Derniers Avis sur Les Deux mondes

Je trouve que la cotation est vraiment sévère. Ce film m'a fait bien rire et en même temps, il pourrait être interprété de plein de façons si on pousse un peu + la réflexion. Original, déroutant, drôle et amenant à certaines réflexions pour celui qui va un peu + loin que le 1er degré.

oulala echec cuisant pour notre cher benoit pooelvoorde
on ne rigole à aucun moment on se sens plutôt mal à l'aise
notre benoit se ridiculise et enfait le film est tellement mauvais que je refuse de croire qu'il a joué dedant et on voit qu'il n'est pas à sa place
pas comme dans les géniaux ' c'est arrivé près de chez vous '', '' podium ''et '' rien à déclarer ''
bref, hyper facile à oublier donc tout va bien

A part un Benoît Poelvoorde déchaîné, rien de spécial à retenir de cette comédie un peu longuette et courue d'avance, le réalisateur se contentant de mettre en image une histoire banale et sans surprises. Dommage, car avec un peu d'inventivité, ce genre de sujet vaudrait le déplacement.

Déjà le film met un temps interminable à débuter, vraiment. Ensuite quelle a été ma surprise de ne pas trouver Benoit Poelvoord très bon. Le film tourne très vite en rond, n'est pas particulièrement drôle (sans non plus être triste à mourir), et l'histoire est très loin d'être prenante. Je ne suis même pas vraiment sûr d'avoir compris le film, il faut dire d'ailleurs que les choses se passent sans trop d'explications et de logique à mes yeux. J'ai l'impression qu'ils ont voulu faire quelque chose à la visiteur et ils ont trouvé une excuse pour mélanger des époques et essayer de faire rire le spectateur. Bref, parfois on se rend compte que ce ne sont pas que les nouveaux films français qui sont mauvais mais aussi les plus anciens.

Les Deux Mondes est une petite comédie française de 2007 réalisée par Daniel Cohen en 2007 (réalisateur de "Comme un chef " 2012). On est bien loin de "Stargate, le traitement de l'univers parallèle est parfois pathétique, un peu ridicule, surtout au démarrage, on y voit notamment des figurants qui s"ennuient très visiblement devant la caméra, des effets de voix graves totalement inutiles, pour rendre plus "méchants" ou "mystérieux" des personnages qui ont plus des têtes de types que l'on croise au PMU du coin, que les représentants d'un autre monde. Après un démarrage difficile, Benoît Poelvoorde parvient malgré tout à sauver l'affaire et à faire des "deux mondes " une comédie pas si mal que ça.
Quelques belles images avec une bonne qualité esthétique, des effets spéciaux pas si mal et, même si les rares scènes d'actions, ne sont pas bien filmées, avec une caméra et des cadrages non maîtrisés, la réalisation est, le reste du temps, de bonne qualité. Une comédie sympathique, familiale, pas mal du tout.

Benoît Poelvoorde est un grand acteur comique, dans la lignée de Louis De Funès. Malheureusement, il joue ici dans un petit film, pas petit par son budget mais par son scénario et sa réalisation. De plus, au niveau casting, à part Benoît Poelvoorde, il n'y a pas grand monde qui tire son épingle du jeu. Le pire pour une comédie est de ne pas faire rire et, dans « Les Deux Mondes », malheureusement, on rit très peu. On réfléchit bien un peu spoiler: sur le pouvoir immense donné à cet homme sans envergure, pouvoir dont il abuse jusqu'à être détesté par ceux qui l'acclamaient ou sur cette femme qui manipule psychologiquement son mari dans leur scène de rupture
mais c'est bien peu pour un film qui pouvait avoir d'autres ambitions. Revoyez « Podium », « Du Jour au Lendemain » ou « Le Boulet » et attendez patiemment « Astérix aux Jeux Olympiques » mais passez votre chemin devant « Les Deux Mondes ».

C'est d'abord une farce dans laquelle Benoît Poelvoorde excelle à son habitude. Cependant ce film va bien plus loin : avec le langage et les procédés de la farce il nous fait réfléchir sur nos perceptions liées à notre espace-temps et la possibilité pour certains, ou l'évidence pour d'autres, d'un ou de plusieurs autres mondes parallèles existant dans d'autres dimensions. Le film est accompagné d'abondants suppléments ayant leur intérêt. À voir et peut-être à revoir !

Un film intrigant, transcendé par Benoît Poelvoorde survolté dans la veine du comédien Pierre Richard mais la loufoquerie générale et le répétitif des situations finissent par lasser. C’est divertissant, parfois drôle mais la fin torpille le film dont on ne gardera pas un souvenir mémorable.

