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Synopsis
Une famille de Manhattan hérite d'une maison à Brooklyn, dont le rez-de-chaussée est occupé par la boutique de Leonor, une couturière latino-américaine. Les relations sont d'abord très cordiales, notamment grâce à l'insouciante amitié qui se noue entre Tony et Jake, les enfants des deux foyers. Mais le loyer de la boutique s'avère bien inférieur aux besoins des nouveaux arrivants. Les discussions d’adultes vont bientôt perturber la complicité entre voisins.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
"Brooklyn Village" souffre cruellement de l'absence de véritable électrochoc, pourtant indispensable et se faisant toujours toujours attendre...
Mettre en place des individus très new-yorkais dans l'âme, intellos et bobos juste comme il faut, toujours souriants, gentils et aimables malgré leurs propres intérêts financiers, et les observer ainsi suffit-il à faire un bon film ?
Mélanger les thèmes de l'adolescence, du deuil, du ...
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ouadou
54 abonnés
337 critiques
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1,0
Publiée le 1 octobre 2016
"Un cousin éloigné de Woody Allen" lit on sur l'affiche. Il faudra penser à dire à ce "critique" de cinéma qu'il revoit les films de woody allen. Il n'y a évidemment rien de commun avec woody. Ce film arbore tous les mauvais tics du cinéma labellisé sundance (petite musique, plan longue focale et acteurs avec un regard perdu...) C'est sidérant de vide et d'un ennui profond. Le film est aussi fade que l'affiche, bien doux, bien cucu et ...
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PaulGe G
92 abonnés
607 critiques
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1,5
Publiée le 7 octobre 2016
que peut on trouver a ce brouillon . c'est lent affreusement ennuyeux , le scénario tient en trois lignes , et comme il n'a rien a dire on en rajoute des tonnes. , et c'est une insulte à Woody que d'avoir mis son nom sur l'affiche . on ne se souviendra certainement pas de cette chose sans intérêt . a éviter de toute urgence.
Un visiteur
1,0
Publiée le 1 octobre 2016
Au vu des critiques de la presse, je m'attendais à passer un bon moment. Franchement ça n'a pas du tout été le cas et j'ai l'impression de m'être fait avoir. Mais qu'est-ce donc que ce film dont l'intrigue met déjà une heure à se mettre en place, puis, une fois posée, se déroule mollement avec quantité de scènes de remplissage ? Ca s'étire, ça se traîne , c'est longuet à mort autour d'une histoire parfaitement inconsistante. ...
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Ira Sachs voit la genèse de ce projet comme à mettre en parallèle avec le fait qu'il s'intéresse, tout comme son co-scénariste Mauricio Zacharias, aux questions de générations. Le cinéaste est lui-même père de deux enfants de quatre ans. Il explique : "Je réfléchis beaucoup à notre relation, à ce qu’ils sont, à ce que ça signifie d’être père. Je voulais faire un film sur l’enfance, mais depuis la perspective d’un adulte. En tant que dramaturge, j
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Inspiration cinématographiques
Après Love is Strange et Keep the Lights On, le metteur en scène Ira Sachs collabore pour la troisième fois avec le scénariste Mauricio Zacharias. Comme ils en ont l'habitude, avec Brooklyn Village les deux hommes ont commencé par regarder des films pour trouver de l'inspiration dans leur processus d'écriture : Et pourtant nous sommes nés et Bonjour (son remake), deux longs métrages de Yasujirô Ozu. Sachs note :"Tous deux sont des films sur des e
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Parallèle
Pendant l'écriture, Mauricio Zacharias était en contact régulier avec sa famille qui traversait une période difficile au Brésil. Son père, propriétaire d’une boutique de vente au détail qu’il a louée pendant des années, a eu un problème avec le responsable du magasin qui a conduit à l'éviction de ce dernier. Le scénariste confie :"C’était une situation intéressante, car c’était aussi douloureux pour nous que pour les gens qui louaient la boutique
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