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Synopsis
Tanger - Aujourd’hui, quatre jeunes femmes de vingt ans travaillent pour survivre le jour et vivent la nuit. Toutes quatre ouvrières, elles sont réparties en deux castes : les textiles et les crevettes. Leur obsession : bouger. "On est là" disent-elles. De l’aube à la nuit la cadence est effrénée, elles traversent la ville. Temps, espace et sommeil sont rares. Petites bricoleuses de l’urgence qui travaillent les hommes et les maisons vides. Ainsi va la course folle de Badia, Imane, Asma et Nawal...
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Le fond de ce film est peut-être bon, je ne sais pas, je suis sorti au bout de 30 minutes, tant j'ai trouvé la forme mauvaise. J'ai été saoûlé par la manière de filmer, caméra sur l'épaule, et quasiment tout en gros plans très souvent flous. Sans compter la succession décousue des plans. Comment peut-on se moquer ainsi du spectateur ? Et je ne pense pas qu'on puisse se retrancher derrière "esthétisme" et/ou "cinéma d'auteur". C'est ...
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velocio
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837 abonnés
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1,5
Publiée le 1 février 2012
Que faire lorsqu'on se trouve face à un film a priori sympathique mais dont le résultat frôle trop souvent la catastrophe ? Il est certain que Leïla Kitani a voulu trop en faire : elle a rajouté un volet polar au volet sociologique, voire politique et, elle qui vient du documentaire, s'est pris les pieds dans le tapis. Un peu comme Christophe Ruggia dans "Dans la tourmente". On peut accepter le fait que le film parte dans tous les sens et ...
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-Vinz-
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32 abonnés
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3,0
Publiée le 18 novembre 2011
C'est un film fort et soutenu, qui a malheureusement du mal à tenir la longueur. Comme un soufflé qui gonfle puis se dégonfle...
Christoblog
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608 abonnés
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3,0
Publiée le 13 février 2012
Sur la planche est typiquement un premier film.
On y reconnait cette urgence, ce caractère à la fois survolté et inquiet, qui caractérise parfois les premières oeuvres, comme Donoma par exemple. Sur la planche partage d'ailleurs avec ce dernier de nombreux points communs, comme les images volontairement floues, le montage savant et foutraque, la caméra portée à l'épaule.
Autre caractéristique : de multiples bonnes intentions, comme ...
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Après avoir commencé à rédiger le scénario, Leïla Kilani a proposé à Hafed Benotman, un écrivain de romans noirs, de la seconder dans l'écriture de son projet. L'homme a la particularité d'avoir braqué quelques banques lorsqu'il était jeune...
A l'origine : un fait divers
Le scénario de Sur la planche a été écrit à partir d'un fait divers. En 2005, alors que Leïla Kilani s'amusait à lire la presse à scandale marocaine, la cinéaste est tombée sur un article évoquant la féminisation de la criminalité : une bande de quatre filles ouvrières repérant des hommes dans des cafés pour les dévaliser a commis un meurtre. C'est à partir de cette matière qu'elle a pu mettre en place son projet.
Un film néo-réaliste
Pour réaliser Sur la planche, Leïla Kilani s'est inspirée du cinéma néo-réaliste new-yorkais des années 1970. Une optique qui se définit principalement par son contenu social : la découverte humaine et spirituelle d'un pays, d'une contrée.
J'en sort. A voir, franchement. Pour moi, le bon film du mois... Jme suis pas ennuyé, même si les dialogues vont à 100 km/h, etcCa sent la vie, le travail, le peuple, la révolte, la rue, le vol, la débrouille....
beautifulfreak
Bof, bof... On ne fait pas un bon film seulement avec de bonnes intentions. Il faudrait un minimum d'intrigue ou de mise en scène. Je suis resté jusqu'au bout mais j'ai décroché mentalement avant la fin. Les critiques de ciné sont impressionnables pour pas grand chose.
NedMerrill
Est-ce une blague ? Les sous-titres du films sont-ils mal traduits ? Un sacré bordel ... Une incompréhension totale, aucune compassion pour aucun des personnages. On comprend bien les intentions de la réalisatrice qui est tout à son honneur, elle a juste oublié ses spectateurs. Ce n'est pas par ce qu'il y a peu de films qui nous viennent du Maroc, qu'il faut pour autant ne pas avoir un regard critique. Dommage ... vraiment !
pauline__ch
Quelqu'un connait le titre de la musique quand les 4 filles sont dans une maison le soir et que la "fille textile" brune fait une danse pour amadouer celui qu'elles vont voler?
