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    The Wicker Man
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    3,7
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    105 critiques spectateurs

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    septembergirl
    septembergirl

    563 abonnés 1 069 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 août 2013
    Un thriller britannique, aux allures d’épouvante, qui nous entraîne dans une enquête étrange et ésotérique au cœur d’une île lugubre et malsaine. Le film a dans son ensemble bien vieilli ; fantastique et angoissant, il navigue tout du long entre glauque et ironie pour nous amener à un final inattendu. Cependant, à de trop nombreuses reprises, la réalisation s’avère trop fantasque, elle prend au dépourvu, agace et embarrasse par les excentricités de son scénario. Un film simple, sans artifice, qui fait donc figure d’ovni, et qui met en exergue confrontation des croyances et fanatisme religieux. Un film élevé au rang de mythe à voir surtout pour son propos !
    Gourmetdefilms
    Gourmetdefilms

    54 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juillet 2014
    Une île peuplée d'habitants d'apparence "normale", qui s'avèrent être des malades en force; les dévots d'un dogme polythéiste célébré à travers des chants (auxquels on n'échappe pas), des danses, un culte de la sexualité etc... mais aussi de crimes. Au départ j'ai aimé la singularité de ce film, l'idée, le décor, l'ambiance et le contexte. L'ambiance est bien là, et l’interprétation des acteurs est correcte malgré une scène extrêmement ringarde où Britt Ekland danse nue dans une chambre avec le policier à côté. Hélas plus le film avance et moins je trouve l'enquête et d'autres aléas crédibles, je ne parle même pas des techniques d'investigations! Puis en arrivant à la fin qui est un poil trop longue mais très surprenante et dure, on peut supposer que l'enquête n'est en faite que secondaire et que le but principal est peut être plus idéologique. L'envie peut être de discréditer les religions et peut être surtout le christianisme (ou plus largement le monothéisme), devant notamment un public de hippies pré acquis à la cause. On se demande alors si paradoxalement ce film n'est pas prosélyte et si le fait que des enfants parlent de sexualité ou qu'il y ait tant de femmes à poil est finalement si anodin. Bref un film atypique plutôt intéressant et plutôt réussi dans la forme, mais hélas il y a un fort arrière gout propagandiste qui explique peut être que des détails du scénario soient bâclés.
    dahbou
    dahbou

    175 abonnés 2 186 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 décembre 2007
    Film à la pensée post Hippy des plus sympathique profondement contestataire et transgressif qui fustige toutes les religions, The wicker man est un savoureux brassages des genres passant du film policier à la comedie musicale. Edward Woodward ( The equalizer ) est parfait en flic bigot vraiment coincé alors que Christopher Lee s'amuse beaucoup en châtelain païen ebouriffé. Le film a connu une distribution en salle chaotique ce qui n'a fait que renforcé sa légende à l'image de son final immoral.
    titusdu59
    titusdu59

    59 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 avril 2011
    C'est une évidence, "The wicker man" est un film très étrange. A mi-chemin entre le thriller inquiétant et la comédie musicale, l'intrigue, sordide histoire à propos d'une enquête dans des milieux de religion exotique, se développe de manière très déroutante, puisque la mise en scène donne un aspect quasi documentaire au film, avec notamment tous ces magnifiques paysages, cette vision de l'Angleterre profonde... Mais finalement, au bout d'une demie heure, une fois mis dans le bain, on se délecte de cette ambiance très glauque. Il faut dire que le personnage de Christopher Lee, encore excellent, est plutôt bien retranscrit, et celui de Edward Woodward d'une profondeur inattendue. Et la fin, malgré son côté prévisible, est tout de même plutôt efficace. Mais ce qui fait en grande partie le charme de ce "Wicker man", c'est sa réflexion sur les conflits de religions, ainsi que la primitivité de certaines d'entre elles (peut-être la notre, à bien y réfléchir), plus aboutie qu'il n'y parait. Une bonne surprise.
    AMCHI
    AMCHI

    5 034 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 juin 2013
    Bon film mais pas si extra que ça non plus, si le scénario est intelligent et bien écrit il est regrettable que la mise en scène manque de vigueur et l'ambiance bien qu'inquiétante ne distille finalement peu de mystère. Mais l'ensemble se regarde avec intérêt on est intrigué par cette étrange île ; la BO est réussie et The Wicker Man est un film ou l'on pousse même plusieurs fois la chansonnette (dont Britt Ekland toute nue et dodelinant des fesses), l'interprétation est de qualité. Pas réellement déçu mais j'attendais quelque de plus malgré tout. Quant au final il est très cruel et impressionnant même si on le sentait venir.
    btravis1
    btravis1

    98 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mars 2007
    Atmosphère étrange, on sent le mystère et une certaine tension pendant tout le film, jusqu'au final surprenant et surtout très bien emmené. Un film original à (re)découvrir, bénéficiant d'une très bonne interprétation et d'une réalisation originale.
    Jean-Sébastien T.
    Jean-Sébastien T.

