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Synopsis
Geneviève Garland, une célèbre comédienne, répète « Andromaque » de Racine, avec pour partenaire, son mari André. Elle ressent un malaise profond à interpréter ce personnage et cède son rôle à son amie Isabelle qui est aussi la maîtresse de son époux. Geneviève s’en va avec son fils malade dans son village natal. Elle semble fuir certaines réalités difficiles à admettre.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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209 abonnés
Lire ses 1 469 critiques
3,5
Publiée le 20 septembre 2020
L'un des films les plus touchants de Paul Vecchiali, entre romanesque et onirisme, intellectualité et référence au mélodrame, dans la lignée de ses grandes réussites, comme "Corps à cœur" ou "En haut des marches". La trop rare Marianne Basler y est sublime.
sylounette
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23 abonnés
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0,5
Publiée le 16 septembre 2020
rarement vu un navet de cette importance !! Les acteurs jouent très mal, le texte est récité, les décors intérieurs sont d'une pauvreté affligeante et je ne parle même pas des dialogues !! Je ne sais même pas pourquoi je ne suis pas partie avant la fin ! heureusement le film est court
mat niro
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170 abonnés
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1,0
Publiée le 18 janvier 2021
Que j'ai trouvé ce film terne et ennuyant! Il se déroule dans le milieu du théâtre où un homme gère les états d'âme de sa maîtresse et surtout de sa femme. Cette dernière plaque son art pour s'occuper pleinement de son jeune fils malade. Totalement passé inaperçu cet été, ce film qui s'apparente à un mélodrame a su trouver les faveurs de la critique, un peu moins du public. Globalement, j'ai trouvé cette oeuvre calamiteuse ...
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Bruno François-Boucher
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85 abonnés
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4,5
Publiée le 10 septembre 2020
« Un soupçon d’amour » est une belle claque de cinéma, un grand et beau film d’un jeune cinéaste de 90 printemps, Paul Vecchiali. Une histoire dense et émouvante, un film conçu comme une œuvre d’art où chaque image, ciselée, prend son sens dans une forme qui nous est peu offerte de nos jours. Dédié à Douglas Sirk, le film exprime et développe en profondeur le monde complexe des sentiments dans une passionnante plongée au ...
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Paul Vecchiali explique qu'il y a trois films dans sa filmographie qu'il n'aurait pas pu ne pas faire : L’Etrangleur, Corps à cœur et En haut des marches. Il confie au sujet d'Un soupçon d’amour : "Il y avait plus de 60 ans que je cherchais à me libérer de ce deuil. J’ai écrit un roman dont le titre était le nom que nous avions choisi pour la fille à venir : "Marie-Christine". Elle vivait avec moi au fil des années. Le film restait à faire.
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Qui est Paul Vecchiali ?
Commençant dans le cinéma par des stages d’assistant dans les années 1950, Paul Vecchiali réalise son premier long métrage, Les Petits drames, en 1961. A la fois nostalgique des années 1930, et emblématique de la nouvelle vague française, le metteur en scène a pour habitude de dérouter le grand public. Après avoir réalisé plus de 30 films dont Rosa la rose, fille publique ou À vot'bon coeur, Paul Vecchiali sort son dernier film, Un soup
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Théâtre du XVIIème siècle
Un soupçon d'amour commence par une répétition d’Andromaque, grande pièce du théâtre classique. Au-delà du sujet de la pièce en écho au drame personnel vécu par Geneviève, la langue de Racine se retrouve en pointillé dans le film. On y retrouve ainsi plusieurs clins d'oeil, comme lorsque le personnage d'Isabelle dit à différents moments "Andromaque agonise", "Andromaque se meurt", "Andromaque expire". Paul Vecchiali précise :"Ma sœur, Sonia Savia
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