Merci
SyphX-
"Exaltant pour son anticonformisme, mais quelque peu aride pour sa rigueur conceptuelle, Sur la Planche n’en reste pas moins une sonde vibrante au cœur du monde arabe contemporain." Louna | ★★★★★★☆☆☆☆ | Lire la critique complète sur LE BLOG DU CINÉMA :
freesbeefree
A les entendre tous tous dire que c'est la fureur de vivre marocaine, j'avais moyen envie d'aller voir ce film tombé de chez nos voisins les pauvres,. Les critiques en parlent hyper mal, ça le dessert parcequ on s'attend à voir un enième truc misérabiliste et donneurs de leçons. Mais ce film c'est une dinguerie foutraque avec des filles qui ressemblent à des amazones madmax! C'est une dinguerie, carrément faut pas chercher à expliquer et raccrocher les wagons de l'analyse. Je m'en fiche.Ce film c'est vraiment un rodéo de minettes. Il y a du venin de cobra dans ces gonzesses qui s'accrochent comme des malades après s'etre cassée la gueule et qui remontent de suite de suite sur le cul du cheval. Moi, je suis un mec mais elle m'ont fait kieffé grave ces killbill marocaines. Tu sais que si tu joues au bras de fer, elle vont te rétamer vite fait. Pas besoin d’être un medecine man, chaman indien, pour comprendre qu'elles sont comme des bikers en compet' qui tournent sur le en piste fermée, le corps cassé, fleepées carrémént par l’horreur du temps, grave peur du vieillissement, même pas de la mort. Moi en sortant du film j'avais juste foncer en moto dans le colorado la nuit!c'est décidé au petit-déjeuner depuis aujourd'hui dimancje. Je vais au colorado faire de la moto cet été.
arnaud1972
ça commence par la fin et à la fin c'est autre chose !?!? elle se fait arrêté ou ellle brûle dans le feu,un film médiocre, ennuyeux avec une intrigue smartphone soporifique à souhait et puis cette caméra en planque pour faire vraie, et puis c'est quatre fille sans relief qui ont trop bien appris leur leçon de jeu et puis ce faux côté révolte de la jeunesse marocaine aux phrases toute faites, navrant!!!!
platineangel
Le cinéma marocain, israélien, iranien... se développe une vraie bonne nouvelle, et à chaque fois, une qualité de film...les révolutions arabes auront engendré de bons films.
chérie m.
Une tuerie! On n' a jamais vu un film pareil. c'est un ovni, une bombe! On s'en contrefiche des révolutions arabes ou d'autre chose, ça se part quelque part dans le monde aujourd'hui. Ca parle de comment tu veux vivre, juste vivre, pas bosser comme un damné, te faire vriller la tête à baisser l'échine. Ces gamines sont fascinantes, la mise en scène secouante, et 3 mois plus tard, t'as encore l'odeur de crevettes. Ca parle de ça le film, d'odeur du travail, d'envie d'hurler de la jeunesse! Allez y! Courrez! Ca faisait longtemps que j'avais pas vu ça. J'aime pas trop les films d'auteurs, toujours la même chose. Mais celui là, c'est une bombe!
Nelly M.
Festival des Trois Continents nantais 2011. Un film tourné avec fougue dont il se détache une "envie de dire" qui force l'admiration. Alors on suit ces jeunes filles en se disant que la débrouille dans cette zone franche de Tanger doit être faite de ces vertiges-là. Actrices touchantes dans leur contraste volontaire, chacune jouant sa partition dans l'affrontement sans saliver de ce que l'autre soit plus ceci ou plus cela. D'une certaine manière toutes les quatre sont logées à la même enseigne, de la plus plastique à la plus garçonne en passant par celle qui s'affranchit jusqu'à ne plus savoir où se positionner. Dans la survie où culture et racines brillent par leur absence, elles jouent de leur personne en forçant le trait comme pour encore ressentir quelque chose. Peut-être justement est-ce un peu trop appuyé, avec des redondances où on frôle l'ennui avant la scène décisive ? On est plus dans le respect que dans l'émotion véritable.
lepasseur
Y a du nerf, du Prophète même dans cette Rosetta de Tanger mais l'ensemble s’apparentant au polar ne tient pas la distance... On ne stresse pas pour ces quatre filles qui rêvent d'une vie non asservie.