Benoît Poelvoorde partagé entre deux monde, voila qui ne manque pas de panache. Et c'est du made in France les amis!! Sans vouloir paraitre mauvaise langue, les influences du cinéma français se ressentent à des kilomètres, notamment sur le jeu d'acteur. Le surjeu est notre marque de fabrique. Toujours est-il qu'un bon concentré de fantastique change des sempiternelles comédies. Çà, on sait faire. Daniel Cohen, également réalisateur de Comme un chef, s'en sort finalement comme tel avec cette petite histoire de messie du dimanche. Un homme qui, dans la vraie vie n'est que l'ombre de lui-même, trompé par sa femme et attaqué par le fisc, s'élève sans transition au rang de divinité. L'élu tant attendu d'un peuple primitif en détresse, terrorisé par le joug despotique d'un tyran. Mais son honneur est rapidement bafoué par l'excès de confiance qu'il dégage. D'un point de vue plus métaphorique, voyons plutôt cela comme la fulgurante remontée d'estime d'un personnage désorienté, qui n'a jamais vraiment trouvé sa place. Le personnage en question est d’ailleurs assez triste. La mise en scène ne vaut évidemment pas celle d'un Besson ou d'un Poiré, mais conserve néanmoins un bon rythme. Poelvoorde, en pleine crise dépressionnaire en 2007, nous fait part d'une performance mitigée qui affecte forcément l'esprit du film. Cela reste un projet intéressant. 3,5/5

Parmi les nombreuses incompréhensions qui me hantent, pourquoi ce film est-il très régulièrement diffusé sur nos chaines nationales en première partie de soirée? Quand certains ne le sont qu'une fois voire jamais alors qu'ils le méritaient amplement, on a une très bof comédie rabâchée de façon énigmatique... Enfin, la raison est sûrement bien triste. Si Benoit Poelvoorde ne figurait pas en protagoniste de cette fantaisie de l'année 2007 l'expérience en serait d'autant plus fadasse. Mais en tant que fan c'est toujours un plaisir de le voir s'en donner à cœur joie dans ce type de rôle = le parfait loser a qui rien de positif semble arriver dans une période de sa vie. Il se retrouve mystérieusement propulsé dans un monde parallèle ou la population locale indigène le prend immédiatement pour son dieu sauveur. Non content de réussir dans sa propre vie, notre français moyen va tout donner afin de répondre aux attentes de ladite population... Bon la transition entre ce pauvre bougre mal dans sa peau et le grand gourou à qui rien ne résiste est amusant mais rien de bien extraordinaire sortira de cette aventure qui semble pourtant s'en glorifier. Dommage car quand on a un synopsis qui sort des sentiers battus les attentes sont souvent là. Fun et absurde, rien n'empêche d'apprécier ce que l'on a sans s'attendre à la qualité attendue pour une production surexploitée.

Il y a du Louis de Funes dans ce Benoît Poolvorde ! Oui le film ne tient qu à la prestation de cet acteur, capable de nous faire rire mais également d être plus dramatique quand il le faut. Les deux mondes nous montre donc les deux faces de cet acteur incroyable capable de tout jouer mais malheureusement incapable de choisir les films dans lesquels jouer. Oui car les 2 mondes n est pas vraiment passionnant même s il se laisse regarder, mais le deuxième monde est assez fatiguant à la longue, peu drôle et les scènes souvent bâclées. Reste le premier monde, paradoxalement le plus intéressant car il offre un beau rôle à Poolvorde dans l évolution d un personnage soumis à quelqu'un sur de lui.

"Les deux mondes" peut rappeler quelque peu le délire de "Les visiteurs" (ou encore "Evil dead 3") avec son concept de voyage spatio-temporel. Cependant, et contrairement aux films précédemment cités, ce film deviendra assez ennuyeux, au vu de son dénouement trop attendu. Malgré un scénario agréablement barré pour le tout public, le film oubliera de surprendre le spectateur, et se fera donc tout naturellement rapidement oublié.