    21 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 juin 2017
    Fabuleux, kitch, intelligent, irrespectueux, interprété avec malice, ce film est tout cela à la fois. Inutil de dire que je me suis régalé et que je le reverrai bientôt !
    robert_ginty
    robert_ginty

    12 abonnés 381 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 janvier 2007
    Mieux vaut tard que jamais : pratiquement 35 ans après sa sortie anglaise, et sans doute grâce à l'iminence de celle de son remake ricain, The wicker man bénéficie enfin d'un passage (symbolique) dans les salles françaises. Chef d'œuvre impérissable de l'étrange (il est habituellement considéré comme fantastique bien que ne comportant aucun élément surnaturel), le film n'a rien perdu de sa force et son propos reste cruellement d'actualité. Cette exploitation hexagonale, malheureusement confidentielle, ne risque hélas de rameuter que les fans du film qui n'avaient pas attendu la bienveillance des distributeurs pour découvrir cet objet rare et fascinant via ses diffusions chez Dionnet ou les jolis dvds (contenant, cerise sur le gâteau, la version longue), et pourtant, cette inquiétante enquête sur fond de paganisme et d'intolérance religieuse méritait largement d'être vue par le plus grand nombre : le script de Shaffer est brillant, l'interprétation aux petits oignons (Edward Woodward parfait en flic cul-bénit perdu au milieu d'une peuplade de dégénérés, Christopher Lee considère son rôle de gourou aristocrate comme le meilleur d'une carrière qui en a vu d'autres), l'ambiance est palpable à souhait (le métrage est truffé de saynettes délicieusement décalées, conférant un ton unique à l'oeuvre), la bande-son tient du miracle (on passe comme une fleur d'une chanson paillarde à une ritournelle à la gloire de Mère Nature, une suave complainte invitant aux plaisirs de la chair ou une comptine folk dédiée à un arbre aux branchages fort suggestifs), bref, on se régale avant un dernier acte complètement barré multipliant les rituels fascinants et un final en apothéose. Sorte de chant du cygne de l'horror à l'anglaise, The wicker man en est le plus beau représentant, et pourtant désespérément méconnu en dehors des férus de fantastique. Vous savez ce qu'il vous reste à faire...
    Plume231
    Plume231

    3 472 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 novembre 2010
    Un OFNI inclassable qui serait du domaine de l'épouvante mais flirterait avec le policier et la comédie musicale, et où l'érotisme (impossible d'oublier la danse très sexy de Britt Ekland et de sa doublure dans l'hôtel!) côtoie le sordide le tout dans des paysages magnifiques. On peut voir venir la fin depuis longtemps cela n'empêche pas cette dernière de très fortement marquer par sa froideur et sa cruauté. Difficile de dire si l'ensemble très ambigu et au climat angoissant très bien entretenu est une condamnation de l'intolérance chrétienne ou de l'atrocité des rites païens, certainement les deux, mais cela pousse de façon remarquable à la réflexion. Christopher Lee est excellent en maître de l'île d'un abord sympathique mais inquiétant, et il ne faudrait pas oublier de mentionner Edward Woodward, parfait dans le rôle d'un policier bigot et frustré. De ce qui aurait pu n'être qu'un film d'épouvante sans envergure, Robin Hardy en a fait une oeuvre unique profonde et intelligente.
    Alexarod
    Alexarod

