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Nos batailles évolue en équilibre entre les sphères professionnelle et intime, Guillaume Senez se révélant aussi juste sur ces deux terrains.
Un petit Damon pour un grand Payne. Une satire sociale réussie sous forme de SF.
Dans ce drame lumineux, Woody Allen n'a jamais été aussi proche de Tchekhov.
Ce documentaire instructif (...) paraît décalé par rapport à la réalité.
Un sujet fort, traité avec dignité et profondeur, mais desservi par une réalisation et un rythme atones.
(...) l'exercice documentaire "Strip-Tease" atteint ici ses limites. La faute à une protagoniste et à une mise en scène du réel outrancières, comme en recherche constante d'un sensationnel inopportun.
Sans prendre parti ou chercher l'équilibre à chaque instant, sa réalisation dynamite les carcans habituels du film de procès.
A cheval entre le Japon et les Etats-Unis, cette comédie au féminin, sorte de "Thelma et Louise" en moins énergique, permet également à Josh Hartnett de jouer les cover-boys avec un humour réjouissant.
Ce conte moderne est parfois un peu bancal, mais à la fin, on est triste de les quitter. Car Gaspard et sa drôle de famille sont très attachants.
Ce qui pourrait être une pathétique commémoration se révèle une émouvante découverte des Sioux d'aujourd'hui.
(...) convenu, mais la splendeur des images hypnotise.
(...) un biopic trop académique mais porté par la belle interprétation de Karolina Gruszka.
Vous ne goûterez plus au sucre de la même manière après avoir vu ce doc (...).
Avec ses personnages hauts en couleur et son regard acéré sur la société italienne contemporaine, Sergio Castellitto réalise un beau film rappelant les grandes heures du cinéma transalpin.
Charlotte Rampling est magnifique (...). Mais son fardeau devient peu à peu aussi monotone et pesant que le film.
Rafraîchissant à défaut d'être abouti.
(...) un pari gonflé, qu'Emmanuel Finkiel remporte haut la main grâce à des choix de mise en scène très audacieux.
Construit comme un western moderne, "Three Billboards" révèle peu à peu les couches d'un mille-feuille bien plus complexe, où l'humour noir le dispute au romanesque.
Il émane de cette chronique une véracité qui la rend étouffante. A voir également pour sa dimension ethnographique.
"The Last Family" est une sorte de sous-Haneke : faussement subversif et vraiment ennuyeux.