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Synopsis
Louis souhaite retrouver le titre qui lui est dû afin de venger sa mère, une ancienne aristocrate reniée par la noblesse anglaise. Le problème, c'est qu'il n'est pas l'héritier direct : il n'est au contraire que la neuvième personne pouvant prétendre à la succession. Une seule solution : se débarasser des huit autres successeurs...
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5,0
Publiée le 22 octobre 2007
L'un des fleurons de l'humour noir britannique. "Kind Hearts and Coronets" est un film raffinè, corrosif, d'un amoralisme rèjouissant, aboutissement d'un genre cinèmatographique qui eut son heure de gloire à l'aube des annèes 50! Obligè d'attendre le dècès de neuf membres de sa famille pour obtenir titre et fortune, le hèros de ce chef d'oeuvre absolu (Dennis Price, assassin d'une èlègance rare) dècide d'accèlèrer le processus ...
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Benjamin A
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4,0
Publiée le 29 juin 2014
C’est depuis le fond de sa cellule que Louis Mazzini d’Ascoyne raconte son passé criminel. Plus précisément ses jeunes années où il est, tout comme sa mère, renié par sa famille maternelle (il est fils d’une aristocrate et d’un chanteur d’opéra) puis son ambition de retrouver le titre qui lui est dû et ce en décidant d’assassiner tous ceux qui l’empêchent d’être héritier direct, soit les huit autres successeurs ! ...
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Plume231
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5,0
Publiée le 21 novembre 2008
La seule grande réussite de la filmographie de Robert Hamer est sans conteste le chef d'oeuvre absolu d'humour noir du Septième Art ainsi que un des plus grands films anglais de tous les temps ! Les raisons de cette réussite en sont un scénario impeccable et très original (le gag du caviar explosif, impayable !), un somptueuse mise en scène filmée par un très beau noir et blanc, qui n'a rien a envier aux productions hollywoodiennes de ...
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Un visiteur
4,0
Publiée le 8 décembre 2015
Un nom : Alec Guinness... Alec Guinness... Ce mec joue huit rôles dans le film et il va sans dire qu'il les joue à la perfection, apportant à chaque personnage une personnalité plus loufoque que le précédent, parvenant à monopoliser l'écran par son énergie et son comique, il aurait largement mérité l'Oscar (dans la catégorie meilleur second rôle)... Enfin heureusement il l'a eu (dans la catégorie meilleur rôle principal) pour Le ...
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Le réalisateur Robert Hamer travaillait pour la première fois de sa carrière avec l'acteur Dennis Price à l'occasion du tournage de Noblesse oblige. Les deux hommes se retrouveront onze ans plus tard dans le dernier film de Robert Hamer, L'Académie des coquins, en 1960.
Guinness / Hamer : première !
Noblesse oblige marque la première collaboration entre l'acteur Alec Guinness et le réalisateur Robert Hamer. Ils se retrouveront ensuite à trois reprises, dans Détective du bon Dieu en 1954, Deux Anglais à Paris en 1955 et Le Bouc émissaire en 1959, dans lequel le comédien britannique incarnait, comme dans Noblesse oblige, plusieurs rôles dans le même film, deux en l'occurence.
L'insistance d'Alec Guinness
Le réalisateur Robert Hamer avait dans un premier temps proposé à Alec Guinness l'interprétation de quatre des huit personnages héritiers. C'est l'acteur britannique qui insista pour tous les incarner. Bien lui en a pris, ces huit rôles allait ainsi lui apporter la gloire, Noblesse oblige n'étant en effet à l'époque que son troisième film.