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    Halloween 3 : Le sang du sorcier
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    162 critiques spectateurs

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    Kilian Lucot
    Kilian Lucot

    1 abonné 16 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 janvier 2024
    Ce film est une honte envers les deux premiers films de la saga qui sont de véritables chefs d'oeuvres, en effet le grand Michael Myers est absent dans ce film le scénario est honteux et les acteurs sont plus que médiocres, quant à elle la fin est ridicule : "COUPEZ COUPEZ". Ce film devrait être considéré comme un spin off et non comme une suite.
    N. L. Critique
    N. L. Critique

    22 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 avril 2023
    Faire un opus de la saga Halloween sans Michael Myers c’était très risqué et sa se voit sur le résultat : film décevant et pas très prenant. Au moins il à la musique culte de John Carpenter.
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    151 abonnés 2 749 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 novembre 2022
    Avec la volonté de passer un cap et de produire un autre cycle avec cette franchise, Carpenter impose un réalisateur et des idées. Ça n'ira pas plus loin. Les spectateurs boudent sa sortie et la suite on la connait. Pourtant, malgré une mise en scène au raz des pâquerettes - au fait j'adore le pompier figurant à gauche et surtout son casque - on retient l'inspiration de l'époque pour moderniser et élargir l'univers d'Halloween. Les effets sont louables et le déroulement angoissant, jusque dans sa conclusion.
    Julien-33
    Julien-33

    19 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 novembre 2022
    Très bon film. Le réalisateur et les acteurs sont très bon et la bande sonore est super. Le seul film de la saga ou Michael Myers n'est pas présent.
    pentarou
    pentarou

    1 abonné 142 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 novembre 2022
    Ce film pourrait être un épisode de série de SF des années 80.
    Le scénario est faible, le jeu d'acteur moyen, le budget limité, vraiment rien ne va pour un film.
    En plus il n'a aucun rapport avec les deux premiers.
    vraiment ils ont pris u. episode d'une série B et l'ont marqueté comme Halloween 3.
    Une honte.
    Audrey L
    Audrey L

    546 abonnés 2 392 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 octobre 2022
    Attention, Halloween 3 est un spin-off qui n'a (quasiment) aucun rapport avec la saga : pas de Michael Myers ni Laurie Strode (bien que Jamie Lee Curtis fasse un petit caméo vocal en jouant la standardiste téléphonique qu'on entend quelques secondes), et une réalisation de téléfilm à très petit budget, dont le scénario est équivalent à un roman Chair de Poule (ou une histoire des Contes de la Crypte, selon vos références). Ce qui ne nous dérange pas forcément dans le fond (on peut varier les méchants dans une saga, on trouve même logique de relier les contes qui font peur avec le titre "Halloween", puisqu'à l'époque on n'était pas sûr de poursuivre avec Michael dans les suites...), en revanche la qualité très médiocre de cet opus nous a constamment fait regretter les deux premiers. On ouvre sur un générique très kitsch avec à présent une citrouille numérique (qui se justifiera par l'intrigue du film, mais la première impression est "que c'est laid"), on continue avec le remplacement de Michael qui pique les yeux (concrètement : des gars rigides et filiformes qui ne sont pas masqués, font la tronche 24h/24h et ne font par conséquent pas du tout peur), et on s'étouffe devant le côté très nanardesque de ce film : acteurs qui jouent très mal, dialogues effroyables de bêtise, les "androïdes" qui sont juste des gars qui boudent et ont des gants (on en connaît beaucoup, alors...), spoiler: le héros qui se libère ultra facilement, le pouvoir de Stonehenge
    pour justifier tous les trous du scénario (ce qui devient vite tiré par les cheveux). Et surtout : il n'y a pas de fin. Non, vous avez bien lu, vous vous êtes coltiné 1h30 de série B mal réalisée pour que cela coupe net, sans que vous ayez le fin mot de l'histoire. Pour le coup, on se croirait vraiment à la dernière page de nos romans Chair de Poule avec la phrase finale horrifique à points de suspension qui fait un effet de style apprécié dans ce genre de roman, mais est complètement ridicule dans un film (surtout avec ce gars qui gueule : "COUPEEEEZ !!!" en gros plan... Il s'adresse au réalisateur, ou bien ?). On comprend bien l'hommage tenté aux histoires qui font peur à Halloween, et la critique faite à la publicité qui lave (littéralement) le cerveau, mais le film part dans tous les sens, n'est jamais qualitatif, et vous ferme le rideau au nez à 1h30 pétantes. Ce devait être l'heure d'aller chercher les bonbecs.
    Alan Mathias
    Alan Mathias

