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Synopsis
Dans Devil's fire, Charles Burnett explore son propre passé. Enfant, il a vécu entre Los Angeles et le Mississippi et a découvert le blues, adoré de sa mère et déclaré "musique du diable" par sa grand-mère.
Son film unit la fiction et des images documentaires dans un conte sur la rencontre d'un jeune garçon avec sa famille dans le Mississippi en 1955 et les tensions entre les accords célestes du gospel et les plaintes "diaboliques" du blues.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Charles Burnett s'attache à deux aspects négligés du blues : le rapport sacré-profane de cette musique et les femmes qui l'ont représenté. Parmi les artistes judicieusement choisi, notons la présence de Sister Rosetta Tharpe qui synthétise ces deux thèmes, traités avec humour et nostalgie.
Un visiteur
4,0
Publiée le 7 mars 2008
Sans être totalement ininterressant Devil's Fire peut decevoir a cause de son côté plus téléfilm que documentaire mais néanmoins on apprend des choses tout à fait interressante sur la vie dans le Mississipi et ainsi que sur les grand noms du Delta Blues. A voir comme le reste de la série de documentaire.
Cocobusiness
10 abonnés
382 critiques
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1,0
Publiée le 2 novembre 2007
The Devil’s Fire, 2003, de Charles Burnett. Le plus mauvais film que nous ayons vu de cette série initiée par Martin Scorsese (producteur), cad, Piano Blues (Clint Eastwood), Godfathers and Sons (autour du label Chess), et The soul of a man (Wim Wenders, et la vie de Skip James). L’auteur a malheureusement mis au centre de son film, qui veut montrer l’opposition entre le blues et le gospel, un enfant, porteur de la foi, qui suit, avec son ...
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Un visiteur
2,5
Publiée le 29 septembre 2006
...Bof ! un film médiocre, j'aurais préféré un vrai documentaire. Un bel hommage aux femmes qui ont fait le Blues, je devine l'influence sur le Jazz, avec la voix de Billie Holiday (sans la voir!)
Martin Scorsese revient sur les origines de cette série de films sur le blues qu'il a initiée : "Le projet est né alors que Margaret Bodde, productrice chez Cappa productions, et moi travaillions à un documentaire avec Eric Clapton : Nothing but the Blues. Nous faisions un montage parallèle d'Eric interprétant des standards du blues et de métrage d'archives de bluesmen plus anciens. Nous étions tous frappés par la présence et la force primitive d
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Le 4e volume d'une collection
Devil's fire est le quatrième volet d'une série sur le blues. Il sort en salles quelques semaines après The Soul of a man de Wim Wenders, et La Route de Memphis de Guy Pearce, et Du Mali au Mississippi, de Scorsese. Les films suivants sont Red, white and blues de Mike Figgis, Godfathers and sons de Marc Levin, et enfin Piano blues de Clint Eastwood.
Les intentions du cinéaste
"Le son du blues a toujours fait partie de mon environnement. Tandis que les années passaient, cette musique a lentement émergé comme une source essentielle d'images, d'humour, d'ironie et de réflexions sur la condition humaine. J'ai toujours eu envie de raconter une histoire sur le blues qui non seulement reflète sa nature et son contenu, mais qui s'intéresse aussi à sa forme elle-même."