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Synopsis
Le professeur Henry Higgins, expert en phonétique, fait la connaissance de la jeune Eliza Doolittle au langage populaire. Avec son ami, le colonel Pickering, il fait le pari de la faire passer pour une duchesse…
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524 abonnés
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4,0
Publiée le 1 avril 2015
Beau film romantique partant de l'intrigue très connue de Shaw. On a ici un film élégant et très théâtral mais émouvant et souvent ironique.
Maqroll
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111 abonnés
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4,5
Publiée le 7 janvier 2012
Superbe adaptation de la pièce de Bernard Shaw, Pygmalion, bien avant My Fair Lady, nous conte l’histoire de cette jeune fleuriste de Londres qui parle un argot épouvantable et qui devient le centre d’une expérience linguistique menée par le Docteur Higgins afin de la transformer en une parfaite lady… Le titre de la pièce renvoie de façon claire au mythe antique du sculpteur amoureux de sa statue et, comme dans le film futur de George ...
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chrischambers86
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8 404 abonnés
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4,0
Publiée le 17 octobre 2012
Le cinèma spècifiquement britannique des annèes 30 se rèsume à une sèrie d'adaptations de romans et de pièces de thèâtre, toutes aussi mèdiocres, les unes que les autres! il faut tout de même mettre à part l'excellent "Pygmalion", film de très grande qualitè qui ne fut pourtant pas très apprèciè lors de sa sortie en salles! En 1938, bien avant le mythique "My Fair Lady" de George Cukor sorti en 1964, une adaptation plus que ...
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Pascal
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51 abonnés
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3,0
Publiée le 17 décembre 2021
Anthony Asquith le réalisateur de ce film fût le fils d'Herbert Asquith, premier ministre du Royaume Uni jusque pendant une partie de la première guerre mondiale. C'est un réalisateur qui a une bonne réputation dans son pays ( un prix cinématographique à pendant longtemps porté son nom). Son style de cinéma, talentueux mais un peu compassé et surtout très académique fut jugé dépassé par les cinéastes Britanniques des années 50 ...
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Un vieux film en noir et blanc bien ficelé sur le fantasme du Pygmalion, avec l'inévitable retour de manivelle de la cible. Personnellement, je n'ai pas décelé d'insinuation scientifique d'un goût regrettable. J'y ai plutôt vu deux joueurs en pleine euphorie, de celle qu'on a lors d'une expérience fracassante, le plus âgé plutôt respectueux, le plus jeune frôlant la tentation du mépris parce qu'épris justement, on le sait d'entrée de jeu et le plus fort est qu'on n'en souffre pas. C'est amené par petites touches discrètes, jamais d'eau de rose, mais on voit de quoi il va retourner au bout de ces cours de maintien et de diction. Quelques bonnes scènes, parfois irrésistibles. Bien sûr, le traditionnalisme pantouflard masculin de ce temps-là prévaut, mais ils ont dû bien rire sur le plateau car la dame, à l'aise dans son application forcenée, apporte une note comique du plus bel effet !