Derniers Avis sur Un Bonheur n'arrive jamais seul

Jolie comédie romantique avec le bon mix de comédie et de romantisme. Des personnages que tout oppose succombent au coup de foudre, et on y croit ! Pour Sacha (Gad Elmaleh), la vie se déroule sans contraintes. Une soirée idéale se passe avec une bonne bouteille, son piano (dont il joue super bien) et une nana : "Le cul haut, pas de QI, l'équation parfaite pour une histoire sans lendemain." Pour Charlotte (Sophie Marceau), la vie se passe avec ses trois enfants dans les beaux quartiers, financée par l'argent de son mari (François Berléand) dont elle est séparée. Leur seul point commun : le film Casablanca. Serait-ce un hommage à la ville de naissance de l'acteur principal ? En tout cas, je le mets dans ma liste de films à voir. Les scènes d'amour alternent avec les scènes d'humour : "J'ai été trois fois champion d'Europe de peau douce." Les enfants adoptent ce nouvel homme dans la vie de leur mère et lui donnent un surnom : Sushi. Surnom qui là aussi résonne comme un clin d'œil à Chouchou. De même que le passage à New York semble comme une annonce de la carrière américaine de l'humoriste. Au milieu de ce joyeux capharnaüm, surgit une scène d'une intensité émotionnelle rare, tandis que Sacha explique à sa grand-mère juive que Charlotte (qui n'est pas juive) est la bonne, et qu'il va aller s'installer avec elle en banlieue : "Choisis bien ta banlieue, ne m'oblige pas à prendre un train qui part vers l'est." Larmes garanties. Une réussite !

Très touché par ce film dans lequel j'ai cru me voir à la place de Sasha, tant à travers le personnage que son univers, en plus du fait d'avoir vécu une histoire d'amour similaire. J'ai trouvé la représentation de la situation très fidèle à la réalité de ce genre de romance. La sincérité des acteurs est exemplaire, tout le monde est très bien ancré dans son rôle, l'ensemble marche très bien. Le propos du film est finalement assez '' commun '' mais raconté avec finesse, en plus de proposer un humour à la fois décalé et justement proportionné pour ne pas détourner l'attention du fil principal, ce qui amène une atmosphère fraîche tout en étant dense en informations comme il faut. Le rythme est entraînant sans être fatiguant. Les enjeux sont clairement posés et le suspense fonctionne parfaitement en accord avec le genre proposé. Je n'ai senti à aucun moment le côté récité que peuvent parfois avoir les films français du point de vue d'un français, avec des phrases ou des attitudes qui sonnent faux par exemple, ce qui est une grande bouffée d'air en soi. Je m'en souviendrai à vie autant que ma version vécue de ce film.

Seule pourrait compter la tentative burlesque qui emprunte volontiers au slapstick, appliquée à un duo d’acteurs auquel, cependant, elle ne sied jamais. Car la nullité de L’Amour n’arrive jamais seul, révision prétentieuse de la comédie romantique sur fond de thématiques plus contemporaines – par exemples, la famille recomposée ou le syndrome masculin de Peter Pan –, repose avant tout sur l’absence d’alchimie entre deux comédiens perdus dans un récit artificiellement gonflé aux effets gaguesques comme cache-misère. Comme souvent dans les productions signées James Huth, la forme est rutilante mais à aucun moment n’est maîtrisée ni comprise : elle ressemble en cela à ces voitures trafiquées qui, augmentées de jantes démesurées, de moteurs apparents et de couleurs vives, vrombissent à toute allure dans les rues pour rehausser ceux qui les conduisent, desservis autrement par la réalité de leur condition. La mise en scène aguiche, la lumière horrifie, le regard porté sur les classes sociales ici confrontées, comprenons bourgeoisie parisienne d’un côté contre intermittence du spectacle de l’autre, équivaut à une suite de clichés sans réflexion aucune. Un ratage.

Et si on se faisait une petite comédie romantique bien de chez nous ? C’est l’histoire d’un célibataire endurci, Sacha, interprété par Gad Elmaleh, qui saute d’une femme à l’autre, mais parfois deux en même temps, et passe ses nuits en boîte à jouer du piano sans se préoccuper des lendemains. Un détail : il ne supporte pas les enfants. En face, on trouve Charlotte, interprétée par Sophie Marceau trois enfants et une vie de bourgeoise sous le joug d'un mari pas encore tout à fait ex, interprété par François Berléand, excellent comme d'habitude. Il est grand consommateur d’assistantes aux qualités professionnelles ciblées entre leur cou et le haut de leurs cuisses. Vous aurez compris que Sacha et Charlotte n’ont rien, mais alors absolument rien de commun qui puisse permettre d’envisager le soupçon d’un début de commencement d’idylle.
Le film remplit sa principale mission : c'est drôle, charmant et frais. Sophie Marceau sait chuter comme une déesse, s'affaler comme une princesse, se prendre avec grâce un lavabo dans les fesses. Elle est plus belle que jamais, rayonnante alors qu’elle est souvent sans maquillage (ou alors il faut donner un César à la maquilleuse). Au volant d'une Panhard décapotable hors d'âge, Gad Elmaleh en fait parfois un peu trop comme jeune premier, rasé en permanence de la semaine précédente, à la fois enjôleur et hésitant. Le charme opère, même si ses capacités créatives lui permettront spoiler: de monter un spectacle musical à Broadway auquel on ne croit pas une seconde
.
Ce n’était pas gagné d’avance, vu que James Huth, le metteur en scène, nous avait déjà proposé « Brice de Nice » et « Lucky Luke », donc dans des genres un peu... différents. Le spectateur n’échappe pas aux passages incontournables du genre : rencontre-choc et choc de la rencontre au ralenti, bons copains omniprésents, apprivoisement des enfants, mère collante, grand-mère juive… Le scénario est ultra-prévisible et les dialogues peu consistants. Le couple fonctionne cependant bien et on ne s'ennuie pas. Et puis le spectateur est là pour ça, il n’attend rien d'autre. Les clichés sont assumés et se savourent comme un bonbon un peu trop sucré.
Ne boudons pas notre plaisir !

