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Synopsis
L'histoire des studios Cannon vue de l'intérieur est un documentaire retraçant l'épopée de Menahem Golan and Yoram Globus, qui dans leur poursuite du rêve Américain ont révolutionné Hollywood, produisant plus de 300 films et devenant la société de production indépendante la plus puissante au monde. Ce film explore la relation complexe entre deux personnalités opposées, dont la combinaison a été à la fois le moteur de leur succès et la raison de leur chute.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Success story incroyable que celle de ces cinéastes / hommes d'affaires israéliens. La Cannon nous a fait rêver et on en prend conscience en regardant ce documentaire. On peut le compléter par Electric Boogaloo, réalisé par d'autres personnes que les Golan eux-mêmes mais qu'ils n'ont pas vraiment accepté.
this is my movies
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4,0
Publiée le 19 mars 2016
Pour les fans de film de genre des années 80, la simple évocation du nom de la Cannon suffit à faire remonter à la surface une foultitude de souvenirs de films bis voire Z qui offrait son lot de nichons, de sang et d'explosions dans des films décompléxés et fun qui font désormais les beaux jours du site nanarland après avoir garnis les rayons de VHS des vidéos clubs des 90's. Ce documentaire passionnant et très bien documenté revient ...
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CeeSnipes
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3,5
Publiée le 21 septembre 2014
La société Cannon fut cible de deux films en très peu de temps en 2014 : The Go-Go Boys d’Hilla Medalia et Electric Boogaloo de Mark Hartley. Le premier fut présenté à Cannes Classics.
The Go-Go Boys est un film qui prend clairement la défense de Golan et Globus dans la mesure où celui-ci explique leur soif d’American Dream et de cinéma, sans jamais remettre en cause les méthodes de la boîte. C’est un point de vue qui se ...
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Un visiteur
4,5
Publiée le 22 octobre 2014
Ca fait plaisir de voir un film sur nos classiques de jeunesse, surtout que ce sont eux qui ont influencé tous nos réalisateurs de films de genre ! Et en plus on se marre, le film est drôle et émouvant !
Hilla Medalia a écrit, produit et réalisé ce documentaire sur les studios Cannon. La réalisatrice s'est spécialisée dans le documentaire et produit les siens depuis 2009.
Festival
The Go-Go Boys : The Inside Story of Cannon Films a été présenté au Festival de Cannes 2014 dans la section "Cannes Classics".
Quand Cannes rencontre Cannon
Les producteurs Menahem Golan et Yoram Globus ont fait leur première apparition au Festival de Cannes dans les années 1960 pour présenter des films israéliens.
8 Secrets de tournage
Infos techniques
Nationalité Israël
Distributeur Paradis Films
Récompenses
2 nominations
Année de production2014
Date de sortie DVD-
Date de sortie Blu-ray-
Date de sortie VOD 04/03/2015
Type de filmLong-métrage
Secrets de tournage 8 anecdotes
Box Office France
307 entrées
Budget-
Langues
Anglais, Hebreu, Français
Format production
-
CouleurCouleur
Format audio-
Format de projection-
N° de Visa140525
Commentaires
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LBDC
Qui n’a pas un jour entendu parler de la Cannon ? Pour ma part c’est un peu grâce à cette société de production que j’ai pu découvrir le cinéma. Bloodsport (le film qui révéla « JCVD » Jean-Claude Van Damme) a été un de mes premiers films coup de cœur et je n’en ai pas honte.Enregistré à la télé, à l’époque sur VHS, ses visionnages étaient l’occasion de voir des combats entre potes et de partager un bon moment ensemble. D’ailleurs la Cannon a connu son essor avec les vidéoclubs.Fondée en 1979 par Menahem Golan et Yoram Globus, Surnommés les Go-Go Boys par Newsweek (magazine d’actualité US), La Cannon Group a marqué la production américaine part ses petites séries B au budget (sur)gonflées. Souvent décriées par la presse, elles ont eu un capital de sympathie énorme auprès du public. En 1983/84, ils ont produit plus de films que n’importe quel grand studio. Ils étaient qualifiés d’infatigables. C’est le seul studio indépendant considéré comme une « major » dans cette période.Menahem, directeur général, était avant tout un cinéaste. En 1963, il avait fondé déjà avec son cousin Yoram la Noah Films avec des succès locaux. A eux deux, ils ont produit plus de quarante films, dont un bon tiers constitue les plus gros succès du cinéma israélien. En rachetant cette petite compagnie de production, ils investissent Hollywood en produisant des films destinés au public adolescent. Ils visent ainsi de plus en plus le marché international. Il n’y a qu’à voir leurs escapades cannoises avec les grands renforts publicitaires sur la croisette.Ce sont donc de sacrés personnages tous les 2. Il n’y a qu’à voir leur méthode de production. Tout ce que Menahem voulait, Yoram arrivait à lui obtenir. Un vrai duo complémentaire sagement reconstitué dans ce documentaire qui s’attarde plus à retranscrire le côté humain plutôt que de mettre en avant leurs films (comme on pourra voir dans Electric Boogaloo : The Wild, Untold Story of Cannon Films de Mark Hartley). On a les interviews d’époque qui viennent compléter l’entretien de la réalisatrice avec les 2 hommes (juste avant la mort de Menahem le 8 août 2014). on découvre d’une manière attachante l’ascension des deux hommes. La naissance de leur empire jusqu’à sa déchéance.Réunis de nouveau pour les besoins du film (ils ont longtemps été brouillé suite à la liquidation de la société en 1989) les retrouvailles sont marquées d’une réelle émotion. Les archives bien mis en avant montrant Golan comme un homme passionné et un peu borné à vouloir connaitre le succès. C’était un boulimique du travail. Les deux hommes reconnaissent également avoir délaissé à un moment leur famille respective. Il n’y a qu’à voir les exigences de Golan sur certains documents. A chaque fois Globus arrive à avoir le budget adéquat mais il était souvent dépassé. Il faut dire que Menahem ne lésinait en rien ses productions. C’était au fond des séries B de luxe qui se rapprochaient d’une série A. D’ailleurs ce qui est curieux c’est qu’ils ont produit autant de films « décérébrés » avec Chuck Norris, Charles Bronson, Stallone et Van Damme; que de l’auteur comme avec le film King Lear de Jean-Luc Godard, Torrents d’amour de John Cassavetes ou encore Pirates de Polanski. C’est ce qu’on peut appeler un sacré grand écart culturel (...) COLINRetrouvez l'intégralité de notre avis à propos de THE GO-GO BOYS sur Le Blog du Cinéma
bluedahlia
Faut croire, mais quand tu sais que c'est Mr Golan qui est responsable de la commande...