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Synopsis
1992, dans un quartier populaire de Los Angeles. Millie s’occupe de sa famille et d’enfants qu’elle accueille en attendant leur adoption. Avec amour, elle s’efforce de leur apporter des valeurs et un minimum de confort dans un quotidien parfois difficile. A la télévision, le procès Rodney King bat son plein. Lorsque les émeutes éclatent, Millie va tout faire pour protéger les siens et le fragile équilibre de sa famille.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
« Kings » est à travers le quotidien de cette femme dévouée aux enfants des autres, un film bouleversant et attachant lors des émeutes terribles de 1992 à Los Angeles...
Ce qui retient notre attention, c’est toute cette actualité relatant les faits de violence et les procès en cours, quasiment uniquement diffusés par la télévision toujours placée en fond sonore et visuel...
Ce système de narration sème le trouble à tous ...
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Un visiteur
3,5
Publiée le 11 avril 2018
C'est en pleine résonance avec l'actualité que sort ce film. Qui retrace les émeutes qui ont ébranlé Los Angeles en 1991, il semblerait que ces faits d'actualités se répètent. Les faits divers sont similaires et les émeutes semblent pouvoir commencer à tout instant. Plus que le film en lui-même, la réalisatrice semble attirer l'attention sur ce terrible constat.
Pour se focaliser sur le film, on suit donc l'histoire d'une femme ...
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poet75
247 abonnés
703 critiques
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3,5
Publiée le 13 avril 2018
La réalisatrice franco-turque Deniz Gamze Ergüven avait fait sensation en 2015 en signant son premier film, « Mustang », film unanimement acclamé, à juste titre. Avec « Kings », un film dont elle avait déjà le projet avant de réaliser « Mustang », elle ne provoque pas la même harmonie du côté des critiques, loin s’en faut. Cela étant dit, s’il est vrai qu’on peut relever quelques maladresses ou quelques choix de mise en ...
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Scénario Catastrophe
25 abonnés
156 critiques
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4,0
Publiée le 16 avril 2018
Dès la première séquence, je suis totalement rentrée dans l'histoire, dans sa vitalité, son adrénaline. Il ne faut peut être pas voir Kings comme un film (documentaire) sur les émeutes, mais sur une famille qui les vit (aspect scénaristique !). C'est un film sur l'énergie, l'excitation et le mélange des émotions vécues pendant de tels événements ! Parce que, oui, on peut être révolté, tenter de lutter contre une injustice, et ...
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En 2015, le premier film de Deniz Gamze Ergüven, Mustang, avait créé la surprise, récoltant dans la foulée le Golden Globe du Meilleur Film en langue étrangère, quatre César et une nomination à l'Oscar du Meilleur film en langue étrangère. Trois ans après, elle est de retour avec Kings, un projet sur lequel elle a travaillé depuis de longues années et qu'elle avait mis entre parenthèses pour se consacrer à Mustang.
Naissance du film
Deniz Gamze Ergüven a commencé à réfléchir à Kings en 2005 et plus précisément lors des émeutes qui se sont déroulées en France. A ce moment, elle a été interpellée par ce qui était en train de se passer et avait le sentiment de comprendre ce qui se matérialisait à travers ces mouvements. La réalisatrice se rappelle : "Je ressentais un malaise très fort à l’époque en France. Je suis arrivée à Paris à l’âge de six mois, j’y ai vécu presque toute m
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Retrouvailles
Deniz Gamze Ergüven a travaillé avec la même équipe technique que sur Mustang. Ainsi, elle collabore une nouvelle fois avec le directeur de la photographie David Chizallet qu'elle connait depuis très longtemps, la monteuse Mathilde Van de Moortel, le mixeur Olivier Goinard, la coach des comédiens Suzanne Marrot ou encore les compositeurs Warren Ellis et Nick Cave.