    117 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 septembre 2022
    halloween 3 le sang du sorcier de Tommy Lee Wallace de 1982 est un très bon film dans son genre
    il ne manque pas de frayeurs.
    le film possède une ambiance glauque et malaisante.
    un petit casting que je connais très peu donc je ne sais pas quoi vraiment dire à ce sujet.
    le film avait été malheureusement mal aimé car il s'éloigne de Michael Myers.
    un film sous-côté à mon goût
    j'aime bien quand une saga prend un peu de liberté et je suis souvent ouvert à quelque choses de nouveau.
    côté ost c'est réussi
    côté meurtre c'est très réussi également et c'est un élément majeur de cette ambiance glauque du film
    la fin est terrible car elle n'est pas heureuse le mal a gagné
    un classique d'horreur
    ce film restera dans les mémoires
    il mérite 4 étoiles ou plus pour ce qu'il est
    Leo Rubert
    Leo Rubert

    3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 novembre 2021
    Franchement ce film est un navet total un Halloween sans Michael Myers n'est pas un Halloween.
    l'histoire étais nul à chier les morts sont nul il n'y a pas asser de gore il est même pire que Halloween résurrection bref le pire film de l'histoire du cinéma
    Momo W
    Momo W

    11 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 novembre 2021
    Je suis tombé dessus car je me fais le marathon des 12 Halloweeen ,mais celui la n'a absolument rien a voir avec Mike Myers Les annes 80 en ont engendré des daubes...mais alors la! c'est du level !
    Vous prenez un shaker, vous mettez dedans : Les Envahisseurs / I Robot / les effets sonors de Cosmos 99 vous melangez bien et vous obtenez une bonne daube sans queue ni tete limite comique.
    Ne perdez pas 1h30 de votre vie.
    Floki
    Floki

    7 abonnés 144 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 avril 2024
    Nul. Je sais que c'est une critique facile, mais je n'ai clairement rien à dire, c'est perché, c'est n'importe quoi, ce n'est même pas une suite des Halloween. Qu'on m'explique d'ailleurs pourquoi "Halloween 3" ??? Bref. Même pas une étoile. Je me souviens l'avoir vu quand j'étais petit et déjà à cette époque je le trouvais lunaire ce film.
    Ghighi19
    Ghighi19

    51 abonnés 1 751 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 mars 2021
    Beaucoup de temps a passé et ça se voit . On prend tout de même un certain plaisir devant ce film un peu à part de la série. Un scénario plutôt malin même si rien n est vraiment surprenant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 janvier 2021
    Fini Michael Myers (non je rigole, ça commence à être l'apocalypse à partir du 4ème opus), et laissons la place à Halloween III : Season of the Witch, 3ème épisode qui a pour but de rallonger la lignée de la saga mais dans un chemin différent, en effet, c'est le seul épisode où Michael ne fait pas son apparition, et pourquoi ? Parce que notre fameux John Carpenter a eu pour idée de base de faire Halloween une saga d'anthologie où les épisodes n'auraient aucun lien, mais puisque Halloween III a connu un grand échec et que le public a préféré que le tueur masqué reste pour encore plus gagner sa notoriété qui est de "méchant de film d'horreur culte", bah.. ils ont repris avec le 4ème opus malgré son décès dans l'épisode 2.

