’homme de la plaine) offre déjà toutes les prémices de cette tragédie familiale animée par l’ambition et la rancœur. Car le sujet du film est ce mélange sous tendu par la vengeance, qui pourtant n’habite pas les deux propriétaires terriens du film. Anthony Mann et John Sturges furent considérés comme les créateurs du western psychologique et ce film se rattache à ce courant, même si les deux réalisateurs ont des tempéraments différents. La relation tri partite entre le père, le fils et le fils adoptif et préféré, gagnera une dimension supplémentaire avec l’adversaire et ancienne fiancée du patriarche. Dernier des cinq westerns qu’il réalisa avec l’excellent James Stewart que Mann utilisa au mieux (l’acteur sera moins brillant chez John Ford) c’est aussi le meilleur. Dès les premiers plans le cinémascope et les mouvements de caméra de Charles Lang apportent une précision à la fois dans les cadrages et dans les mouvements (le sommet de son art sera « Magnificent Seven » de John Sturges). S’appuyant sur ces qualités topographiques certaines, le déroulé passe avec facilité et intelligibilité d’un endroit à l’autre, permettant une continuité de l’action, sans temps morts, à tel point que les quelques incohérences sont avalées par le rythme du film. Donald Crisp, Athur Kennedy, Alex Nichol, Aline MacMahon et la sous estimée Cathy O’Donnell complètent un casting épatant, agrémentés de quelques rôles secondaires tenus par Wallace Ford et Jack Elam. Emprunt d’une sauvagerie et d’une violence qui annoncent déjà Sam Peckinpah, « The Man from Laramie » est un des grands films du cinéaste. Des westerns dans lesquels il avait tourné, c’était celui que James Stewart préférait
Renaud  de Montbas
Renaud de Montbas

30 abonnés 683 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 17 juillet 2021
"l'homme de la plaine" coche presque toutes les cases du genre. Réalisé en 1955 et en technicolor, on y trouve le heros James Stewart (si classieux qu'il donne l'impression de porter un costar 3 pièces même avec une panoplie de cow boy), de la vengeance (le fil rouge), de la romance sur fond de violons (pas mal), des indiens (2 minutes), des coups de feux, un fils indigne et un marchand d'arme. Il n'empêche que ce western considéré comme un classique du genre est beaucoup trop classique pour moi. Limite mou, dialogues stéréotypés. Un bon western pour l'époque mais le regarder aujourd'hui peut provoquer un léger ennui. 2 / 5
Agnes L.
Agnes L.

192 abonnés 1 791 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 17 janvier 2024
Ce western est plaisant et pas trop simpliste. Je regrette que les dialogues ne soient pas à la hauteur. Un peu trop taiseux comme personnage, l'homme de la plaine (James Stewart), et c'est abusif car on dirait qu'il ne sait pas exprimer ce qui lui arrive. Peut-être ne se disculpe-t-il pas car il se dit qu'on ne le croira pas mais cela en devient énervant. Un peu déçue également de voir si peu les Apaches alors qu'ils sont au centre de l'histoire. Ce qui est bien réalisé par contre, c'est la diversité des lieux, les personnalités du père et celui du trafiquant d'armes. Le fils Dave Waggoman, lui, est trop âgé pour être crédible dans le rôle d'un jeune homme chaperonné car il a trente neuf ans au moment du tournage et ça se voit.
chrisbal
chrisbal

16 abonnés 701 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 16 août 2023
Dernier film d'Anthony Mann mettant en vedette son acteur fétiche, "L'homme de la plaine" est un western très classique avec de magnifiques paysages filmés en Cinémascope.
Bien que les motivations des différents personnages restent relativement mystérieuses, on se doute dès le début spoiler: qu'il s'agit d'une histoire de vengeance en rapport avec la colonne de cavalerie décimée par les indiens et également de qui peuvent être les trafiquants d'armes
.
James Stewart interprète un Will Lockhart tout en bravoure et en humilité (même si pour moi il est loin d'être l'acteur le plus charismatique de l'époque, on peut au moins lui accorder cette qualité), contrastant avec les personnages interprétés par Arthur Kennedy (Vic Hansbro) et Alex Nicol (Dave Waggoman), cupides et avides de violence.
D'une manière générale, on a un divertissement pas forcément épique mais qui respecte les fondamentaux des westerns des années 50.
riverainpsy
riverainpsy

35 abonnés 433 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 22 octobre 2019
Grand western classique , proche d'une tragédie grecque, avec en toile de fond les beaux paysages du Nouveau-Mexique. La quintessence d'un genre (et d'une époque : c'est sans doute là que peut se situer le défaut aujourd'hui ) .
Ducerceau
Ducerceau

15 abonnés 688 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 23 octobre 2019
Un vrai western à l'ancienne de la grande époque. Avec un scénario alambiqué dans de beaux paysages très différents de Monuments Valley.
annatar003
annatar003

66 abonnés 852 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 8 novembre 2011
Un bon vieux western bien sympa mettant en avant James Stewart dans la peau d'un cow-boy avide de problèmes.
C'est dans une histoire classique du genre western qu'évoluent les personnages de "L'Homme de la plaine". Simple et très classique, ce long-métrage marque cependant un état de vieillissement avancé qui empêche une réelle appréciation de ses qualités originelles.
Mise en scène correcte faisant bien ressortir les différentes interactions valorisées par une musique agréable mais pas comparable aux hymnes de Morricone, ce film est réservé aux amateurs des 50's ou aux inconditionnels de l'Ouest américain.
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