Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
Un beau jour d’été. Un jardin. Une terrasse. Une femme et un homme sous les arbres, avec un vent d’été doux. Au loin, dans la vaste plaine, la silhouette de Paris.
Un dialogue commence, des questions et des réponses entre la femme et l’homme. Il s’agit d’expériences sexuelles, d’enfance, de souvenirs, de l’essence de l’été et de ce qui différencie les hommes et les femmes, la perspective féminine et la perception masculine.
Derrière, dans la maison qui donne sur la terrasse, sur la femme et l’homme: l’écrivain, en train d’imaginer ce dialogue et de le taper à la machine. Ou est-ce l’inverse? Seraient-ce les deux personnages, là dehors, qui lui racontent ce qu’il couche sur le papier: un ultime et long dialogue entre un homme et une femme?
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Un auteur écrit une pièce reposant quasiment exclusivement sur un dialogue entre un homme et une femme qui sont matérialisés dans le jardin devant lui. Ils échangent sur différentes choses, entre autres les expériences amoureuses de la femme et les voyages qu'a pu entreprendre l'homme.
J'ai eu l'impression de passer à côté de quelque chose à la vision de ce film car je n'en ai absolument pas compris l'intérêt. Les dialogues et les ...
Lire plus
Thierry P
15 abonnés
6 critiques
Suivre son activité
0,5
Publiée le 11 novembre 2016
Wim Wender délivre un film aux dialogues prétentieux et incompréhensibles. Narcissisme ou intellectualisation à l'extrême ? Peu importe la réponse, dans les deux cas on souhaite quitter la salle en courant !
Cinéphiles 44
1 067 abonnés
3 902 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 25 octobre 2016
Les beaux jours d’Aranjuez est le premier film de Win Wenders tourné en français. Rappelons que c’est à lui que nous devons Les Ailes du désir, L’Ami Américain ou Pina et le chef d’œuvre Paris, Texas. Adapté de la pièce de théâtre de Peter Handke, le film est un huis clos dans le sublime jardin de l’ancienne star du cinéma muet, Sarah Bernhardt. Pour valoriser son espace de jeu ou les décors parisiens de l’introduction, ...
Lire plus
traversay1
2 724 abonnés
4 498 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 15 novembre 2016
Les beaux jours d'Aranjuez est un exemple parfait, si l'on ose dire, de cinéma littéraire, aucunement troublé par de quelconques péripéties dramatiques. Une simple conversation dans un jardin, entre un homme et une femme, personnages fictifs couvés du regard par un écrivain qui de temps en temps écoute sur son jukebox un titre de Nick Cave. C'est l'été et le vent bruisse gentiment sur les feuillages. Le texte est de Peter Handke et les ...
Lire plus
Adapté d'une pièce de théâtre de Peter Handke, Les Beaux Jours d'Aranjuez est tourné dans un lieu unique, comme une sorte de huis clos en extérieur : il s'agit de la maison de l'ancienne star du cinéma muet Sarah Bernhardt, qui a elle-même conçu le jardin dans lequel se situe l'action principale du film. Il s'agit du premier film de Wim Wenders tourné en français, langue dans laquelle est également écrite la pièce originale. Wim Wenders avait pe
Lire plus
Tournage express
Les Beaux Jours d'Aranjuez a été tourné en une dizaine de jours seulement. Les répétitions se sont quant à elles étalées sur plusieurs semaines, et ont même débordé sur le tournage.
Film rêvé
Selon Wim Wenders, Les Beaux Jours d'Aranjuez est son premier film en près de cinquante ans de carrière qui soit parfaitement fidèle à ce qu'il avait imaginé. "C’est mon premier film pour lequel mes désirs sont devenus réalités", déclare le cinéaste. "Cette fois, je n’ai pas eu à confronter l’envie ou le désir d’un film, son existence comme pure imagination, au film qui en est né."
Ce film est plus joli qu'un tire bouchon, mais aussi moins intéressant.Et si un Téléraman vient me dire que je n'ai rien compris, que je n'ai pas eu la patience ni l'empathie, alors j'y fais bouffer le foulard en mohair que l'aut' nymphomane incapable de dire j'ai joui autrement que par de trop longues, lentes et St Germanisées allégories porte par 45° en plein été en compagnie de cet agaçant imbécile qui palpite des lèvres pour tenter vainement de donner un sens à son propos inepte.Lisez ... au lieu de vous imposer ce long, morne et mol ennui.