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Synopsis et détails
Au XIIe siècle, alors que le Japon traverse une guerre civile, la belle servante Kesa est utilisée pour détourner l’attention des rebelles de la famille impériale. L’un des samouraïs qui composent son escorte tombe violemment amoureux d’elle, au point de demander sa main. Mais Kesa est déjà mariée…
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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3,0
Publiée le 6 avril 2012
Ce film est surtout connu aujourd'hui pour avoir définitivement défoncé la porte de la connaissance du cinéma japonais au public occidental après que "Rashõmon" l'ait entrouverte, gagnant l'Oscar du Meilleur Film étranger ainsi que le Grand Prix au Festival de Cannes (à l'époque l'équivalent de la Palme d'or !!!). Quel résultat au regard de maintenant ??? Visuellement, il faut reconnaître que c'est un régal avec tous ces tons de ...
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Tedy
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2,0
Publiée le 8 octobre 2011
Un film qui commence sur une guerre civile et se termine en histoire d'amour tragique. Il ne s'agit donc pas d'un film à l'eau de rose, et c'est pour cette raison que "La porte de l'enfer" se laisse regarder.
ygor parizel
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4,5
Publiée le 15 juillet 2012
Un très bon film qui démarre comme une histoire de samouraïs mais qui très vite devient une tragédie intense (quoi que fort classique). Scénario prenant et des images aux couleurs chaleureuses et contrastées, des interprètes étonnement sobres.
Jean-François S
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22 abonnés
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4,0
Publiée le 29 septembre 2006
"La porte de l'enfer" est un grand classique du cinéma japonais et fut à l'époque sa carte de visite auprès du cinéma occidental. Couronné par deux Oscars et la Palme d'Or de Cannes, le film acclamé pour son exotisme et ses merveilleuses couleurs. Aujourd'hui l'exotisme ne joue plus, Kurosawa a ouvert la porte du cinéma nippon au monde et les merveilleuses couleurs nous paraissent ridiculement kitch. Mais cela n'affecte pas l'histoire ...
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Metteur en scène de La Porte de l'enfer, Teinosuke Kinugasa est l'un des principaux artisans de la découverte par le public occidental du cinéma japonais. Réalisé en 1928, son Le Carrefour ou Ombres a Yoshiwara est ainsi le premier film du Pays du Soleil levant à jamais avoir traversé les mers vers les salles europénnes, avant que La Porte de l'enfer ne cumule les récompenses quelques vingt-cinq années plus tard.
Une production Nagata
La Porte de l'enfer marque la première des quatre collaborations entre son réalisateur Teinosuke Kinugasa et son producteur Masaichi Nagata. Egalement producteur du mondialement célèbre Rashomon d'Akira Kurosawa en 1950, Masaichi Nagata peut se targer d'avoir participé à la vague du cinéma japonais dont la popularité a explosé en Europe dans les années 50.
Retouvailles avec Kazuo Hasegawa
La Porte de l'enfer est également l'occasion pour le réalisateur Teinosuke Kinugasa de retrouver l'un de ses acteurs fétiches, Kazuo Hasegawa, au générique de six des longs métrages du cinéaste, dont le célèbre Le Carrefour ou Ombres a Yoshiwara en 1928.