Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis et détails
Bien decidé à ne plus se droguer, Frankie Machine voudrait devenir musicien de jazz. Mais Zosch, son épouse, préfère qu'il gagne sa vie comme croupier dans le tripot de Schwiefka. Bientôt, les dettes s'accumulent et Frankie, qui se drogue de nouveau, est accusé du meurtre d'un dealer.
Suivre son activité
23 abonnés
Lire ses 1 134 critiques
3,5
Publiée le 17 septembre 2016
Si l'on a pu aisément qualifier ce film d'audacieux a l'époque de sa sortie ,force est de constater que 50 ans plus tard celui ci n'a plus le même impacte vue l'évolution de nos sociétés.En 1955 ,pour construire une oeuvre ayant pour "héros" un junkie en pleine reconversion ,il fallait vraiment oser se frotter a la censure ,ce que n'hésitèrent pas a faire Preminger et les responsables de United Artist.La 1ere heure qui voit Frankie ...
Lire plus
Plume231
Suivre son activité
1861 abonnés
Lire ses 4 639 critiques
2,0
Publiée le 9 novembre 2011
Une belle déception !!! D'accord il faut reconnaître le courage d'Otto Preminger d'avoir défier la censure pour imposer le premier film hollywoodien qui parle de toxicomanie mais reste que le résultat n'est pas à la hauteur de l'ambition de son sujet. Les personnages stéréotypés, les décors visiblement de studio et surtout les ressorts dramatiques très lourds en font au final une oeuvre péniblement sage. On peut sauver une BO jazzy, le ...
Lire plus
Estonius
Suivre son activité
760 abonnés
Lire ses 3 824 critiques
4,5
Publiée le 24 juin 2015
Non seulement le thème est fort, mais la réalisation est impeccable, sans temps morts, sans digressions et ponctuée de scènes chocs, l'interprétation est remarquable malgré sa prévisibilité avec un Sinatra impérial, une Kim Novak superbe (quand on pense qu'elle trimbale encore aujourd'hui une réputation de mauvaise comédienne complètement injustifiée) et Eléonore Parker qui n'est pas mal non plus. Nonobstant le final que l'on peut ...
Lire plus
weihnachtsmann
Suivre son activité
285 abonnés
Lire ses 3 633 critiques
4,0
Publiée le 29 octobre 2015
Même si le destin de cet homme paraît tout tracé (surtout quand on le voit sortir du bus tout souriant avec son tambour), le film est un condensé descente aux enfers avec un acharnement de tous sur cet être faible et dépendant. Le film se densifie dans sa dernière partie. Tout devient sombre et fascinant.....
L'acteur John Garfield -vu notamment dans Le facteur sonne toujours deux fois- détenait depuis plusieurs années les droits du roman d'Algren, mais n'a jamais pu tourner le film. Otto Preminger - à cause de la censure hollywoodienne, il était impossible d'employer le terme "drogué" à l'écran. Lorsque Preminger s'attelle à L'Homme au bras d'or, la MPA, chargée de veiller à l'application du code Hays, refuse de donner un visa à ce film don...
Lire plus
Preminger on the wild side
L'Homme au bras d'or est l'adaptation d'un roman de Nelson Algren. S'il est né à Detroit, l'écrivain, qui fut l'amant de Simone de Beauvoir (avec qui il entretint une correspondance devenue fameuse) a surtout été rendu célèbre par ses descriptions de Chicago et de ses laissés-pour-compte. En 1962, Edward Dmytryk adapte un autre de ses livres, Walk on the wild side (La Rue chaude avec Jane Fonda).
L'homme à l'oreille d'or
La musique de L'Homme au bras d'or est l'une des premières que signa Elmer Bernstein, l'un des plus grands compositeurs du XXe siècle. Elle lui vaudra la première de ses quatorze nominations aux Oscars. Décédé en août 2004 à l'âge de 82 ans, on doit à Bernstein la musique de plus de 250 films, parmi lesquels Les Dix Commandements, Les Sept mercenaires ou La Couleur de l'argent.
La culpabilité , la faiblesse , l'orgueil incarné par granulie avec bruit , un grand acteur .
Jean-philippe N.
Un must du film noir à qui on pourrait peut-être éventuellement (mais c'est même pas sûr) reprocher une conclusion (je n'ose parler de chute) manquant un peu de réalisme. Néanmoins, avec "The man with golden arm", Preminger démontre que c'était un réalisateur "qui en avait"...4/5