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Synopsis
Après avoir sabordé sa carrière de chanteuse, Jewell Stone vit à Paris d’un boulot de serveuse. Marie, sa grand-mère et unique famille, qui vit dans le Vermont, USA, débarque du jour au lendemain pour la voir. Mais comment l’accueillir quand Jewell lui raconte depuis si longtemps des bobards sur sa vie, son travail et ses amours ? D’une lettre à l’autre, elle s’est inventée une carrière qui marche, une vie avec Paul, et même une fille, Ruby. Mais comme dit un proverbe italien, le mensonge a les jambes courtes !
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
On aimerait aimer ces êtres réunis par la famille et le mensonge. Non que les acteurs déçoivent. Seulement, tout est tellement convenu que la surprise jamais n’éclot sous nos yeux lassés : comment croire à cet amoncellement de situations tantôt improbables tantôt éculées ? Le choix du road movie tombe comme un cheveu sur la soupe, et ne bénéficie d’aucune motivation véritable. L’héroïne ne dispose, en outre, que d’un très ...
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AM11
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1,5
Publiée le 30 avril 2020
Une chanteuse ratée ment sur sa vie lorsqu'elle apprend que sa grand-mère vient lui rendre visite en France. Dans son mensonge, elle implique Paul, un ancien amour avec qui elle prétend avoir eu un enfant. Un mensonge comme point de départ, ce qui n'est pas très original pour une comédie, avec ensuite les conséquences de ce bobard qui amène de nombreux quiproquos. Des malentendus qui n'ont aucun potentiel comique et qui n'apportent ...
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Aure L
18 abonnés
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3,0
Publiée le 5 août 2019
Un feel good movie dans le seul but de divertir sur fond de relations familiales et amoureuses. Sans plus, sans moins.
Cinéphiles 44
1 065 abonnés
3 902 critiques
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2,5
Publiée le 6 avril 2019
Monia Chokri joue une chanteuse ratée qui n’assume pas sa condition de femme célibataire, sans enfant et serveuse dans un bar. Lorsque sa grand-mère revient des Etats-Unis pour la voir à Paris, Jewell va mentir sur sa condition et s’inventer une vie avec Paul, son ex, joué par Jérémie Elkaïm, qui lui à une femme et une fille. Le point de départ de ce premier film de Sandrine Dumas est intéressant. Les deux comédiens forment un bon ...
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Le titre du film, On ment toujours à ceux qu'on aime, tient à la fois du constat, de l’aveu et presque d’une profession de foi. Sandrine Dumas confie en effet avoir une certaine tendresse pour le mensonge : "Il y a dans le mensonge, malgré sa connotation négative, un vrai champ des possibles. Dissimuler la vérité peut être un acte de survie. C’est aussi le début de la fiction. Il contient un monde imaginaire que l’on ne s’avoue même pas à soi-mêm
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Adaptation très libre
On ment toujours à ceux qu'on aime est une adaptation très personnelle et très libre du roman "La Valse des affluents" de Théo Hakola. Sandrine Dumas raconte : "C’est en effet une version extrêmement libre. Et Théo Hakola a été très bienveillant (rires). C’est un chanteur et écrivain que j’apprécie beaucoup. Je l’ai vu sur scène plusieurs fois avec son groupe Passion Fodder. Je suis tombée amoureuse de Jewell dans son roman La Valse des affluents
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Le choix du scope
Sandrine Dumas a choisi de filmer On ment toujours à ceux qu'on aime en scope. Elle justifie ce choix : "Avec le directrice de la photographie Nathalie Durand nous avons fait différents essais et le scope s’est imposé. C’est un format qui induit la notion d’espace, de mouvement et qui fait écho au thème du voyage. Il me permettait de faire vivre un monde autour des personnages. Le rapport de profondeur est autre. J’avais envie qu’à la fin la natu
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