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Synopsis et détails
Michel Peneud va mourir. Comme vous, comme moi, et comme sa mère, sauf que sa mère, c'est son médecin qui le lui a dit. Alors elle a décidé de vivre. Et vivre pour la maman de Michel Peneud, ça veut dire nourrir ses chats, boire du mousseux comme si c'était du champagne, et aimer Michel. Mais cet amour, Michel le trouve parfois un peu encombrant. A tel point qu'il semble soudain développer des symptômes très proches de ceux de sa mère. Et si Michel avait lui aussi un cancer du sein ?
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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132 abonnés
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1,5
Publiée le 24 juillet 2016
Attention , film presente comme une comedie mais qui n'est pas drole. Pas de rire dans la salle, bon j'etais seul...mauvais presage. Theme pas vraiment rigolo , le cancer , film en noir et blanc , personnages au physique atypique. Certes traite de maniere personnelle mais qui ne mene a rien et la fin est tres loin d'etre drole.
velocio
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496 abonnés
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3,5
Publiée le 14 novembre 2016
Il suffit de quelques secondes pour discerner le ton de "Je me tue à le dire" : des images en noir et blanc, on voit un cercueil et on entend quelqu’un qui dit : « Au début, ça surprend toujours, mais quand vous achetez une paire de chaussures, vous l’essayez, pas vrai ? ». Cette phrase est destinée à un homme qui est dans le cercueil, mais qu’on on ne va découvrir que quelques secondes plus tard. Cet homme, celui qui essaye le ...
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AM11
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2904 abonnés
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2,0
Publiée le 23 novembre 2016
Le style de Xavier Seron est particulier, j'avais pu le remarquer avec certains de ses courts-métrages seulement ce qui fonctionne dans un format court n'est pas toujours efficace dans un long... Le thème lourd du film est traité avec tendresse, émotion, et même humour, mais tout cela manque de constance. Plus qu'une réelle histoire, on assiste à des scènes qui sont souvent différentes les unes des autres avec chaque fois un registre ...
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Cinéphiles 44
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471 abonnés
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3,5
Publiée le 31 décembre 2016
Le premier long-métrage de Xavier Seron est une comédie à l’identité propre. Je me tue à le dire raconte l’histoire de Michel qui voit sa mère mourir mais qui est bien décidée à aimer son fils jusqu’à la fin et boire du mousseux comme si c’était du champagne. Cette mère imposante, prend souvent le pas sur la copine de Michel. Mais Michel a autre chose en tête. Il ressent quelque chose de différent dans sa poitrine, comme ...
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L'idée du film vient du prolongement de ce que Xavier Seron avait développé lorsqu'il étudiait à l’Institut des Arts de Diffusion (IAD), une école de cinéma à Louvain-la-Neuve. Le cinéaste explique : "Le titre Je me tue à le dire vient directement d’un court-métrage du même titre que j’avais écrit à l’IAD. C’était un exercice interne pas du tout voué à sortir des murs de l’école, dans lequel Jean-Jacques Rausin joue. C’était déjà une so...
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Une chronique
Plutôt que d’écrire une histoire classique scénaristiquement, Xavier Seron a imaginé l’histoire de son personnage comme une chronique, avec des rencontres qui, à chaque fois, présentent des déclinaisons de la mort à venir.
Baroque
Côté références, Je me tue à te dire s'est construit en rapport avec l’iconographie baroque. On y retrouve par exemple un tableau du 17ème siècle de José de Ribera, La femme à barbe, ou encore une peinture d’Alonso Cano, La lactation miraculeuse de saint Bernard qui représente une statue de la vierge envoyant un jet de lait dans le visage de Saint Bernard. "Cela a vraiment influencé le film et cela se retrouve également dans le cho...
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Bizarre, déjanté, fou, cynique, absurde, mais on sent aussi que Xavier Séron a appliqué tout ce qu'il a appris dans son école, quitte à en faire trop. Tout de même à voir, indéniablement.