    238 abonnés 1 858 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 novembre 2016
    Un film que je voulais voir : parce Christopher Lee était dedans et qu’il disait y avoir eu son meilleur rôle. Bon en cela je ne suis pas d’accord avec lui mais il est vrai que ça le change du méchant habituel, d’où un registre différent où il se montre assez à l’aise. Puis la polémique... Honnêtement je peux comprendre pourquoi : des tas de nanas à poil dont « Bonne Nuit » de James Bond dans l’Homme au pistolet d’or (oui avec Chris Lee aussi), des danses et des chants dans tous les sens sans explications, une ouverture d’esprit digne des meilleurs smokers des 70’s et une opposition farouche entre christianisme et religion païenne assumée (qui a existé qui plus est). Il est certain que cela abordait trop de choses choquantes à l’époque, tant sur le fond que dans la forme donc, impensable. De plus, le réalisateur ne condamne aucune des deux « religion », ce qui peut horrifier certains.
    Avec le début j’aurais dit que c’est un OVNI, un film d’auteur déjanté, après la 1ère partie ça se tasse et ça revient plus dans les clous, du coup on comprend mieux le scénario, et ça n’en devient qu’un long métrage barré. D’ailleurs on le classe en fantastique sans qu’il y ait de scènes qui sortent de l’ordinaire, on pourrait le mettre en comédie musicale mais sans le côté comique, l’ambiance des thrillers n’est clairement pas présente, pas de peur donc pas d’horreur… Bref un inclassable, ça peut être bien quand c’est un minimum cadré et intéressant. Nous dirons que le propos est pas mal, la religion a une certaine époque en Angleterre et en Ecosse, était trop prégnante. L’opposer ici à une île qui fonctionne complètement différemment, le tout avec un twist et une fin originale c’est vraiment du bon cinéma. Le seul problème c’est que c’est montré de façon trop fouillis, que les scènes de nu semblent là plus pour faire réagir que pour servir un propos, que les chansons sont affreuses et inutiles (pourquoi celle d’Ekland est si longue ?), de même que la musique est moche et ne colle pas aux situations. Si les coupes semblent être à l’origine du problème (dixit Christopher Lee), la mise en scène n’était pas bonne au départ, desservant une histoire pas des plus passionnantes pour les agnostiques, mais avec une fin osée au moins. Du reste les dialogues en VF sont affreux, c’est mal doublé (pas de jeu dans la voix), le grain de la pellicule se voit trop, les décors sont pas mal, les costumes font très « hand maid », le réalisme demeure douteux, le rythme se barre en sucette fréquemment, notamment à cause des multiples longueurs qui émaillent le visionnage, et les acteurs ne sont vraiment pas inspirés (sauf Lee) ou très mal.
    Bref un film pas mauvais mais un peu trop raté. Lee change de registre sans que ce soit choquant et ça vaut le coup d’être vu, mais ça a trop vieilli et la qualité n’est pas tant là pour que ce soit un bon produit, ou qu’on veuille le revoir.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 006 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 novembre 2023
    « The wicker man » ou « Le dieu de paille » en français, réalisé par Robin Hardy était le film préféré de Christopher Lee au sein de sa filmographie qui en comptait tout de même quelques fameux notamment les premiers Dracula tournés pour la Hammer, studio qu’il avait contribué à populariser avec son complice Peter Cushing et le réalisateur attitré du studio, Terence Fisher. Sorti en 1973, le film amputé de dix minutes de métrage au grand dam de Christopher Lee n’a pas rencontré son public notamment aux Etats-Unis. C’est avec le temps que cet OVNI cinématographique impossible à classer dans un genre précis (policier, comédie, épouvante, fantastique…) a acquis le statut de film culte. Le projet date de 1971 alors que la veine du film d’épouvante revisité par la Hammer commence à s’essouffler et que Christopher Lee cherche à se débarrasser des deux canines protubérantes et très aiguisées qui ont fait sa gloire. Avec le scénariste Anthony Shaffer, ils décident de travailler ensemble dès qu’une idée les séduira de concert. Le principe est acquis de rester dans le domaine de l’épouvante pour ne pas déstabiliser les fans de l’acteur tout en se démarquant radicalement de tous les codes esthétiques imposés par la Hammer. Shaffer vient de lire « Ritual », une nouvelle de David Pinner plaçant son intrigue sur une île écossaise sur laquelle un policier très religieux est envoyé pour démêler le meurtre d’une jeune fille dont les apparences font penser à un sacrifice rituel. La nouvelle avait été initialement écrite en vue d’un film réalisé par Michael Winner avec John Hurt dans le rôle principal. Shaffer ayant acquis les droits peut retravailler le sujet à sa guise. Robin Hardy, ami de Shaffer, sera le réalisateur. Pour tenir le rôle de l’inspecteur de police aux principes rigoristes, Edward Woodard s’impose après que David Hemmings et Michael York aient chacun décliné l’offre qui leur avait été faite. Diane Cilento, Britt Ekland et Ingrid Pitt seront les atouts charme du film. L’inspecteur bigot précité, remarquablement interprété par Edward Woodward, débarque sur l’île de Summerisle alors qu’une lettre anonyme a signalé la disparition d’une jeune fille. spoiler: Il découvre effaré une micro-société dont les mœurs tiennent plus du paganisme que des préceptes protestants. La liberté à tous les âges et dans tous les domaines, notamment sexuel semble être la devise qui unit la population. Le scénario se délecte à l’évidence de l’opposition frontale entre la rigidité de l’inspecteur et le spectacle qui s’offre à lui sans complexe et sans retenue aucune. C’est pourtant avec difficulté qu’il résiste aux avances de la très avenante serveuse de pub interprétée par Britt Ekland avec une candeur mutine à laquelle il semble bien difficile de résister. Le ton semble badin et bucolique même si en sourdine la tension et l’angoisse sont palpables.
    Ce mélange subtil et surprenant est sans conteste la grande réussite du film. Quand arrive sur le tard Lord Summerisle campé par un Christopher Lee maniant à merveille une suavité inquiétante, on comprend mieux les enjeux qui se trament sur l’île dont le nom est hérité du patronyme du père du Lord arrivé sur place au début du siècle avec des idées marchandes bien précises en tête. A ce sujet il convient de préciser que le nom de Summerisle a sans doute été choisi à dessein par Anthony Shaffer. En 1960, était paru « Libres enfants de Summerhill » qui narrait l’expérience éducative du psychanalyste libertaire écossais Alexander Sutherland Neill, matérialisée par l’ouverture d’une école (fondée en 1921) regroupant 75 enfants de 5 à 16 ans pour leur enseigner entre autres, une forme d’auto-gestion, permettant aux libertés individuelles de s’exprimer au mieux (les cours ne sont pas obligatoires) tout en régulant l’émergence des tensions de toutes sortes. Une théorie faisant débat mais revenue à la mode avec l’émergence du mouvement hippie. Le film se veut en quelque sorte le reflet des mouvements de fonds qui agitent la société britannique alors que la réaction au mouvement contestataire des sixties est déjà largement engagée. Anthony Shafer n’en oublie pas pour autant qu’il a une intrigue à mener. Très féru des romans d’Agatha Christie dont il signera la plupart des adaptations cinématographiques au cours des décennies 70 et 80, il réserve au spectateur un dénouement particulièrement jouissif et inquiétant qui renforce encore le prix de « The Wicker man » qui aura permis à Christopher Lee de se parer d’accoutrements qui même outranciers n’enlèvent rien à son port majestueux. On ne se refait pas.
    Estonius
    Estonius