Ce film, c'est le foutoir ! Un flop ! On se dit qu'en s'accrochant, ça va se démêler, avoir un sens, mais non !American nightmare pendant 20 minutes mais sans but, sans morale, sans histoire. La communauté noire vole mais vit heureuse du social, au soleil d'Hollywood. Les policiers bêtements racistes, revenchards. OK mais il faut que ça mène quelque part ! Le pire étant cette fin en queue de poisson !Pourquoi un tel gâchis ? Il y avait la beauté du soleil mais la misère. Le voisin blanc qui est dur mais serviable. Un début de film qui n'en finit pas. 2, 3/5
fc b
empreint de violence, de procès suite à des attaques policières sur des noirs et d'affrontements en toile de fond, ce drame qui se veut réaliste est bien mal traité! un récit qui se perd, mélange trop d'histoires aléatoires, de personnages aux objectifs différents. globalement les choix ne sont pas faits et le sujet est survolé, les émotions ne sont pas au rendez-vous, même le final est inachevé!
OzDeniro
le film verse trop dans l'émotion et la prise de partie, ce genre de films sur les pauvres noirs américains opprimés pour qui c'est normal de piller des villes et d'agresser des gens, on en a eu beaucoup quand memedonc je vois pas trop l'originalité de ce filma la rigueur l'histoire d'une femme qui est entouré d'enfants adoptés et qui a énormément d'amour a donner, avec une maison plein de vie, on a deja vu ca dans la série shameless
em13xv
A de rares moments, la mayonnaise prend et j'ai eu des poussées d'enthousiasme, et puis finalement... bah c'est plutôt raté - ça donne l'impression d'un projet dont on a voulu se débarrasser après l'avoir porté depuis trop longtemps; quelques fulgurances, mais les meilleures idées et transitions sont restées au brouillon...
angelabassompierre
n'ai pas trop accroché, la mère de famille semble dépassée et seule la relation entre les voisins paraît se construire.... les enfants et ados sont effrayants, pris dans un chaos. Il fait peur et est un revers de LA....Los Angeles, tu imagines des anges, de beaux quartiers alignés et des modèles d'exemplarité.
Flaw 70
Un film qui part dans tout les sens mais qui sait, par quelques fulgurances, nous faire retrouver la réalisatrice du très bon Mustang. Ma critique : https://www.senscritique.co...
Un fourre-tout. Je n'ai pas compris où le réalisateur voulait en venir, à l'image de la relation entre Halle Berry & Daniel Craig. L'histoire navigue entre drame familial, images de l'époque et adolescence dans un quartier chaud de LA. Tout se regarde avec plaisir mais ça ne prend pas. La bande-annonce m'annonçait une claque mais le film m'a déçu. Un pétard mouillé.
Le Bod's
Un film maladroit dans sa conclusion mais profondément révoltant. https://www.lacritiquerie.c...
MickDenfer
ce film mérite ses mauvaises notes ?
ScaarAlexanderTrox
Oups, en effet, my mistake. Je connaissais la date des émeutes, avril 92, et pensais simplement qu'elles s'étaient produites assez rapidement après l'incident, du type quelques mois. Et en plus, je recommande un doc à ce sujet, la honte. :)Je suis d'autant plus curieux de voir comment cette année va s'écouler dans le film.
-Nomade-
Pas compris le début de ton commentaire : le tabassage de R. King a bien eu lieu en 91... L’acquittement des policiers, l'année suivante, déclenchera les émeutes.
ScaarAlexanderTrox
Je me demande pourquoi la bande-annonce commence sur 1991, Los Angeles. L'action démarre-t-elle effectivement en 1991 pour s'étendre jusqu'à l'année de Rodney King et des émeutes ? J'attends de voir si ce laps de temps est justifié.Dans tous les cas, le film a l'air plein de bonnes choses, du moins intéressantes, et quand on a adoré Mustang, il va être difficile de rater celui-là. Pour autant, j'attends vraiment de voir deux choses : d'une, s'il va y avoir parti pris (dans ce cas, lequel ? Se concentreront-ils sur la misère de la communauté noire en éludant Reginald Denny ?) ou pas (toujours préférable) ; de deux, l'efficacité du traitement des émeutes. L'année dernière est sorti un documentaire sur le sujet, le gigantesque LA 92 (que je recommande à tout le monde tant il est un des meilleurs que j'ai vus, tout court, aux côtés de Man on Wire et quelques autres), et il va être difficile de faire mieux que ça au rayon reality check...