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Synopsis
Le dernier printemps de la Guerre d'Algérie. Le printemps d'avant l'été de l'Indépendance. Ali/Mehdi Charef, 11 ans, et son meilleur copain Nico regardent leurs mondes changer... et font semblant de croire que Nico ne partira jamais. Jamais ?
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Algérie, 1962. Aux premières loges de la guerre d’indépendance, Ali, 11 ans, assiste aux derniers instants du conflit, aux côtés de Nico, son meilleur ami. Entre les brouilles, les réconciliations, les arrestations de résistants qu’il connaît, les harkis, le foot, les amis et les journaux qu’il vend, le quotidien d’Ali se partage entre normalité et imprévus, naviguant entre la légèreté de l’enfance et la dureté des ...
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Cluny
56 abonnés
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3,0
Publiée le 15 octobre 2012
"Cartouches Gauloises" est largement autobiographique, et Mehdi Charef a raconté que de nombreux épisodes du film s'étaient déroulés devant les yeux du petit vendeur de journaux qu'il était alors, comme l'oncle emmené par les soldats français ou la mère frappée par un harki. Mehdi Charef portait ce film depuis son enfance en Algérie un peu comme Louis Malle a porté toute sa vie "Au Revoir les Enfants", comme un témoignage douloureux ...
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Stanley-le-begue
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2,5
Publiée le 15 septembre 2007
Un film tendre sur une période dure et qui ne cache pas la violence. Montrer la guerre d'Algérie au quotidien à traves les yeux d'un enfant aurait pu facilement virer dans le gnagnan si Mahdi Charef avait caché ce côté dur de la vie de tous les jours. Il ne juge pas non plus, conscient des atrocités commises dans les deux camps et dresse le portrait d'un pays en gestation dont l'indépendance n'a pas été seulement une source de bonheur. ...
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NeoLain
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2,5
Publiée le 3 octobre 2013
La guerre d'Algérie laisse des souvenirs quand on a 11 ans. Sujet pas anodin puisque cela concerne la fin de la guerre en Algérie, et donc l'indépendance montre sont nez pour ce pays. Les personnages manque de talent. J'ai lu que certains ont senti peu d'émotions, c'est assez vrai, mais j'ai pu tout de même prendre un petit plaisir de suivre un gamin avec ses collègues. Ce gamin voit famille, homme, femme se faire tuer, il regarde tout ça ...
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L'élaboration de Cartouches Gauloises a demandé de nombreux efforts à Mehdi Charef. Situé au printemps 1962, juste avant que l'été ne vienne célébrer l'indépendance de l'Algérie, le film raconte en effet un morceau de la propre histoire du réalisateur. Toutefois, ce dernier n'a pas souhaité s'immerger dans un récit totalement autobiographique : "Il y a beaucoup de choses qui viennent de moi, de mon expérience : ma tante, l'oncle emprisonné par le
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Une gestation longue...
Majoritairement autobiographique, Cartouches Gauloises ne s'est pas construit en un jour. Si l'envie était là, Mehdi Charef avait quelques appréhensions à retourner dans cette partie de son enfance. "Cela ne s'est pas fait tout de suite parce que je craignais les gens : Français, Harkis, Algériens... La vision que j'avais de la guerre n'était pas celle des adultes, et je le savais. Je suis d'une génération où mon père me disait qu'il fallait se t
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... et douloureuse
Afin de se plonger dans ce film, Mehdi Charef a dû se replonger dans tous les souvenirs qu'il avait tenté d'occulter. De ce long procéssus, il est parvenu à retirer une expérience aussi unique que douloureuse. "Quand j'ai commencé à écrire Cartouches Gauloises, j'ai tout retrouvé... les cicatrices, les douleurs. J'ai aussi retrouvé intact le malaise de fouiller dans ma mémoire lorsque je suis revenu à Tlemcen et Maghnia en repérage... L'angoisse
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Rien dans ce film ne bouleverse vraiment, tant le traitement est poussiéreux, consensuel dans la forme et anecdotique dans le fond. Un tel sujet aurait mérité plus d'ambition. Voila l'exemple d'un film qui manque cruellement d'ambition, et cela est bien dommage.