    2 473 abonnés 5 225 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 novembre 2018
    Un film anglais complètement inclassable et très roublard où l'on voit un policier bigot enquêter sur la disparition d'une jeune fille sur une île écossaise peuplé d'adeptes d'une religion celtique. C'est bien joué, Christopher Lee est très bon et Britt Ekland nous gratifie d'une danse érotique absolument fabuleuse. La musique est géniale, l'ambiance érotico-paillarde est tout à fait réjouissante et le final est superbe ! C'est très habilement fait d'autant que le propos du film est de nous expliquer que toutes les croyances religieuses se valent dans leur absurdités… Quoiqu'en y regardant de plus près le réalisateur dirige nettement notre empathie vers les païens plutôt que vers ce pauvre poulet.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 804 abonnés 3 956 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juin 2015
    The wicker man est un film réellement étrange, totalement barré, allant jusqu'au bout du délire... On aime tous, je pense, j'espère, les films où un policier débarque seul sur une île pour enquêter sur des crimes étranges... C'est un pur fantasme de littérature, de cinéma, de tout ce que tu veux... Et là ça ne manque pas...

    D'autant que sur l'île on a Christopher Lee en grand gourou d'une sorte de secte étrange qui a le bon goût de faire sauter des vierges nues par dessus du feu pour qu'elles soient fécondées par le dieu du feu... du génie ! Je propose qu'on fasse la même chose ! Rien que ça...

    Le film est vraiment étrange, mais tellement dans l'enquête qui est assez classique et je dois avouer que j'ai deviné assez vite la fin... mais dans son ambiance... parce que le film alterne les phases d'enquête avec des scènes limite de comédie musicales avec des chants faussement joyeux et qui sont en réalité carrément glauques. Du coup, forcément, le film a immédiatement un cachet assez dingue, je pense qu'on peut ne pas accrocher, parce que comme je l'ai dit, c'est réellement bizarre, mais si on arrive à rentrer dans l'univers du film c'est du tout bon !

    Enfin tout bon, je dirai que la fin est un peu longue, à partir du moment où on a compris ça fait juste redite et ça traîne un peu en longueur, bon rien de grave... Et puis si ça permet de voir Lee chanter et danser avec sa coupe de cheveux improbable, quelque part ça vaut bien quelques minutes en trop. Parce que ouais Lee a une coupe de cheveux qu'envierait Nicolas Cage (qui joue d'ailleurs dans le remake, comme quoi tout se tient, tout est lié) !

    Film on ne peut plus agréable grâce à son ambiance tout bonnement unique.
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    93 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 avril 2011
    Un film bien barré, parfaite représentation de son époque avec la musique psychédélique, ses femmes libertines, sa pseudo religion et ses rites paiens. Scenario et réalisation par des artistes mettant sans nul doute davantage d'acide que de café sur leurs sucres. Seul le comparatif entre la foi de cette communauté et le christianisme me semble être une réflexion intéressante dans le contenu de cette oeuvre "culte" d'un autre temps...
    Rockzz S.
    Rockzz S.

    2 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 juin 2017
    Charmants païens ! De la pulpeuse femme qui se frotte contre les 4 murs de sa chambre sitôt la nuit tombée, au gourou au look improbable sautillant joyeusement, serpettes en mains, le long du sentier surplombant les falaises de cette île "so British".
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