Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
Interdit aux moins de 12 ans
La prison de Carandiru, à São Paulo, est la plus grande d'Amérique latine. Dans cet endroit surpeuplé et délabré, un célèbre médecin doit mener un programme de prévention contre le sida. Habitué à la médecine haut de gamme, il va devoir apprendre à se débrouiller en se fiant à son instinct.
Peu à peu, il découvre les détenus, leur monde à part, leur humanité et leur fabuleuse envie de vivre. A force de contacts et de temps, il gagne leur respect et partage leurs secrets.
A travers son regard, c'est toute la tragédie sociale d'un pays qui se révèle, jusqu'au jour du terrible massacre de Carandiru...
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Absolument incroyable!!! Je ne serai pas surpris que Carandiru entre dans le Guinness des records des plus grandes injustices cinématographiques enregistrées en France. Premièrement, la promotion du film est inexistante. Je pèse mes mots. Deuxièmement, les quelques "critiques" qui semblent avoir daigné voir le film ont procédé à un lynchage d'une partialité navrante. Ils n'ont pour seule "excuse" le fait que le milieu carcéral soit ...
Lire plus
Un visiteur
5,0
Publiée le 13 septembre 2007
Film dur est tres bien fait. Qui montre le probleme des prisons au bresil
Un visiteur
4,0
Publiée le 10 août 2010
Babenco nous plonge dans la plus grand prison d'Amérique Latine, un univers carcéral sauvage, où les règlements de compte au couteau, les deals, viols homosexuels et le sida pullulent dramatiquement. Après deux heures de description méthodique (un peu laborieuse et qui n'évite pas toujours l'angélisme ou la démagogie), Carandiru nous emmène au coeur de l'horreur : une mutinerie est violemment réprimée par la police, qui tire à vue ...
Lire plus
Un visiteur
5,0
Publiée le 12 août 2009
Une merveille unique en son genre.La façon d'aborder chaque personnage de leur propre point de vue sans véritable objectivité, nous embarque dans de multiples univers basés sur tant vies authentiques.
On y dénonce les conditions insuportables des prisons telles Carandiru mais on y célèbre autant la grandeur et la beauté de toute l'humanité.Qu'il s'agisse d'innocents enfermés ou des pires criminels.On s'identifie à des hommes pourtant ...
Lire plus
Le film d'Hector Babenco, est une adaptation du best-seller de Drauzio Varella, "Carandiru Station". Publié en 1999, le livre est resté 168 semaines sur les listes des best-sellers au Brésil, s'est vendu à plus de 350.000 exemplaires et figure parmi l'un des plus gros succès de toute l'histoire de la littérature brésilienne. Hector Babenco a découvert le livre sur épreuve, avant même sa parution. Trois ans après sa publication, il décide d'en fai
Lire plus
Genèse du livre
La genèse du livre remonte à 1989, quand Drauzio Varella a entamé son programme bénévole de prévention du sida en prison. Dix ans plus tard, il a voulu témoigner de ce qu'il a vu, simplement, avec le désir d'individualiser les expériences et le vécu humain dans un environnement où l'individualité ne compte pas, et celui de raconter de ce qu'il a appris des prisonniers.
Un récit réaliste...
La parole au romancier Drauzio Varella :"Lorsque je suis arrivé à Carandiru" se souvient-il, "je pensais pouvoir écrire un article sur le crime pour un journal. J'en ai écrit trois ou quatre, mais ça ne me satisfaisait pas parce que je désirais décrire l'atmosphère de la prison dans son ensemble. Et comment y parvenir sans dépeindre chacun des pavillons, avec sa vie propre ? Et puis, certains termes dont j'avais besoin dans mon article n'évoquaie
Lire plus
Le film avait un certain potentiel, mais l’image qu’en donne le réalisateur ne convainc pashttps://t.co/nEIRJR2kZH
Va voir là bas si j'y suis
Une bombe , vu à sa sortie au ciné !!!
Walter Closet
Un chef d'oeuvre... Un des meilleurs films brésiliens, qui a plein d'humour, de poésie et de violence.Beaucoup de symbolles, acteurs fantastiques. Un film engagé aussi, le plus grand criminel est l'état lui même.Réalisé par Hector Babenco d'origine argentine decedé en 2016.