    Mais finalement, un Halloween sans Michael, c'est pas si mal ? Alors que l'épisode 1 et 2 continue leurs histoire le même jour (donc le 31 Octobre) et la même nuit.. le seul défaut que je peux tirer c'est que leur scénario n'est franchement pas très original alors que celui d'Halloween III si ! D'ailleurs c'est le genre de scénario tout con que je n'aurais même pas réussi à trouver. spoiler: Le film commence en douceur avec un petit générique à l'ambiance épurée où la musique, très abstraite, m'a procuré une sensation d'être détendu grâce à son effet de bienfaisance. Deuxièmement on continue avec une deuxième séquence dans une rue où nous voyons un vieil homme effrayé cavaler dans la nuit en sachant que des âmes et des identités démoniaques sont à sa poursuite
    . Tout cette ensemble est parfait car la musique de Carpenter et Alan Howarth, ambiance à la perfection, c'est la cerise sur le gâteau. Bon je vais pas vous citer toutes les scènes du film, mais ça ne m'empêche pas de dire que certaines ont une ambiance bien épurée ^^ et rendent l'environnement très très agréable. Notamment la musique "Drive to Santa Mira", qui nous donne cet effet de voyager, et ça continue avec "Hey Boom", qui nous fait plonger dans une course-poursuite remplie d'action, de tension et de frayeur. Ensuite "Mask Test Tone" qui nous donne l'impression de se lever le matin, avec un temps ensoleillé où l'atmosphère et l'ambiance sont plutôt calme. "Robots at the Factory", où quand on l'écoute on a l'impression que on est dans un endroit pour observer car quelque chose nous intrigue et nous met sans cesse dans le doute. "First Chase", qui nous procure encore cette effet de vivre à l'instant une course poursuite. "Hello Grandma", qui nous procure sans cesse de la frayeur, en nous donnant l'impression d'être enfermé, se sentir seul dans un endroit, où on est rempli de tristesse et qu'on veut trouver une preuve malgré qu'on subit un parcours plus qu'effrayant. "The Rock" qui nous donne l'impression de découvrir un tas de trucs. "I Do Love A Good Joke", qui nous donne aussi l'impression d'être emprisonné et à la fois vivre le dernier instant de notre vie. "Challis Escape", qui nous donne l'impression de s'échapper, "South Corridor", on a l'impression qu'on a été démasqué. Bref toutes ces chansons nous fait livrer un message et nous fait à la fois, enrichir notre pensée. Ce qui nous fait dire et penser avec conclusion, qu'elles ambiance parfaitement et que la thématique est respectée.

    Mais je trouve ça tellement injuste que il soit aussi mal critiqué, pourquoi c'est encore une fois un excellent film mal apprécié ? Et pourquoi mérite-t-il sa place ? Bah parce que la fête d'Halloween y est ! point barre ! faut pas plus détailler que ça ! Je n'ai trouvé aucun cliché, le concept est original et tout est parfaitement compréhensible. Bref je n'ai jamais vu tant de spectateurs aussi c** et irréfléchi ne l'ayant pas apprécie juste à cause de l'absence du tueur masqué.. mais nous plongeons pas dans la négativité, les notes de ce film ont beaucoup montés entre-temps ^^ Car sur Imdb il est passé de 4.8/10 à 5/10, sur Metacritic de 5.3/10 à 6.2/10, sur Vodkaster de 2.28/5 à 2.35/5, et sur Senscritique de 4.6/10 à 4.9/10.

    Une petite foule de spectateurs reconnaissant grandement ses qualités qui n'ont jamais été aperçu auparavant.
    Buddy_Noone
    Buddy_Noone

    1 abonné 89 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 décembre 2020
    Sorti en 1978, Halloween de John Carpenter marqua le coup d'envoi à toute une flopée de slashers qui ensanglantèrent les écrans des 80's. Un phénomène qui dura une bonne décennie et dont la plupart des films ne firent finalement que dupliquer la recette créée par Big John. Un rien dégouté par cet opportunisme, celui-ci ne revint au genre que pour superviser la production chaotique de Halloween 2 confié à Rick Rosenthal, avant d'imaginer un tout autre concept à la franchise qu'il avait initiée. Sur les conseils de Nigel Kneale (célèbre scénariste des Quatermass), Carpenter décida alors de transformer la franchise Halloween en anthologie dont chaque film se présenterait comme une histoire indépendante avec pour seul point commun la fête d'Halloween. Il en soumit alors l'idée aux producteurs des deux premiers opus, Moustapha Akkad et Irwin Yablans qui collaboraient avec Dino De Laurentiis, et ceux-ci validèrent l'idée pour un essai. Exit donc Michael Myers et sa demi-soeur éplorée, Halloween 3 The Season of the witch nous proposa une toute nouvelle intrigue, pas moins horrifique mais clairement plus fantastique. Occupé à mettre la touche finale à son chef d'oeuvre polaire (The Thing), Big John confia l'écriture de ce nouvel opus à Kneale et la réalisation à son pote Tommy Lee Wallace (Ça), permettant au passage à celui-ci de faire enfin ses preuves derrière la caméra. Sans surprise quand il s'agit d'un excès d'originalité, le film fit un four au box-office à sa sortie et reste encore aujourd'hui injustement méconnu dans nos verdoyantes contrées.
    Pourtant Halloween 3 Le Sang du sorcier peut aisément se voir comme un des meilleurs films de la franchise derrière l'original et aux côtés du Halloween 2 de Rick Rosenthal et du Halloween 2 de l'ami Rob Zombie (avec Michael Myers qui hallucine sur des licornes en mode oedipe).