Très sincèrement, ce n'est pas un mauvais film. C'est une comédie sympathique, qui m'a fait passé un bon moment de détente. Benoit Poelvoorde est bien dans son rôle. L'humour est bien... sauf qu'il n'y a que ça qui fonctionne ! Le reste est vide, et c'est un comble pour un film qui dure 105 minutes ! La grande faiblesse du film est qu'il ne nous dépayse pas du tout ! On nous montre évidemment des paysages différents, des costumes différents mais à aucun moment l'univers des Bégamini ne nous montre quelque chose de vraiment propre à son univers. Le prouve un raccourci de scénario qui m'insupporte : spoiler: Alors que Rémy est au contact des Bégamini, celui-ci ne comprend rien à leur langue. On e dit donc que, peut-être les bégamini vont alors devoir l'immerger dans leur univers, amener Rémy à s'immerger dans leur monde, leurs coutumes, leur société, et aussi rencontrer le grand méchant de l'histoire et ainsi se rendre mieux compte des enjeux et faire ressentir au spectateur l'importance de cette mystérieuse prophétie (dont on ne saura jamais de qui il a été annoncé ) prédisant la venu du libérateur des Bégamini.... Heuuuuuuu... non ! On bousille tout ça avec une olive bleue qui donne, je ne sais pas comment, le pouvoir à Rémy de parler en Bégamini !
Ce film n'est pas DU TOUT immersif, et les nombreuses séquences où Rémy passe d'un monde à l'autre empêche complètement au film de développer son univers et ses habitants, car à aucun moment on ne pourra s'attacher à ses personnages vu que Poelvoorde est présent dans TOUT le film ! D'ailleurs le film tenterait de nous faire ressentir le concept du temps qui passe, à savoir que 20 jours chez les bégamini correspond à une demi-seconde chez nous... OK, sauf que, une foi encore, le film utilise un autre raccourci pour qu'une nouvelle séquence qui aurait pu être intéressante soit complètement bâclé ! : spoiler: Rémy, après avoir chassé les méchants sbires de Zotan (un méchant géant cannibale dont on ne ressent la dangerosité que vers la FIN du film), est proclamer roi des bégamini et décide de faire bâtir des villes pour assoir son pouvoir. Alors que nous, pauvres petits spectateurs lambda, imaginions une séquence où on verrait les villes pousser petit à petit, en voyant les ouvriers travailler à poser les pierres une par une dans une belle musique afin de nous faire ressentir le temps que passe et le boulot monstre que les ouvriers abatte chaque jour pour une belle société protégée de la méchanceté du méchant Zotan. Heuuuuuuuuu... non ! On voit Rémy en haut de sa montagne en train de dire "Alors la ville sera là, il y a aura un pont ici, ici et ici avec une autre ville là,..." Et, comme par magie, la séquence d'après nous montre toutes les villes terminées !
Ca va, tu le sens bien le temps qui passe là ?!
Et je suis loin d'avoir fini tellement il y a d'éléments inachevés dans ce film !
Si voulez le voir, allez-y et regardez ce film comme ce qu'il est, une simple comédie sans prétentions. Car pour ce qui est du scénario, c'est tout simplement bancal.

C'est une comédie moyennement drôle, qu'on peut regarder en famille. L'histoire est assez déroutante, mais ça passe avec les blagues. Ne vous attendez pas à rire toute les 30 secondes non plus.. c'est tout sauf ça
La trame comique tourne essentiellement autour de la personnalité de Poelvoorde, ce qui est assez judicieux. . parce que c'est lui qui fait tout le film.
tout ça c'est le bon côté, les effets spéciaux sont loupés et la BO est naze.
mélange intéressant, et je pense que si Poelvoorde n'était pas dans ce film, je n'aurai pas aimé du tout, mais malgré tout, le film est marrant à voir.

Les deux mondes : Une comédie française assez tordu et déluré mais au fond original et osé. C’est vraiment que des fois, faut voir pour y croire car ça va assez loin dans le délire. Pourtant, l’idée de basé est bien trouvé et assez drôle : un homme qui voit ça vie partir en vrille ce voit téléporter dans un autre monde de sauvage et cette homme est prit pour le prophète, pour le dieu alors que dans la vraie vie, il a tous fait foiré et il n’est pas très rentre dedans, surtout que sa femme la quitté et il a même pas réagit. Donc voila le pitch mais c’est vrai que ça part un peu dans tous les sens et les plusieurs sujet sont donc passé a la va vite et on ne comprend pas trop ou le film veux en venir. Bon après, le film a plutôt un bonne humour et les gags délirant soit d’ils s’enchaine bien, et comme c’est original et foufou, c’est assez drôle. Mais encore une fois, c’est Benoit Pelvord qui porte le film car il a une façon d’être, un humour qui fait la différence et c’est toujours lui que ce soit dans ce film ou un autre qui fait le plus. Donc voila, une comédie qui ne ferra pas l’unanimité mais elle pourrait plaire et diverti certains d’entre vous.