Marceau sublime, Elmaleh irrésistible. Bon film qu'on a plaisir à revoir en ces temps pré apocalyptiques...

Gad Elmaleh, Sophie Marceau, Maurice Barthélemy : avec un tel casting (malgré la présence de François Berléand et Macha Méril, aux filmographies assez éclectiques), on se doute bien que nous allons avoir affaire à une comédie populaire. Avec son couple principal plein de charme, James Huth réussit une comédie romantique assez plaisante souvent amusante spoiler: (les multiples accidents arrivant à Charlotte ou les mésaventures de Sacha avec les enfants ou le bricolage amènent souvent des rires)
. Mais le cinéaste ne s’arrête pas là et offre des moments de mise en scène intéressants (le travail de cadrage et de l’espace sur certains plans assez longs et souvent larges spoiler: ou le magnifique jeu sur les ombres dans le spectacle créé par Sacha et Laurent
) tout en rendant hommage aux films et réalisateurs qui l’ont inspiré (Casablanca, West side story, Chantons sous la pluie, Frank Capra…). Un bonheur n’arrive jamais seul n’est donc pas une œuvre cherchant à marquer l’Histoire du cinéma mais est, malgré tout, un film très agréable avec des personnages attachants qui arrive un peu à dépasser son statut de comédie romantique calibrée pour plaire au grand public.

Un film avec duo acteur qui fonctionne parfaitement ainsi que l histoire et on passe un bon moment en famille

Cette comédie sentimentale, sortie en 2012, démarre plutôt bien avec la rencontre de deux individus (Sophie Marceau et Gad Elmaleh) que tout oppose. Et puis patatras ! Le réalisateur James Huth (« Brice de Nice » notamment) se prend totalement les pieds dans le tapis. C’est long, ridicule, grotesque et sans originalité. Bref, on ne parvient jamais à sourire et on attend désespérément la fin du film.

Sacha musicien talentueux mais contraint d'écrire des musiques publicitaires croise par hasard le chemin de Charlotte une directrice de galerie d'art. C'est le coup de foudre mais aussi le début des mésaventures... Entre les ex maris intrusifs, les enfants perturbateurs, les projets professionnels avortés...Sacha joué par Gad Elmaleh se retrouve confronté à des situations nouvelles dont il pensait ne jamais en sortir. Cette comédie sentimentale est un sympathique divertissement. Le charme de Sophie Marceau est une valeur sûre et la drôlerie de Gad Elmaleh fonctionne très bien. Sympathique, convenu et vite oublié.

Comment fait elle ? Comment fait Sophie Marceau pour être l'actrice préférée des français et franchir les décennies avec tant de succès, beauté, classe, charisme. Car cette comédie romantique est encore au final un film avec Sophie Marceau et on retiendra encore sa beauté, sa sensualité, son charisme, l'empathie qu'elle arrive à provoquer et cette capacité de proximité y compris dans ce rôle de grande bourgeoise. Grande bourgeoise certes mais avant tout mère, mère célibataire de 3 enfants, mère fusionnelle et attentionnée, attentive ce qui ne l'empêche pas d'être une amoureuse, une femme libre et une amante sexy. Le tandem formé avec Gad Elmaleh fonctionne plutôt bien même si le rythme est parfois haché, avec des longueurs, langueurs et répétitions et que la sous histoire de spectacle qui emmènera Gad Elmaleh à New York est poussive et peu intéressante. Mais dieu que Sophie Marceau est belle et sait rendre ce film sympathique et attachant sans marquer par son originalité et sa qualité supérieure. Agréable, plaisant, sympathique mais avec Sophie Marceau radieuse.

Comédie romantique avec enfants, famille explosée et humour assez peu subtil voire vicieux. Trop de libertinages et de quasi vulgarité dans ce film qui surfe sur un air de comédie en même temps convenue, familiale et malsaine. On a bien du mal à trouver de la subtilité malgré le quota sympathie des deux acteurs principaux c'est dire que la réalisation est pas terrible. Des effets stéréotypés qui ne peuvent convenir qu'à un public peu exigeant et assez peu porté sur la morale.

Film qui détend, pas prise de tête et avec des scènes drôles. Il n'est pas très réaliste, mais l'histoire d'amour est plaisante à voir.

Sympathique comédie romantique, très classique dans sa trame - et même légère au moment de conclure - qui bénéficie d'un casting pertinent, jusque dans des seconds rôles apportant tous leur pierre à l'édifice. La transposition du récit des Aristochats au travers du coup de foudre entre les personnages de Gad Elmaleh et de Sophie Marceau lui confère une plus-value, de même que les diverses références musicales. Agréable sans être renversant.

J adore Gad pour moi ce duo avec Sophie Marceau est très bien mené. Chapeau l'artiste .
A quand un prochain duo ?

quel film nul !! je m 'attendais au moins à quelque chose de plus sympa avec ce duo..aucune histoire qui se suit, perte de temps