    Mais revenons-en à l'intrigue de ce troisième opus. Pourchassé par de méchants VRP en costard-cravate, Harry Grimbrige, commerçant de son état, visiblement en proie au délire, est emmené à l'hôpital d'un patelin sordide, où il est pris en charge par le docteur Daniel Challis. Quelques heures plus tard, Grimbrige est assassiné dans sa chambre et le médecin a tout juste le temps de voir son meurtrier s'immoler par le feu dans l'habitacle de sa voiture. Intrigué par cette affaire (franchement qui ne le serait pas ?), Challis décide alors d'enquêter aux côtés de la fille du défunt, Ellie, et se rend avec elle dans la ville de Santa Mira où se trouve l'usine fabriquant les masques d'Halloween que vendait Grimbrige en prévision des taquineries d'Halloween. Challis et Ellie s'infiltrent alors dans l'immense fabrique où ils découvrent le plan diabolique du vilain Mr Cochrane.

    Très loin d'un banal slasher (auquel il emprunte pourtant, dans sa première partie, quelques composantes évidentes), Halloween 3 se situe plus dans la lignée des cauchemars atmosphériques de la filmo de son maître d'oeuvre, les errances de son héros (Tom Atkins, déjà employé dans Fog et Escape from New York) et les élans horrifiques de son intrigue, préfigurant pour beaucoup ceux de Prince des Ténèbres et de L'Antre de la folie. S'il n'est ici crédité que comme producteur exécutif et compositeur (ses nappes de synthé caractéristiques en guise de signature) la part de Carpenter à la conception du film reste évidente tant l'intrigue, le style et la thématique révèlent des préoccupations proches de ses marottes habituelles (hordes d'agresseurs indistincts, petite bourgade isolée, perte d'identité, contamination du mal, résolution sous forme de promesse apocalyptique). De ce retour au culte de Samain (la fête celte à l'origine d'Halloween), il se dégage en plus une atmosphère d'inquiétante étrangeté au sens véritablement freudien du terme, l'essentiel du film donnant l'impression au spectateur de voir un film dépeuplé de personnages "humains", hanté par des simulacres imposteurs annonçant la fin du monde. Ces hordes de tueurs mutiques, sortes d'automates zombiesques empruntant les oripeaux de businessmen, apparaissent ici aux ordres d'un entrepreneur aux velléités de sorcier (le très inquiétant Daniel O'Herlihy, le "Vieux" dans Robocop), bien décidé à se servir de l'industrie moderne pour propager un culte sacrificiel oublié que Carpenter et Rosenthal évoquaient déjà le temps d'un plan dans Halloween 2.

    Fort d'une imagerie impressionnante, magnifiée par la photo de Dean Cundey, ce troisième opus révèle ainsi des morceaux d'étrangeté remarquables, à la lisière du fantastique pur, comme cette scène où le héros croit voir en un automate en mouvement, une vieille couturière mutique et inquiétante. Les archétypes ancestraux (automates, rites séculaires et sorciers) côtoient ici une vision kitch et post-moderne de la technologie, nourrie par l'omniprésence d'écrans télévisuels et de spot publicitaires entêtants qui critiquent, en filigrane, le pouvoir aliénant de la société de consommation véhiculé par les médias. On y trouve aussi une critique politique des années Reagan, l'omniprésence de caméras et de gardes en costume-cravate dans la petite ville de Santa Mira renvoyant de manière évidente à l'Amérique sécuritaire et ultra-libérale voulue par l'ami Ronald. Le script pointe aussi du doigt la main d'oeuvre robotisée : ici un vieil entrepreneur faussement philanthrope rejette toute main d'oeuvre humaine et élimine littéralement toute menace en s'entourant exclusivement d'automates à qui il délègue le fonctionnement de son entreprise.

