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Synopsis
À 50 ans, Alexandre a derrière lui une brillante carrière d’architecte. En proie à des doutes sur le sens de son travail et sur son mariage, il part en Italie accompagné de sa femme, avec le projet d’écrire un texte qu’il médite depuis longtemps sur l’architecte baroque Francesco Borromini. En arrivant à Stresa, sur les rives du Lac Majeur, ils font la rencontre de jeunes frère et soeur, qui donneront un tout autre tour à cette échappée italienne.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
La sapience, c’est le savoir qui conduit à la sagesse, la Sapienza c’est un film magnifique de Eugène Green, à la beauté limpide, que ce soit dans les décors, la photographie de Raphaël O’Byrne, les paysages du lac Majeur et de Stresa, et bien entendu la Rome Baroque de Borromini et du Bernin, sans oublier la lumineuse beauté de Aliénor (Christelle Prot Landman, une découverte pour moi) et la musique de Monteverdi. Alexandre est un ...
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mem94mem
77 abonnés
541 critiques
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3,5
Publiée le 29 mars 2015
Le film apparaît moitié comme une fiction, moitié comme un documentaire sur l'architecture italienne. C'est magnifiquement filmé. Le scénario est réduit à des personnages qui se cherchent, errent. Le verbe est beau, la diction théatrale et souvent les acteurs regardent la caméra (je déteste cela). J'ai eu du mal à rentrer dans le film, mais j'ai trouvé les personnages sympathiques et attachants. Surtout, plus le film avançait et plus ...
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Un visiteur
3,5
Publiée le 12 novembre 2016
Art et essai, comme on dit. Je ne devais pas avoir tellement envie de me casser la tête quand je l'ai vu car le propos du film en lui-même a provoqué pas mal d'indifférence de ma part. D'ailleurs d'une manière générale, les discours paraboliques et métaphores appuyées...bof. En revanche, la beauté et le bon goût s'effaçant tous les jours un peu plus dans notre monde moche et vain et ultrarapide, j'ai gouté comme un nectar le rythme ...
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Agnes N.
4 abonnés
2 critiques
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5,0
Publiée le 27 mars 2015
Plus qu'un film, parce que ce qu'on y apprend nous accompagnera toujours et fait entrer un peu de clarté dans ce que l'on pressent du monde dans lequel on vit. Et si la lenteur permettait une vraie présence, la diction si particulière finissait par épanouir véritablement nos oreilles lesquelles reçoivent enfin un texte des dialogues qu'elles veulent à tout prix retenir. Et si l'on avait oublié comment voire ces belles choses qui jalonnent ...
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La Sapienza a été tourné à Bissone en Suisse et à Stresa, Turin et Rome en Italie entre le 12 septembre et le 12 octobre 2013.
Référence
Le titre du film est une référence à l'église Sant'Ivo alla Sapienza construite par l'architecte Francesco Borromini, objet de l'obsession du personnage principal.
Actrice fétiche
Eugène Green retrouve l'actrice Christelle Prot pour la cinquième fois après Toutes les nuits, Le Monde vivant, Le Pont des arts et Les Signes.
C'est joliment filmé, on voit de belles choses sur l'Italie et son architecture, mais à part ça... c'est le néant. Je pense que c'est le genre de film qui est réservé à un certain nombre de personnes, mais pas au grand public, j'ai trouvé ça très ennuyeux, il ne se passe rien, les dialogues sont pauvres, le scénario inexistant et les acteurs d'une rigidité incroyable. Bref, aussitôt vu, aussitôt oublié. 1/5
arnaud1972
de belles idées dans ce dernier opus (la rencontre de ces deux couples en quelque sorte et les leçons qu'ils en tirent mutuellement) mais sans la force poétique des films précédents et puis le coup de la critique de l'intelligentsia culturelle (la villa Médicis), il l'a déjà fait précédemment, attention à ne pas devenir sa propre caricature monsieur green même si le talent est là ;)
lunatlas2000
Un ramassis de clichés pour profs lâches et pour ceux qui se servent de la culture pour en parler et non pour apprendre et s'améliorer.