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Synopsis
Beyrouth, Liban, aujourd’hui. Wardi, une jeune Palestinienne de onze ans, vit avec toute sa famille dans le camp de réfugiés où elle est née. Sidi, son arrière-grand-père adoré, fut l’un des premiers à s’y installer après avoir été chassé de son village en 1948. Le jour où Sidi lui confie la clé de son ancienne maison en Galilée, Wardi craint qu’il ait perdu l’espoir d’y retourner un jour. Mais comment chaque membre de la famille peut-il aider à sa façon la petite fille à renouer avec cet espoir ?
C'est les vacances ! Vous avez envie d'aller au cinéma avec les enfants ? Découvrez nos conseils ciné en fonction de leur…
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On suit wardi et sa famille sur 75 ans d exil.... Ca explique un peu le debut de l histoire de la Palestine et nous raconte la vie de tous ces refugies. L animation est vraiment tres réussie.
Lionel P.
18 abonnés
6 critiques
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4,5
Publiée le 28 octobre 2018
A voir pour l'Histoire de ces Palestiniens contraints de survivre en réfugiés depuis 70 ans ! A voir pour ka construction de cette histoire à la hauteur d'une petite fille qui découvre l'histoire de sa famille au moment où son arrière-grand-père lui transmet sa clé c'est-à-dire l'espoir du retour. Animation d'objets et dessin animé avec quelques photos de famille qui rappellent que ce peuple veut juste vivre comme les autres.
war m
19 abonnés
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4,0
Publiée le 13 juillet 2019
Habile dans son utilisation des techniques d’animation traditionnelles, Wardi narre un récit fort et tendre, au prisme du regard d’une jeune héroïne en quête de son passé.
Cinéphiles 44
1 067 abonnés
3 904 critiques
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4,0
Publiée le 31 mars 2019
« Wardi » est une jeune Palestinienne de onze ans. Elle vit dans un camp de réfugiés à Beyrouth au Liban aujourd’hui. Cent cinquante mille Palestiniens y vivent dans l’attente d’un retour sur leur terre ancestrale annexée par Israël. Mats Grorud va raconter aux adultes et aux enfants l’histoire de ces exilés en employant l’animation. Ses petites marionnettes représentent le présent tandis que l’animation 2D sert de repère ...
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La mère de Mats Grorud a travaillé comme infirmière au Liban pendant la guerre, dans les années 1980. Lorsqu'elle est rentrée en Norvège, elle a raconté au futur metteur en scène et au reste de sa famille la vie des enfants dans les camps. Il se rappelle : "Elle nous a dit qu’un jour, la paix reviendrait et que nous irions tous ensemble là-bas. En 1989, nous avons déménagé au Caire. J’avais 12 ans et j’ai été scolarisé dans une école égyptienne a
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Mats Grorud
Mats Grorud est un réalisateur et animateur norvégien. Il a déjà réalisé deux courts métrages et travaillé en tant qu’animateur sur plusieurs longs métrages, documentaires et vidéoclips. Quand il était enfant, sa mère travaillait comme infirmière dans des camps de réfugiés au Liban. Dans les années 1990, Mats était étudiant à l’université américaine de Beyrouth, au Liban, et donnait des cours d’anglais et d’animation dans le camp de réfugiés de B
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Visite des camps
Mats Grorud s'est rendu au Liban et a visité les camps pour la première fois à la fin des années 1990, à l’occasion d’un voyage d’études organisé par le Comité pour la Palestine, une organisation de solidarité pour les Palestiniens installés en Norvège. Le réalisateur confie : "Cette organisation proposait un programme qui permettait de séjourner dans les camps et de travailler pour des ONG. En 2001, une fois mes études en animation terminées, je
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Suède ,France et Palestine , on échappe pas à l'air du temps ,C'est le triptyque parfait pour ce genre de démarche. L'expertise suédoise de la victimisation portée au rang de religion d’état en fait un film suspect. Le snobisme avec lequel est surnoté toutes les production d'inspiration orientale suffit d'ailleurs à faire preuve de prudence.