    Au-delà de son propos sous-jacent, le film réserve quelques séquences horrifiques (la fameuse scène de la famille "middle-class" américaine, cruellement sacrifiée par Cochrane) tellement dérangeantes qu'elles pousseront, selon la légende, le scénariste Nigel Kneale à demander à Carpenter de ne pas créditer son nom au générique. Et si le dernier acte ne manque pas de rebondissements grotesques frôlant bon le nanar (la scène too much du bras dans la voiture), le tout s'achemine vers un final proprement traumatisant, ouvert à la suggestion d'une continuité apocalyptique (récurrent dans la filmo de Carpenter) et que le maître lui-même réemploiera dix ans plus tard de manière détournée, pour conclure son excellent L'Antre de la folie.

    Quelque peu oublié dans une saga cinématographique excessivement dédiée à son illustre croque-mitaine, Halloween 3 Le sang du sorcier, fait donc figure de jalon important dans la filmographie de son producteur. C'est aussi le meilleur film de Tommy Lee Wallace, lequel persistera un temps à marcher sur les traces de son mentor (It, Fright Night 2, Vampires 2) avant de sombrer discrètement dans l'oubli. Malgré quelques fautes de goûts et autres facilités plus ou moins évidentes, le film se laisse toujours regarder avec plaisir et parvient même par moments à choquer le spectateur par sa cruauté indicible et ses remarquables sursauts horrifiques. Cela reste au final un opus tout aussi original que réussi, qui révèle encore aujourd'hui le potentiel sacrifié d'une anthologie avortée, dédiée à la fête de Samain, aux silhouettes masquées et aux veilles de fin du monde.
    apotheme
    apotheme

    99 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 décembre 2020
    Quel catastrophe ce film sous le titre "d'halloween 3".
    Pas de mickael Myers mort dans le précédent film.
    Reprendre le nom d'un film sans que le meurtrier principal y soit n'y qu'on y fasse allusion et sans Jamie lee Curtis, on peut y voir que du marketing et en okus sans intérêt au vu de la piètre qualité de ce film.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 159 abonnés 7 228 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 novembre 2020
    Halloween 3 : Le Sang du sorcier (1982) et son titre mensonger pourrait porter à croire qu’il s’agisse de la suite d’Halloween 2 (1981), mais il n’en est rien. Nous avons là, sans le moindre doute, l’épisode le plus WTF de toute la franchise. Le film n’a aucun lien ni de près ni de loin avec le film culte de John Carpenter : La Nuit des masques (1978).

    Il s’agit avant tout d’un film indépendant, surfant sur la cote de popularité de la saga pour créer une nouvelle anthologie horrifique en lien avec Halloween. Sauf qu’ici, il vous faudra donc oublier Michael Myers et sa gueule livide, oublier aussi le côté slasher pour un film fantastique lorgnant du côté de la sorcellerie.

    Le film nous entraîne au cœur d’une histoire tirée par les cheveux et que n’auraient pas renié les scénaristes d’X Files. Cela se passe pendant la période d’Halloween où une mystérieuse usine irlandaise de confection de masques laisse planer une menace insidieuse sur les personnes arborant les masques qu’elle fabrique.

    Le film prend le risque de perdre des spectateurs en cours de route, en trompant sur la marchandise, en multipliant les genres au sein d’un seul et même film (il y est question de robots, de croyances liées aux pierres de Stonehenge, de maléfices, …). Cela fait beaucoup et malgré tout cela, on s’étonne d’y adhérer pleinement. S’il faut bien admettre avoir mis un certain temps avant d’adhérer au film, contre tout attente, Tommy Lee Wallace parvient à nous tenir captivé, en grande partie grâce à Tom Atkins, aux innombrables rebondissements et à l’ambiance pesante et angoissante qui y règne tout au long du film.

    Pour son 1er film, Tommy Lee Wallace ne laisse clairement pas indifférent (son film est taxé d’être le pire film d’horreur des années 80 ou le pire de la franchise). Une agréable surprise, qui certes, accuse le poids des années (au niveau des SFX), mais qui mérite d’être vu et surtout, d’être reconsidéré.

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